20 juin 2020, 20:33
La vengeance se sent
Février 2045
@Maximilian Volts
@Maximilian Volts
Aujourd’hui, était le grand jour. Le jour où elle allait enfin pouvoir se venger de ce Maximilian Volts, ce démon de gryffondor, «que dis-je ce diable ! » corrigea mentalement Daisy, qui avait osé se moquer d’elle sans aucun scrupule. Lors de ce triste de jour de janvier, lorsque par manque d'inattention elle s’était pris un mur. Il avait osé rigoler, sans lui demander si elle ne s’était pas blessée. Et apparemment ce n’était pas la première fois, que ce Maximilian se moquait des autres en toute impunité. Et personne n’avait osé lui apprendre une bonne leçon. Personne… jusqu’à Daisy McGuyer ! Jeune et impétueuse gryffondor qui arborait l’injustice. « Oui, le jour est venu pour toi Maximilian Volts, d'apprendre une petite leçon...» songea la gryffondor en enfilant à la hâte ses habits.
Elle commença par enquêter auprès de ses camarades gryffondor pour savoir où se trouvait ce diable. Mais, elle évita soigneusement de demander à certaines personnes, comme ses amis, pour éviter le moindre soupçon sur ses attentions. Apparemment, personne ne savait où se trouvait ce démon. Déçue de ce manque d’information, elle sortit de la salle commune des gryffondor, pour se diriger vers les toilettes des garçons, c’est là qu’elle commencerait son enquête.
Mais, oh ! Surprise, le diablotin marchait tranquillement dans le couloir habillé à la moldue. Daisy leva les yeux au ciel avec reconnaissance, et remercia toute divinité s’y trouvant de l’avoir mise sur le chemin de Maximilian. Avec un sourire diabolique, elle sortit de la poche de son jean, une boule marron. La plaçant au creux de sa main, elle sortit sa baguette, de sa poche arrière, elle visa la boule et dit : « Wingardium Leviosa ».
La petite boule s’éleva dans les airs de quelques centimètres et elle la dirigea au-dessus de la tête de Maximilian qui semblait s’être stoppé, sans doute pour faire ses lacets. Une fois que sa bombabouse fut bien au-dessus de lui, elle dit : « Finite Incantatem ». La boule tomba et s’écrasa sur la tête du diablotin.
Aussitôt, une odeur nauséabonde envahit le couloir. Daisy qui ne s’attendait pas à ce que l’odeur soit aussi forte, suffoqua et toussa, révélant par la même occasion sa présence et oubliant son plan qui consistait à fuir aussitôt son forfait commis. « Tant pis pour les autres élèves » songea Daisy qui reprenant peu à peu ses esprits et s’habituant à l’odeur, s’exclama avant que la fumée verdâtre se dissipe :
« Ça Volts s’est pour d’être moqué de moi ! HA ! »
Et elle se cacha derrière une statue, se tordant le cou pour essayer d’apercevoir la réaction du brun. Cependant, elle ne remarqua pas que le bout de ses baskets jaunes dépassait légèrement.
Elle commença par enquêter auprès de ses camarades gryffondor pour savoir où se trouvait ce diable. Mais, elle évita soigneusement de demander à certaines personnes, comme ses amis, pour éviter le moindre soupçon sur ses attentions. Apparemment, personne ne savait où se trouvait ce démon. Déçue de ce manque d’information, elle sortit de la salle commune des gryffondor, pour se diriger vers les toilettes des garçons, c’est là qu’elle commencerait son enquête.
Mais, oh ! Surprise, le diablotin marchait tranquillement dans le couloir habillé à la moldue. Daisy leva les yeux au ciel avec reconnaissance, et remercia toute divinité s’y trouvant de l’avoir mise sur le chemin de Maximilian. Avec un sourire diabolique, elle sortit de la poche de son jean, une boule marron. La plaçant au creux de sa main, elle sortit sa baguette, de sa poche arrière, elle visa la boule et dit : « Wingardium Leviosa ».
La petite boule s’éleva dans les airs de quelques centimètres et elle la dirigea au-dessus de la tête de Maximilian qui semblait s’être stoppé, sans doute pour faire ses lacets. Une fois que sa bombabouse fut bien au-dessus de lui, elle dit : « Finite Incantatem ». La boule tomba et s’écrasa sur la tête du diablotin.
