Le choco, c'est jamais trop
Dimanche 17 Avril 2044, un bel après-midi de Printemps...
@Eliott A. Parks
@Eliott A. Parks
Un coup d’œil à droite, un regard à gauche, puis un soupir d'agacement. Le troisième année était en retard. Ou peut-être était-ce lui qui était en avance...? Boh, quoiqu'il en était, il était stupide ce troisième année. M'enfin non pas vraiment, c'était cette réputation qui était stupide. Plus gros mangeur de Poudlard, rien que ça ! Ah oui ? Et selon qui ? Qui avait-il vaincu pour proclamer être le meilleur ? A vrai dire, si on était tout à fait honnête, le garçon n'avait rien dit de lui-même. C'était seulement des bruits de salle commune... mais tout de même. Dire de quelqu'un qu'il était gourmand, c'était chose commune. Dire de quelqu'un qu'il était un des plus gros mangeurs qu'on ait jamais connu, et bien pourquoi pas. Mais de la à acclamer un Roi, de la à conter ses épopées de goinfre ultime, de suprême glouton ! C'en était un chouïa trop pour le rouquin, qui demandait maintenant confirmation... et avait donc défié le protagoniste. Par hibou. Parce que quand même il restait son aîné voyez-vous...
Reducio
Cher "champion",
La rumeur court comme quoi tu serais le plus gros mangeur que ce château ait jamais vu.... qu'est-ce qu'il faut pas entendre... et bien tu m'excuseras mais je n'y crois pas. Je te défie donc à un concours de gobage de chocolat, le dimanche de Pâques, à 16h dans la grande salle. J'espère t'y voir, après tout c'est ton met favori, non ? Ne te préoccupe pas du comment, je m'occupe de tout. Quand tu arriveras sur les lieux, tu me reconnaîtras de suite : je serais le rouquin qui te battra à plates coutures.
Cal
Bon, si on était encore plus honnête, il fallait dire que Cal était en manque de défis. Le match nul contre Gryffondor, tirant la Coupe hors de portée, avait enlevé au jaune et noir sa raison de s'enflammer, un peu comme on enlève à un âne sa carotte. Résultat... et bien il s'ennuyait ferme, et ce n'était pas les cours qui allaient arranger ça. Mais la ou l'équation s'effondrait, c'était qu'un Cal sans flamme, et bien c'était comme la limite de cos de x quand x tendait vers plus l'infini : ça n'existait pas. Alors il s'était lancé à la recherche de nouveaux challenges, acceptant sans sourciller tous les paris, les défis, et les cap ou pas cap plus que douteux... Et quand ses partenaires de jeu habituels avaient fini par se lasser, il avait pris la direction de l'inconnu, espérant trouver une quête à sa hauteur, un champion de taille ! Voilà le pourquoi du comment il se retrouvait là, assis à la grande table des jaunes et noirs le jour de Pâques, une montagne de chocolat face à lui. Il n'avait pas été facile de soudoyer les elfes de maison des cuisines. L'écossais y avait passé son après-midi, à grand renfort de compliments et de yeux doux. Mais ils lui avaient finalement donné ce qu'il cherchait : des fondants, des mousses, des cookies, des brownies, auxquels il avait même ajouté quelques chocogrenouilles de sa réserve personnelle. La légende disait que ce troisième année raffolait du chocolat... il allait donc le battre sur son propre terrain. Et maintenant, le regard brillant de combativité, il n'attendait plus qu'une chose. Son adversaire....
Eliott A. Parks.
Le poufsouffle préféré de ton poufsouffle préféré
6ème année RP
Le choco, c'est jamais trop
Quelle étrange lettre j'avais reçue. Une lettre me défiant à un concours de gobage de chocolat. Était-ce une farce, ou était-ce bel et bien réel ? Car, de mon point de vue, ce n'est point un défi de manger du chocolat - mais juste une partie de plaisir. Et encore, j'étais loin de me douter qu'on m'appelait champion, comme le laissait sous-entendre cette lettre... Certes, tout le monde savait que j'aimais manger. Tout le monde savait que le chocolat était mon mets favori, et que je pourrais me nourrir exclusivement de ce délicieux aliment... Mais de là à m'appeler champion ? C'était beaucoup. Pouvait-on réellement m'appeler champion sur quelque chose qui ne me demandait aucun effort, et qui ne suscitait chez moi qu'un plaisir et bonheur incommensurable ?