Aussitôt, une odeur nauséabonde envahit le couloir. Daisy qui ne s’attendait pas à ce que l’odeur soit aussi forte, suffoqua et toussa, révélant par la même occasion sa présence et oubliant son plan qui consistait à fuir aussitôt son forfait commis. « Tant pis pour les autres élèves » songea Daisy qui reprenant peu à peu ses esprits et s’habituant à l’odeur, s’exclama avant que la fumée verdâtre se dissipe :
« Ça Volts s’est pour d’être moqué de moi ! HA ! »
Et elle se cacha derrière une statue, se tordant le cou pour essayer d’apercevoir la réaction du brun. Cependant, elle ne remarqua pas que le bout de ses baskets jaunes dépassait légèrement.
Dernière modification par Daisy McGuyer le 22 juin 2020, 20:14, modifié 2 fois.
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
3e année RP
21 juin 2020, 09:23
La vengeance se sent
S'ennuyer.
C'est ce qui m'arrive tout le temps à Poudlard.
J'ai passé ma journée à traîner dans les couloirs, en espérant trouver une activité distrayante.
Sans succès.
Tout est si ennuyeux, ici...
Les cours.
Les élèves.
Les professeurs.
Les couloirs, tous identiques.
Le Lac entourant l'école, qui semble me dire que je suis enfermé ici, et que je ne retournerais pas chez moi avant plusieurs mois.
Et tant d'autres choses...
Alors, pour passer le temps, je fais des farces.
Rien de très méchant.
Un éclat de rire si quelqu'un glisse et tombe par terre.
Un don de Dragées surprises de Bertie Crochue à un élève naïf et né-Moldu.
Une Bombabouse jetées aux pieds de quelqu'un.
Ce n'est pas méchant, et ça me divertie, alors pourquoi m'en priverais-je ?
Quelqu'un m'a dit un jour que l'école devait être une source de rire.
Durant les pauses, je tente d'écouter cette personne.
Mais, évidemment, sans méchanceté.
Je ne suis pas comme Jacob.
Je marche dans les couloirs, les mains dans les poches de mon sweat gris favori, sans vraiment savoir où je vais.
Où que j'aille, je ne verrais que des couloirs identiques et des élèves vêtus de robes affreuses.
Je glisse sur mon lacet défait et me baisse pour le refaire, quand quelque chose atterrit sur ma tête.
Une odeur nauséabonde s'en échappe....
Une Bombabouse.
Je me redressse d'un bond, horrifié par le sort de mes cheveux bruns, et cherche des yeux la personne qui m'a lancé cette chose.
Je suis furieux.
Comment quelqu'un a-t-il pu faire ça ?
Je suis un garçon sympa.
Je ne suis pas méchant.
Je fais souvent des petites blagues, mais rien de très méchant.
Personne n'a de raisons de m'en vouloir.
Je n'ai pas spécialement d'ennemis.
Alors, quelle horrible personne a pu me faire ça ?
Et là, je l'entends.
Un élève tousse et me dit que ceci est sa vengeance.
Sa vengeance ?
Mais je n'ai rien fait !
De quoi veut-elle parler.
En tout cas, je me vengerais.
Personne n'a le droit de m'attaquer.
J'aperçois une basket jaune qui dépasse d'une statue.
Ah !
C'est donc cette personne qui a jeté une Bombabouse sur mes cheveux.
Elle le regrettera.
Je me dirige vers la statue.
C'est ce qui m'arrive tout le temps à Poudlard.
J'ai passé ma journée à traîner dans les couloirs, en espérant trouver une activité distrayante.
Sans succès.
Tout est si ennuyeux, ici...
Les cours.
Les élèves.
Les professeurs.
Les couloirs, tous identiques.
Le Lac entourant l'école, qui semble me dire que je suis enfermé ici, et que je ne retournerais pas chez moi avant plusieurs mois.
Et tant d'autres choses...
Alors, pour passer le temps, je fais des farces.
Rien de très méchant.
Un éclat de rire si quelqu'un glisse et tombe par terre.
Un don de Dragées surprises de Bertie Crochue à un élève naïf et né-Moldu.
Une Bombabouse jetées aux pieds de quelqu'un.
Ce n'est pas méchant, et ça me divertie, alors pourquoi m'en priverais-je ?
Quelqu'un m'a dit un jour que l'école devait être une source de rire.
Durant les pauses, je tente d'écouter cette personne.
Mais, évidemment, sans méchanceté.
Je ne suis pas comme Jacob.
Je marche dans les couloirs, les mains dans les poches de mon sweat gris favori, sans vraiment savoir où je vais.
Où que j'aille, je ne verrais que des couloirs identiques et des élèves vêtus de robes affreuses.
Je glisse sur mon lacet défait et me baisse pour le refaire, quand quelque chose atterrit sur ma tête.
Une odeur nauséabonde s'en échappe....
Une Bombabouse.
Je me redressse d'un bond, horrifié par le sort de mes cheveux bruns, et cherche des yeux la personne qui m'a lancé cette chose.
Je suis furieux.
Comment quelqu'un a-t-il pu faire ça ?
Je suis un garçon sympa.
Je ne suis pas méchant.
Je fais souvent des petites blagues, mais rien de très méchant.
Personne n'a de raisons de m'en vouloir.
Je n'ai pas spécialement d'ennemis.
Alors, quelle horrible personne a pu me faire ça ?
Et là, je l'entends.
Un élève tousse et me dit que ceci est sa vengeance.
Sa vengeance ?
Mais je n'ai rien fait !
De quoi veut-elle parler.
En tout cas, je me vengerais.
Personne n'a le droit de m'attaquer.
J'aperçois une basket jaune qui dépasse d'une statue.
Ah !
C'est donc cette personne qui a jeté une Bombabouse sur mes cheveux.
Elle le regrettera.
Je me dirige vers la statue.
-Et on peut savoir ce que j'ai fait pour que tu doives te venger ?!
#666666 | #MMG
5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
21 juin 2020, 12:42
La vengeance se sent
-Et on peut savoir ce que j'ai fait pour que tu doives te venger ?!
« Mince, j’ai été découverte ! » songea surprise la gryffondor, avant de se ressaisir rapidement : « Mais comment il me parle, il a cru que j’étais sa pote ! » pensa-t-elle en sortant de sa cachette et en se redressant de toute sa hauteur, avant de se rendre compte avec amertume, que ce premier année était un petit peu plus grand qu’elle… À cette constatation, une grimace apparut sur son visage, mais elle ne se laissa pas décourager :
« Il a un problème le minus Maximilian ? » dit-elle en faisant exprès de prendre une voix enfantine et ponctua sa phrase en poussant son index dans l’épaule gauche du garçon.
Elle ne put s’empêcher de rire, en constatant le gâchis qu’étaient devenu les cheveux du brun, cela aurait pu le décrédibiliser entièrement, si ce n’était le regard furieux qu’il lui lançait. «Mais, qu’est-ce qu’il va faire ? Hein ? Je suis en deuxième année, je connais plus de sorts que lui et il est nul en magie...»
« Sauf s’il décide de se battre à la moldu ! » Cette pensée sournoise surgit de nulle part, déstabilisa complètement Daisy qui ne fut plus aussi sûre d’elle.
« Tant pis, je le maîtriserais quand même, ! Et puis c’est un plaisantin, il va sans doute fuir quand il verra que je lui tiens tête ! »
« Il est à gryffondor, pauvre débile ! » Cette voix avait à nouveau surgi, mais Daisy la fit rapidement taire en fixant Volts droit dans les yeux et lui dit d’une voix calme, ponctuant chaque mot par un coup d’index dans son épaule gauche :
« Puisque tu ne sembles pas comprendre, boule puante que tu es, je me venge parce que tu t’es moqué de moi, quand je me suis cognée...» Elle ne rajouta pas le mot : «mur», car cela aurait pu décrédibiliser, quelque peu, son propos.
« Mais bon, tu es habitué aux blagues n’est-ce pas ? AH-AH-AH, je vais p’tête y prendre goût aussi ! » dit-elle d’un ton provoquant en battant des cils exagérément.
Elle croisa les bras, le fixant d’un air dédaigneux, tout en reculant calmement s’apprêtant à battre en retraite, sournoisement, au moment même où cette situation tournerait à son désavantage. « Je ne me soumets pas, mais je ne suis pas idiote, il fait quand même peur avec ce regard...» Mais, ne pouvant s’empêcher de le titiller à nouveau, elle ajouta d’un air moqueur :
« N’oublie pas que je suis en deuxième année et que je maîtrise la magie, contrairement à toi Maximilian ! » Puis, fixant ses ongles d’un air détaché, elle dit d’une voix qu’on utilise pour calmer un enfant déraisonnable :
« Tu t’es moqué de moi, je me suis vengée, ça se termine là, Maximilian Volts.» Puis, elle le fixa de haut en bas et de bas en haut en songea quelque peu inquiète : « Je n’aurai peut-être pas dû le menacer si ouvertement...».