Le plus étonnant dans cette histoire, c'était que quelqu'un remette tout de même ce titre en question - que je ne savais même pas que j'avais. Oh, je ne dis pas que je méritais amplement ce titre - je dis juste que c'était très étrange que quelqu'un veuille le récupérer. Est-ce vraiment un titre honorable, plus grand mangeur du château ? Il faut croire que oui - et que c'était un titre qui se valait d'être défendu.
Honnêtement, je n'en avais pas grand-chose à faire du titre en lui-même - et croyant à une blague, j'avais failli ne pas me montrer. Mais je ne refuse jamais une du chocolat - surtout en quantité. Et puis, du chocolat, rien que pour moi ? Et pour mon adversaire, aussi - certes, mais l'intention était tout de même de me battre dans une dégustation de chocolat, donc il était pour moi, d'un côté. Et cette pensée était excitante ! J'avais donc décidé de m'y rendre - mais pas pour le concours, hein. Juste pour le chocolat, et le plaisir de manger. Bon, peut-être un peu pour le concours aussi - car j'avais apparemment un titre à défendre. Mais j'y allais plus pour manger qu'autre chose.
J'avais d'ailleurs prévenu mes amis, qui étaient plus compétitifs. Mon meilleur ami, Rey, avait dit qu'il serait présent pour m'encourager - ce qui m'avait fait rire. C'était drôle de me dire que j'allais être encouragé pour manger du chocolat, sachant que c'était mon activité préférée... Mais ça faisait plaisir de savoir que mes amies restaient là pour me soutenir. Peut-être que c'est ça, aussi, qui m'avait poussé à accepter le défi... Même si j'y serais allé dans tous les cas, rien que pour manger.
Le jour fatidique était alors arrivé - et j'allais être en retard. Ah, pas que je ne veuille pas manger, ou que je cherche à me défiler - loin de là ! Voyez-vous, je m'étais préparé pour ce concours, et donc j'avais essayé de me retenir de manger de toute l'après-midi... Mais quelle erreur ! La faim - que dis-je, la famine ! - m'avait frappée en plein cœur, et m'avait assommé sur mon lit. C'est si dur, si douloureux de bouger quand vous êtes affamés ! Je n'avais presque pas vu l'heure passer, qui plus est... Dire que j'avais failli me faire mourir de faim pour rien !
L'estomac dans les talons, je m'étais donc dépêché de me rendre à la grande salle - aussi vite que je le pouvais, du moins. La faim puisait dans mon énergie.
Et lorsque j'ouvris enfin les portes... Ce fut le paradis.
Une montagne. Une montagne de chocolat. C'était magnifique... C'était sublime, même. Je pouvais presque voir une lumière divine s'en dégager. Étais-je vraiment au paradis ? Ou était-ce un monde nouveau, unique, entièrement constitué de chocolat ? Ou était-ce un rêve - un rêve merveilleux dont je ne voudrais probablement pas me réveiller ?
Bouche bée, je venais me pincer le bras. Non, c'était bien réel. Ou alors, j'étais très tolérant à la douleur. Ou je savais miraculeusement bien diriger mes rêves. Ou peut-être les deux.
Déterminé, et les yeux pétillants de bonheur et d'excitation, je m'avançais vers mon adversaire. Dans la foule, je pus entendre un « Vas-y, Eliott ! Montre-lui qui c'est le Patron ! » provenant de mon meilleur ami, ce qui me fit sourire. J'étais heureux, de savoir que Rey était venu m'encourager. Même si je venais plus pour la nourriture que pour le concours en lui-même, ça fait toujours plaisir ! Je me demandais si Peter était venu, lui-aussi. Probablement, mais je ne le voyais pas dans la foule...
Après avoir répondu à mon meilleur ami avec un sourire et un pouce en l'air, je m'avançais vers mon rival, un grand sourire sur le visage. Arrivé face à lui, je tendis la main.
« Salut ! Tu es Cal, n'est-ce pas ? Enchanté ! Moi, c'est Eliott. Eliott Alexander Parks ! »
J'eus à peine le temps de finir ma phrase que mon ventre grogna vigoureusement pour éprouver son mécontentement d'être vide. Affichant un sourire mi-gêné, j'ajoutais.
« Ahem... On commence quand, du coup ? »
Le plus étonnant dans cette histoire, c'était que quelqu'un remette tout de même ce titre en question - que je ne savais même pas que j'avais. Oh, je ne dis pas que je méritais amplement ce titre - je dis juste que c'était très étrange que quelqu'un veuille le récupérer. Est-ce vraiment un titre honorable, plus grand mangeur du château ? Il faut croire que oui - et que c'était un titre qui se valait d'être défendu.
Honnêtement, je n'en avais pas grand-chose à faire du titre en lui-même - et croyant à une blague, j'avais failli ne pas me montrer. Mais je ne refuse jamais une du chocolat - surtout en quantité. Et puis, du chocolat, rien que pour moi ? Et pour mon adversaire, aussi - certes, mais l'intention était tout de même de me battre dans une dégustation de chocolat, donc il était pour moi, d'un côté. Et cette pensée était excitante ! J'avais donc décidé de m'y rendre - mais pas pour le concours, hein. Juste pour le chocolat, et le plaisir de manger. Bon, peut-être un peu pour le concours aussi - car j'avais apparemment un titre à défendre. Mais j'y allais plus pour manger qu'autre chose.
J'avais d'ailleurs prévenu mes amis, qui étaient plus compétitifs. Mon meilleur ami, Rey, avait dit qu'il serait présent pour m'encourager - ce qui m'avait fait rire. C'était drôle de me dire que j'allais être encouragé pour manger du chocolat, sachant que c'était mon activité préférée... Mais ça faisait plaisir de savoir que mes amies restaient là pour me soutenir. Peut-être que c'est ça, aussi, qui m'avait poussé à accepter le défi... Même si j'y serais allé dans tous les cas, rien que pour manger.
Le jour fatidique était alors arrivé - et j'allais être en retard. Ah, pas que je ne veuille pas manger, ou que je cherche à me défiler - loin de là ! Voyez-vous, je m'étais préparé pour ce concours, et donc j'avais essayé de me retenir de manger de toute l'après-midi... Mais quelle erreur ! La faim - que dis-je, la famine ! - m'avait frappée en plein cœur, et m'avait assommé sur mon lit. C'est si dur, si douloureux de bouger quand vous êtes affamés ! Je n'avais presque pas vu l'heure passer, qui plus est... Dire que j'avais failli me faire mourir de faim pour rien !
L'estomac dans les talons, je m'étais donc dépêché de me rendre à la grande salle - aussi vite que je le pouvais, du moins. La faim puisait dans mon énergie.
Et lorsque j'ouvris enfin les portes... Ce fut le paradis.
Une montagne. Une montagne de chocolat. C'était magnifique... C'était sublime, même. Je pouvais presque voir une lumière divine s'en dégager. Étais-je vraiment au paradis ? Ou était-ce un monde nouveau, unique, entièrement constitué de chocolat ? Ou était-ce un rêve - un rêve merveilleux dont je ne voudrais probablement pas me réveiller ?
Bouche bée, je venais me pincer le bras. Non, c'était bien réel. Ou alors, j'étais très tolérant à la douleur. Ou je savais miraculeusement bien diriger mes rêves. Ou peut-être les deux.
Déterminé, et les yeux pétillants de bonheur et d'excitation, je m'avançais vers mon adversaire. Dans la foule, je pus entendre un « Vas-y, Eliott ! Montre-lui qui c'est le Patron ! » provenant de mon meilleur ami, ce qui me fit sourire. J'étais heureux, de savoir que Rey était venu m'encourager. Même si je venais plus pour la nourriture que pour le concours en lui-même, ça fait toujours plaisir ! Je me demandais si Peter était venu, lui-aussi. Probablement, mais je ne le voyais pas dans la foule...
Après avoir répondu à mon meilleur ami avec un sourire et un pouce en l'air, je m'avançais vers mon rival, un grand sourire sur le visage. Arrivé face à lui, je tendis la main.
« Salut ! Tu es Cal, n'est-ce pas ? Enchanté ! Moi, c'est Eliott. Eliott Alexander Parks ! »
J'eus à peine le temps de finir ma phrase que mon ventre grogna vigoureusement pour éprouver son mécontentement d'être vide. Affichant un sourire mi-gêné, j'ajoutais.