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
« Mince, j’ai été découverte ! » songea surprise la gryffondor, avant de se ressaisir rapidement : « Mais comment il me parle, il a cru que j’étais sa pote ! » pensa-t-elle en sortant de sa cachette et en se redressant de toute sa hauteur, avant de se rendre compte avec amertume, que ce premier année était un petit peu plus grand qu’elle… À cette constatation, une grimace apparut sur son visage, mais elle ne se laissa pas décourager :
« Il a un problème le minus Maximilian ? » dit-elle en faisant exprès de prendre une voix enfantine et ponctua sa phrase en poussant son index dans l’épaule gauche du garçon.
Elle ne put s’empêcher de rire, en constatant le gâchis qu’étaient devenu les cheveux du brun, cela aurait pu le décrédibiliser entièrement, si ce n’était le regard furieux qu’il lui lançait. «Mais, qu’est-ce qu’il va faire ? Hein ? Je suis en deuxième année, je connais plus de sorts que lui et il est nul en magie...»
« Sauf s’il décide de se battre à la moldu ! » Cette pensée sournoise surgit de nulle part, déstabilisa complètement Daisy qui ne fut plus aussi sûre d’elle.
« Tant pis, je le maîtriserais quand même, ! Et puis c’est un plaisantin, il va sans doute fuir quand il verra que je lui tiens tête ! »
« Il est à gryffondor, pauvre débile ! » Cette voix avait à nouveau surgi, mais Daisy la fit rapidement taire en fixant Volts droit dans les yeux et lui dit d’une voix calme, ponctuant chaque mot par un coup d’index dans son épaule gauche :
« Puisque tu ne sembles pas comprendre, boule puante que tu es, je me venge parce que tu t’es moqué de moi, quand je me suis cognée...» Elle ne rajouta pas le mot : «mur», car cela aurait pu décrédibiliser, quelque peu, son propos.
« Mais bon, tu es habitué aux blagues n’est-ce pas ? AH-AH-AH, je vais p’tête y prendre goût aussi ! » dit-elle d’un ton provoquant en battant des cils exagérément.
Elle croisa les bras, le fixant d’un air dédaigneux, tout en reculant calmement s’apprêtant à battre en retraite, sournoisement, au moment même où cette situation tournerait à son désavantage. « Je ne me soumets pas, mais je ne suis pas idiote, il fait quand même peur avec ce regard...» Mais, ne pouvant s’empêcher de le titiller à nouveau, elle ajouta d’un air moqueur :
« N’oublie pas que je suis en deuxième année et que je maîtrise la magie, contrairement à toi Maximilian ! » Puis, fixant ses ongles d’un air détaché, elle dit d’une voix qu’on utilise pour calmer un enfant déraisonnable :
« Tu t’es moqué de moi, je me suis vengée, ça se termine là, Maximilian Volts.» Puis, elle le fixa de haut en bas et de bas en haut en songea quelque peu inquiète : « Je n’aurai peut-être pas dû le menacer si ouvertement...».
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
3e année RP
21 juin 2020, 13:43
La vengeance se sent
Une fille sort de sa cachette.
Assez grande, avec des cheveux noirs et frisés.
Jamais vue.
Je ne lui ai rien fait, alors pourquoi s'est-elle vengée ?
Je frissonne de dégoût en sentant l'odeur affreuse qui s'échappe de mes cheveux.
Je me vengerais.
Minus Maximilian ?
Mais je suis un peu plus grand qu'elle...
Elle est vraiment bizarre.
Déjà, elle jette une Bombabouse sur mes cheveux sans raison.
Puis, elle me dit que je suis "minus", alors que je mesure quelques centimètres se plus qu'elle.
Et en plus, elle m'appelle Maximilian.
Ça confirme ce que je pense depuis plusieurs années.
Les filles de mon âge sont toutes folles.
Pff...
Elle est complètement folle.
Et elle recommence à parler.
Moi, une boule puante ?
Pff...
Elle se croit drôle.
Il va absolument falloir que j'aille me doucher avant que quelqu'un voit le triste sort que mes cheveux ont subi.
Je ne me suis pas moqué d'elle...
Pourtant, c'est apparement la raison qui l'a poussée à jeter une Bombabouse sur mes cheveux.