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« Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin »#Pouffy family
5e Année RP - Fervent membre de l'A.C.D.C - Chocogrenouilles ♥
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Le choco, c'est jamais trop
Quelle ne fut pas la surprise de Cal lorsqu'il entendit la voix de Rey, son capitaine, encourageant Eliott... encourageant Eliott ?! Ils se connaissaient les deux ? Voilà qui sentait déjà le traquenard à plein nez, et le rouquin n'aimait pas beaucoup ça. Bon, le "champion" avait donc les connections, mais avait-il l'étoffe ? Et bien, maman MacKinnon avait toujours appris à son rejeton à ne pas juger sur le physique.... Mais franchement non. Ce fut la deuxième grosse surprise de la journée à vrai dire, le fameux Eliott. *C'est lui le plus gros mangeur du château ? Mais il est tout maigre !*. Plutôt petit, fin, même Cal qui n'était pourtant pas bien épais était plus impressionnant que le troisième année. Quand il l'avait imaginé dans sa tête, il avait visualisé un grand gaillard, costaud, peut-être même un peu rond, du genre fils caché de Hagrid vous voyez ? Mais voilà qu'il se retrouvait face à un modèle réduit. L'écossais plissa les yeux de suspicion. Un si petit homme ayant une si grande réputation. Soit on l'avait fait tourner en bourrique... soit ce Eliott était redoutable ! Un sourire plein de malice vint sillonner le visage du rouquin. Il allait être rudement drôle cet affrontement !
"C'est bien moi, Cal, Calum MacKinnon, mais appelle moi Cal ouais, dit-il en serrant avec engouement la petite main de son aîné, content d'enfin te rencontrer Eliott, j'ai beaucoup entendu parler d'toi. Assied-toi vas-y !"
Tout enthousiaste, le rouquin entreprit alors d'expliquer les règles de ce duel au sommet. Ou du moins la règle, puisqu'il n'y en avait qu'une : finir son tas de chocolat avant son adversaire. Les puristes allaient peut-être critiquer bien sur, à base d'interrogations sur la constitution de chaque tas, la simplicité de l'épreuve, le poids exact de telle part de brownie... mais l'âge moyen ne dépassait pas 13 ans, un peu moins de sérieux tout de même. Et puis ce format, c'était la rue la vraie. Pas de triche possible. Deux guerriers face à face, mêmes armes, même appétit vorace ou presque.
Alors qu'il divisait soigneusement la montagne de mets chocolatés en deux plus petites collines, il en profita pour scruter discrètement son adversaire. Ce dernier n'avait d'yeux que pour le chocolat, et bon Dieu ce qu'ils brillaient... Eh ! Et à l'instant, était-ce... mais oui, c'était bien son estomac qui grondait de la sorte ! L'habit ne faisait définitivement pas le moine, et on en avait la preuve encore aujourd'hui. C'était indéniablement un vrai pro qui avait pris place en face du rouquin, un véritable amoureux du sport qu'était.. et bien le gobage de chocolat. Mais cela ne lui faisait pas peur, il avait pas froid aux yeux Cal, jamais. Une fois sa tâche finie, il jeta un coup d’œil derrière son épaule. Bien, Jeff était là. Et oui, lui aussi avait ramené son soutien, si on ne mentionnait pas le fait que double mètre était plutôt la pour rire du comique de la situation qu'encourager son coéquipier. Mais passon, tout était maintenant en place pour un affrontement d'an-tho-lo-gie.
"Bon du coup t'as compris, c'est d'la pure gloutonnerie. Mais me prend pas à la légère, j'suis là pour te faire manger ta cravate." Cal réalisa trop tard que cette réplique n'était pas des plus futées, dans la mesure ou il avait fait venir le troisième année pour manger du chocolat. Mais c'était trop tard maintenant, donc il enchaîna : "A toi l'honneur Eliott, t'es le plus âgé, prend la première bouchée !"
Le poufsouffle préféré de ton poufsouffle préféré
6ème année RP
"C'est bien moi, Cal, Calum MacKinnon, mais appelle moi Cal ouais, dit-il en serrant avec engouement la petite main de son aîné, content d'enfin te rencontrer Eliott, j'ai beaucoup entendu parler d'toi. Assied-toi vas-y !"
Tout enthousiaste, le rouquin entreprit alors d'expliquer les règles de ce duel au sommet. Ou du moins la règle, puisqu'il n'y en avait qu'une : finir son tas de chocolat avant son adversaire. Les puristes allaient peut-être critiquer bien sur, à base d'interrogations sur la constitution de chaque tas, la simplicité de l'épreuve, le poids exact de telle part de brownie... mais l'âge moyen ne dépassait pas 13 ans, un peu moins de sérieux tout de même. Et puis ce format, c'était la rue la vraie. Pas de triche possible. Deux guerriers face à face, mêmes armes, même appétit vorace ou presque.
Alors qu'il divisait soigneusement la montagne de mets chocolatés en deux plus petites collines, il en profita pour scruter discrètement son adversaire. Ce dernier n'avait d'yeux que pour le chocolat, et bon Dieu ce qu'ils brillaient... Eh ! Et à l'instant, était-ce... mais oui, c'était bien son estomac qui grondait de la sorte ! L'habit ne faisait définitivement pas le moine, et on en avait la preuve encore aujourd'hui. C'était indéniablement un vrai pro qui avait pris place en face du rouquin, un véritable amoureux du sport qu'était.. et bien le gobage de chocolat. Mais cela ne lui faisait pas peur, il avait pas froid aux yeux Cal, jamais. Une fois sa tâche finie, il jeta un coup d’œil derrière son épaule. Bien, Jeff était là. Et oui, lui aussi avait ramené son soutien, si on ne mentionnait pas le fait que double mètre était plutôt la pour rire du comique de la situation qu'encourager son coéquipier. Mais passon, tout était maintenant en place pour un affrontement d'an-tho-lo-gie.
"Bon du coup t'as compris, c'est d'la pure gloutonnerie. Mais me prend pas à la légère, j'suis là pour te faire manger ta cravate." Cal réalisa trop tard que cette réplique n'était pas des plus futées, dans la mesure ou il avait fait venir le troisième année pour manger du chocolat. Mais c'était trop tard maintenant, donc il enchaîna : "A toi l'honneur Eliott, t'es le plus âgé, prend la première bouchée !"
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Le choco, c'est jamais trop
Chocolat.
Le monde était si beau, avec le chocolat. C'était l'une des plus belles inventions de ce monde - si ce n'est la meilleure. Si beau, si délicieux, si parfait... Ah, le chocolat - quel heureux je ferais si je venais à rencontrer son inventeur. Sérieux, qui s'est dit « Tiens, je vais sécher ces fèves, les chauffer, les broyer, et les mélanger à d'autres ingrédients avant de le mouler dans des tablettes. » ? Certes, quelqu'un s'est bien dit « je vas broyer ces fèves et les mélanger à de l'eau » pour le café, mais la fabrication du chocolat est tellement recherchée et complète... Je me demande bien comment quelqu'un est venu à l'inventer. Et puis comment on en est venu à créer tant de variantes avec le chocolat, tant de goûts différents, de textures différentes, à partir de la même fève ! Le sujet était tellement passionnant, et je pourrais passer des heures à me renseigner dessus... Peut-être qu'un jour, je serais celui qui créera quelque chose de révolutionnaire ? Même si je doute que les tablettes de café soient une bonne idée... Ou les tablettes de noisettes. Quoique, ces dernières restent un concept à explorer.
Mon adversaire s'était présenté après un sourire - Calum Mackinnon de son nom complet, mais il me dit de l'appeler Cal. Je trouvais ça cool d'avoir un surnom, comme « Cal ». Vous ne trouvez pas ? Quand on a un surnom, on dégage un certain style, une certaine atmosphère... Tout comme ce Cal. Il dégageait quelque chose de particulier, une certaine allure... Je me demandais si beaucoup de personnes le connaissaient ? Sûrement... Après tout, pour se faire appeler « Cal », il doit sûrement être populaire parmi les élèves, non ? Tout le monde doit savoir de qui on parle, lorsqu'on dit « Cal ». Peut-être même se fait-il aborder par pleins de gens ? Peut-être a-t-il beaucoup d'amis ? Et dire qu'il était plus jeune que moi...
À la demande de Cal, je m'étais donc assis et l'avais écouté expliquer les règles - non sans observer la montagne de chocolat avec un petit filet de bave. Quoi, de la bave ? Non, non, vous avez rêvé - je ne bave pas, hahaha...