Ah, si !
Ça me revient.
J'ai un peu rit en voyant quelqu'un se cogné contre un mur.
Ce n'était pas méchant.
C'était une simple blague.
Pourtant, ça a dû l'énerver.
Bla-bla-bla.
Sa blague a l'air de l'amuser.
Moi, je ne trouve pas ça drôle.
Ça me semble puéril et stupide.
Peut-être parce que, pour la première fois, c'est moi qui suis la cible d'une farce.
C'est beaucoup moins marrant que si j'avais été à sa place.
Si sa blague n'avait pas consisté à me jeter une Bombabouse dans les cheveux, j'aurais peut-être rit.
Mais là, je suis furieux.
Pff...
Comme si la magie m'intéressait.
Je me fiche de savoir son année d'étude.
Si je veux me venger, je le ferrais, sans me soucier de si oui ou non, elle connaît des sortilèges qui me sont inconnus.
Assez grande, avec des cheveux noirs et frisés.
Jamais vue.
Je ne lui ai rien fait, alors pourquoi s'est-elle vengée ?
Je frissonne de dégoût en sentant l'odeur affreuse qui s'échappe de mes cheveux.
Je me vengerais.
Minus Maximilian ?
Mais je suis un peu plus grand qu'elle...
Elle est vraiment bizarre.
Déjà, elle jette une Bombabouse sur mes cheveux sans raison.
Puis, elle me dit que je suis "minus", alors que je mesure quelques centimètres se plus qu'elle.
Et en plus, elle m'appelle Maximilian.
Ça confirme ce que je pense depuis plusieurs années.
Les filles de mon âge sont toutes folles.
-Alors déjà, mon nom c'est Max. Et j'suis plus grand que toi, minus.
Pff...
Elle est complètement folle.
Et elle recommence à parler.
Moi, une boule puante ?
Pff...
Elle se croit drôle.
Il va absolument falloir que j'aille me doucher avant que quelqu'un voit le triste sort que mes cheveux ont subi.
Je ne me suis pas moqué d'elle...
Pourtant, c'est apparement la raison qui l'a poussée à jeter une Bombabouse sur mes cheveux.
Ah, si !
Ça me revient.
J'ai un peu rit en voyant quelqu'un se cogné contre un mur.
Ce n'était pas méchant.
C'était une simple blague.
Pourtant, ça a dû l'énerver.
Bla-bla-bla.
Sa blague a l'air de l'amuser.
Moi, je ne trouve pas ça drôle.
Ça me semble puéril et stupide.
Peut-être parce que, pour la première fois, c'est moi qui suis la cible d'une farce.
C'est beaucoup moins marrant que si j'avais été à sa place.
Si sa blague n'avait pas consisté à me jeter une Bombabouse dans les cheveux, j'aurais peut-être rit.
Mais là, je suis furieux.
-C'est bon, j'ai juste ri, c'est pas un drame !
Pff...
Comme si la magie m'intéressait.
Je me fiche de savoir son année d'étude.
Si je veux me venger, je le ferrais, sans me soucier de si oui ou non, elle connaît des sortilèges qui me sont inconnus.
-Et tu crois que ça va m'empêcher de me venger ?
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5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
21 juin 2020, 15:27
La vengeance se sent
Daisy se moqua de la réponse puérile de Volts, franchement mettre en avant leur différence de taille, était-ce donc la seule défense qu’il possédait. Elle ne voyait vraiment pas pourquoi, elle avait eu un tantinet peur de lui. Et un rire franc sortit de sa bouche face aux propos tenus par le gryffondor :
-C'est bon, j'ai juste ri, c'est pas un drame !
- Oooooh pauvre bébé qui ne comprend pas qu’il ait pu être victime d’une blague. Quelle est l’expression déjà ? Hummm… l’arroseur qui se retrouve arrosé ? Tu trouves ça désagréable ? Peut-être que tu devrais aller pleurer dans les bras de ta moman !» Dit-elle en faisant une moue triste, imitant un enfant capricieux.
« Attends, c'est peut-être parce que j'ai osé toucher tes cheveux que tu sembles aimer. Mais, rassure-toi je t'ai rendu service, ils sont vraiment moches ! »
Cependant, il ne semblait pas vouloir se calmer. Au contraire, sa menace avait semblé le rendre plus furieux :
-Et tu crois que ça va m'empêcher de me venger ?
- Blablabla, voilà ce que j’entends MA-XI-MI-LIAN » dit Daisy en faisant exprès d’accentuer les syllabes de son prénom qui semblait le mettre si en colère. Oubliant toute idée de fuite, elle se rapprocha, provocante, et dit :
« Tu ne sembles pas aimer ton prénom… Peut-être devrais-je t’appeler Toilette, après tout on dirait que quelqu’un a fait ses besoins sur ta jolie p’tite tête.»
Puis, elle fit quelque chose qui risquerait de le faire entrer dans une rage folle. Puisque du bout de son index, elle prit un peu de cette boue marron qui maculait ses cheveux pour l’étaler sur sa joue droite. Elle rigola et dit :
« Voilà, Toilette ! Maintenant, tu as une bonne raison de te venger. » Elle croisa les bras, le fixa d’un air moqueur et ajouta :
« Alors, Toilette, tu vas faire quoi maintenant ? Hum ? »
-C'est bon, j'ai juste ri, c'est pas un drame !
- Oooooh pauvre bébé qui ne comprend pas qu’il ait pu être victime d’une blague. Quelle est l’expression déjà ? Hummm… l’arroseur qui se retrouve arrosé ? Tu trouves ça désagréable ? Peut-être que tu devrais aller pleurer dans les bras de ta moman !» Dit-elle en faisant une moue triste, imitant un enfant capricieux.
« Attends, c'est peut-être parce que j'ai osé toucher tes cheveux que tu sembles aimer. Mais, rassure-toi je t'ai rendu service, ils sont vraiment moches ! »
Cependant, il ne semblait pas vouloir se calmer. Au contraire, sa menace avait semblé le rendre plus furieux :
-Et tu crois que ça va m'empêcher de me venger ?
- Blablabla, voilà ce que j’entends MA-XI-MI-LIAN » dit Daisy en faisant exprès d’accentuer les syllabes de son prénom qui semblait le mettre si en colère. Oubliant toute idée de fuite, elle se rapprocha, provocante, et dit :
« Tu ne sembles pas aimer ton prénom… Peut-être devrais-je t’appeler Toilette, après tout on dirait que quelqu’un a fait ses besoins sur ta jolie p’tite tête.»
Puis, elle fit quelque chose qui risquerait de le faire entrer dans une rage folle. Puisque du bout de son index, elle prit un peu de cette boue marron qui maculait ses cheveux pour l’étaler sur sa joue droite. Elle rigola et dit :
« Voilà, Toilette ! Maintenant, tu as une bonne raison de te venger. » Elle croisa les bras, le fixa d’un air moqueur et ajouta :
« Alors, Toilette, tu vas faire quoi maintenant ? Hum ? »
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
3e année RP
21 juin 2020, 17:17
La vengeance se sent
Elle m'énerve.
L'arroseur arrosé.
ça ne me caractérise pas.
Mes blagues sont drôles.
Celle dont je suis la victime ne l'est pas.
Mes cheveux.
Moches.
Ces deux mots ne peuvent pas être associés.
Mes cheveux sont très beaux.
Je fais attention à les laver chaque matin pour qu'ils ne soient pas sales.
J'ai décidé de ne pas les couper tout seul, pour qu'ils restent à la même longueur.
Je ne pourrais rien faire de plus.
Elle dit ça pour m'énerver.
Mes cheveux sont magnifiques.
Ses cheveux sont parfaitement normaux.
Mais je ne peux pas la laisser critiquer les miens sans riposter.
Maximilian.
Là, c'est vraiment de la provocation.
Je lui ai dit que mon nom est Max.
Tout simplement.
Pourquoi tout le monde veut lui ajouter plusieurs syllabes ?
Ce n'est pas logique.
Et elle me donne un surnom.
Un surnom affreux.
Toilette.
Parce qu'elle a jeté des Bombabouses sur mon visage.
Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle.
Ce surnom est moche, et immature.
Elle étale ce qu'elle a mis sur mes cheveux sur ma joue.
Mes yeux s'agrandissent à cause du dégoût que je ressens.
Je ne me suis jamais senti aussi sale.
C'est simplement... Répugnant.
Répugnant et horrible.
Je ne comprends même pas pourquoi elle fait ça.
Il va falloir que je me venge.
J'aperçois son sac à dos rose.
Oh...
Elle va regretter de m'avoir jeté cette chose.
J'attrape le sac et essuie mes cheveux dessus.
Wow.