Enfin bon, les règles donc : elles avaient l'air simples. Il suffisait de finir son tas de chocolat. Un jeu d'enfant - une partie de plaisir même ! Je dirais presque qu'il manquerait de la crème anglaise ou caramel à cette montagne, en accompagnement, pour assaisonner le tout.
Je regardais alors Cal diviser soigneusement le chocolat en deux collines - et il s'agissait de nourriture, alors j'étais vraiment attentif. Imaginez, il se rajoute un brownie ! Comment ça, c'est pas le but ? Bien sûr que si, voyons ! Je vous rappelle que le but est de manger, de se faire plaisir... Alors je serais furieux s'il en avait, ne serait-ce qu'un de plus que moi ! Ce ne serait pas équitable, et mon pauvre estomac souffrirait de cette terrible trahison... C'est pourquoi je le fixais attentivement répartir les gâteries. Et peut-être que je suis parano en fait, en y pensant - car le but est de finir le plus vite, donc il n'a en vérité rien à gagner à avoir un muffin en plus. Mais moi, j'ai beaucoup à gagner à avoir une pâtisserie en plus - enfin, mon estomac du moins.
Une fois qu'il eut terminé, il évoqua quelque chose à propos de manger des cravates - hein, quoi ? Ça se mangeait les cravates ? Ou il avait des cravates qui se mangeaient ? Je ne pus m'empêcher de réagir, les yeux ronds.
« Hein ? Manger ma cravate ? Elle est en chocolat aussi ?? Woah, comment t'as fait !? »
Mes yeux étaient de nouveau brillants - et je le regardais avec plein d'espoir et d'étoiles. Connaissait-il un sort, ou une quelconque manière de transformer tout et n'importe quoi en chocolat, y compris ma cravate, et que c'est pour ça qu'il voulait me la faire manger ? Ah, ce serait magnifique...
Je clignais des yeux, et me rendais compte que j'avais peut-être un peu divergé du sujet. Ou peut-être étais-je simplement trop naïf - passons.
Secouant la tête, je reprenais mes esprits, et souriais.
« Ahem, je veux dire... Je suis ravi de te faire ta connaissance, au cours d'une dégustation de chocolat qui plus est ! »
Je ris légèrement, puis mon sourire tourna en une moue boudeuse.
« Par contre, tu me traites de vieux ? J'suis pas si âgé que ça, hein, j'ai seulement 14 ans*... »
Je gonflais les joues et attrapais un premier brownie sur ma pile.
« Je t'aurais bien proposé de commencer en même temps, mais si j'attends quelques minutes de plus, je vais m'évanouir... Alors, que le meilleur gagne ! »
Et sur ces mots, j'enfournais la délicieuse pâtisserie dans ma bouche. Ah, enfin, je me sentais revivre ! Le doux goût du chocolat coulait dans ma gorge, coulait dans mes veines, et je me sentais à nouveau vivant... C'était si bon et si merveilleux de manger, je pourrais presque en pleurer !
« T'chu vas v'oar, chi choui un fieux ! », ajoutais-je alors entre deux bouchées, un grand sourire aux lèvres - me délectant enfin du délicieux chocolat que j'avais tant attendu.
Le monde était si beau, avec le chocolat. C'était l'une des plus belles inventions de ce monde - si ce n'est la meilleure. Si beau, si délicieux, si parfait... Ah, le chocolat - quel heureux je ferais si je venais à rencontrer son inventeur. Sérieux, qui s'est dit « Tiens, je vais sécher ces fèves, les chauffer, les broyer, et les mélanger à d'autres ingrédients avant de le mouler dans des tablettes. » ? Certes, quelqu'un s'est bien dit « je vas broyer ces fèves et les mélanger à de l'eau » pour le café, mais la fabrication du chocolat est tellement recherchée et complète... Je me demande bien comment quelqu'un est venu à l'inventer. Et puis comment on en est venu à créer tant de variantes avec le chocolat, tant de goûts différents, de textures différentes, à partir de la même fève ! Le sujet était tellement passionnant, et je pourrais passer des heures à me renseigner dessus... Peut-être qu'un jour, je serais celui qui créera quelque chose de révolutionnaire ? Même si je doute que les tablettes de café soient une bonne idée... Ou les tablettes de noisettes. Quoique, ces dernières restent un concept à explorer.
Mon adversaire s'était présenté après un sourire - Calum Mackinnon de son nom complet, mais il me dit de l'appeler Cal. Je trouvais ça cool d'avoir un surnom, comme « Cal ». Vous ne trouvez pas ? Quand on a un surnom, on dégage un certain style, une certaine atmosphère... Tout comme ce Cal. Il dégageait quelque chose de particulier, une certaine allure... Je me demandais si beaucoup de personnes le connaissaient ? Sûrement... Après tout, pour se faire appeler « Cal », il doit sûrement être populaire parmi les élèves, non ? Tout le monde doit savoir de qui on parle, lorsqu'on dit « Cal ». Peut-être même se fait-il aborder par pleins de gens ? Peut-être a-t-il beaucoup d'amis ? Et dire qu'il était plus jeune que moi...
À la demande de Cal, je m'étais donc assis et l'avais écouté expliquer les règles - non sans observer la montagne de chocolat avec un petit filet de bave. Quoi, de la bave ? Non, non, vous avez rêvé - je ne bave pas, hahaha...
Enfin bon, les règles donc : elles avaient l'air simples. Il suffisait de finir son tas de chocolat. Un jeu d'enfant - une partie de plaisir même ! Je dirais presque qu'il manquerait de la crème anglaise ou caramel à cette montagne, en accompagnement, pour assaisonner le tout.
Je regardais alors Cal diviser soigneusement le chocolat en deux collines - et il s'agissait de nourriture, alors j'étais vraiment attentif. Imaginez, il se rajoute un brownie ! Comment ça, c'est pas le but ? Bien sûr que si, voyons ! Je vous rappelle que le but est de manger, de se faire plaisir... Alors je serais furieux s'il en avait, ne serait-ce qu'un de plus que moi ! Ce ne serait pas équitable, et mon pauvre estomac souffrirait de cette terrible trahison... C'est pourquoi je le fixais attentivement répartir les gâteries. Et peut-être que je suis parano en fait, en y pensant - car le but est de finir le plus vite, donc il n'a en vérité rien à gagner à avoir un muffin en plus. Mais moi, j'ai beaucoup à gagner à avoir une pâtisserie en plus - enfin, mon estomac du moins.
Une fois qu'il eut terminé, il évoqua quelque chose à propos de manger des cravates - hein, quoi ? Ça se mangeait les cravates ? Ou il avait des cravates qui se mangeaient ? Je ne pus m'empêcher de réagir, les yeux ronds.
« Hein ? Manger ma cravate ? Elle est en chocolat aussi ?? Woah, comment t'as fait !? »
Mes yeux étaient de nouveau brillants - et je le regardais avec plein d'espoir et d'étoiles. Connaissait-il un sort, ou une quelconque manière de transformer tout et n'importe quoi en chocolat, y compris ma cravate, et que c'est pour ça qu'il voulait me la faire manger ? Ah, ce serait magnifique...
Je clignais des yeux, et me rendais compte que j'avais peut-être un peu divergé du sujet. Ou peut-être étais-je simplement trop naïf - passons.
Secouant la tête, je reprenais mes esprits, et souriais.
« Ahem, je veux dire... Je suis ravi de te faire ta connaissance, au cours d'une dégustation de chocolat qui plus est ! »
Je ris légèrement, puis mon sourire tourna en une moue boudeuse.
« Par contre, tu me traites de vieux ? J'suis pas si âgé que ça, hein, j'ai seulement 14 ans*... »
Je gonflais les joues et attrapais un premier brownie sur ma pile.
« Je t'aurais bien proposé de commencer en même temps, mais si j'attends quelques minutes de plus, je vais m'évanouir... Alors, que le meilleur gagne ! »
Et sur ces mots, j'enfournais la délicieuse pâtisserie dans ma bouche. Ah, enfin, je me sentais revivre ! Le doux goût du chocolat coulait dans ma gorge, coulait dans mes veines, et je me sentais à nouveau vivant... C'était si bon et si merveilleux de manger, je pourrais presque en pleurer !
« T'chu vas v'oar, chi choui un fieux ! », ajoutais-je alors entre deux bouchées, un grand sourire aux lèvres - me délectant enfin du délicieux chocolat que j'avais tant attendu.
Reducio
* Bien qu'en 3e année, Eliott a bel et bien 14 ans, car il est né après Septembre
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5e Année RP - Fervent membre de l'A.C.D.C - Chocogrenouilles ♥
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