Je ne pensais pas que mes cheveux étaient aussi sales.
Son joli p'tit sac est maintenant répugnant.
Et j'ai également essuyé ma joue.
J'avais dit qu'elle regretterait sa "vengeance".
L'arroseur arrosé.
ça ne me caractérise pas.
Mes blagues sont drôles.
Celle dont je suis la victime ne l'est pas.
-Mes blagues sont hyper drôles, et je m'amuse pas à balancer des Bombabouses sur les gens. Je faisais ça quand j'avais cinq ans. Alors, c'est qui le gamin entre nous deux ?
Mes cheveux.
Moches.
Ces deux mots ne peuvent pas être associés.
Mes cheveux sont très beaux.
Je fais attention à les laver chaque matin pour qu'ils ne soient pas sales.
J'ai décidé de ne pas les couper tout seul, pour qu'ils restent à la même longueur.
Je ne pourrais rien faire de plus.
Elle dit ça pour m'énerver.
Mes cheveux sont magnifiques.
-T'as vu tes ch'veux ? Tu peux rien dire sur les miens.
Ses cheveux sont parfaitement normaux.
Mais je ne peux pas la laisser critiquer les miens sans riposter.
Maximilian.
Là, c'est vraiment de la provocation.
Je lui ai dit que mon nom est Max.
Tout simplement.
Pourquoi tout le monde veut lui ajouter plusieurs syllabes ?
Ce n'est pas logique.
Et elle me donne un surnom.
Un surnom affreux.
Toilette.
Parce qu'elle a jeté des Bombabouses sur mon visage.
Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle.
Ce surnom est moche, et immature.
-M'appelle pas comme ça.
Elle étale ce qu'elle a mis sur mes cheveux sur ma joue.
Mes yeux s'agrandissent à cause du dégoût que je ressens.
Je ne me suis jamais senti aussi sale.
C'est simplement... Répugnant.
Répugnant et horrible.
Je ne comprends même pas pourquoi elle fait ça.
Il va falloir que je me venge.
J'aperçois son sac à dos rose.
Oh...
Elle va regretter de m'avoir jeté cette chose.
J'attrape le sac et essuie mes cheveux dessus.
Wow.
Je ne pensais pas que mes cheveux étaient aussi sales.
Son joli p'tit sac est maintenant répugnant.
Et j'ai également essuyé ma joue.
J'avais dit qu'elle regretterait sa "vengeance".
-Oops.
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5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
21 juin 2020, 18:45
La vengeance se sent
-Mes blagues sont hyper drôles, et je m'amuse pas à balancer des Bombabouses sur les gens. Je faisais ça quand j'avais cinq ans. Alors, c'est qui le gamin entre nous deux ?
- Ça reste toi ! Parce que tu n’assumes pas d’être victime d’une petite blague. Si j’avais lancé cette bombabouse sur les cheveux d’un autre élève, tu aurais ri.
La gryffondor roula des yeux de façon exagérée, quand elle entendit sa remarque sur ses cheveux, qui en passant étaient magnifiquement frisés, souples, brillants, doux et j’en passe. Ses cheveux étaient juste magnifiques.
Elle lui fit un sourire moqueur lorsqu’il lui demanda de ne pas l’appeler Toilette. « Dommage pour toi, Toilette, je t’appelle comme je veux. » pensa la gryffondor en essuyant son doigt maculé de boue malodorante avec un mouchoir. Ce faisant, elle perdit de vu Maximilian, durant un court instant. Et elle ne put que constater impuissante ce que ce diable avait osé faire à son sac à dos. Il l’avait maculé de cette boue marronnasse, qui sentait les égouts et maintenant son beau sac était répugnant. Elle savait déjà, qu’il ne reviendrait jamais à son beau rose d’origine.
-Oops.
Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Elle posa ses yeux remplis de colère sur lui, les traits de son visage se déformèrent, elle fronça ses sourcils, plissa ses yeux et serra ses poings :
« Tu… tu… tu te crois drôle, hummm. Mon sac, mon beau sac… pou-pou-pourquoi t’as fais ça ! C’est un cadeau de ma grand-mère ! Toi tu as juste besoin de te laver les cheveux ! »
Elle lui arracha violemment le sac des mains, le regardant avec des yeux écarquillés, tentant de le nettoyer frénétiquement à l’aide du bas de son tee-shirt blanc. Cependant, elle ne fit qu’étaler cette boue sur son sac et son tee-shirt devint rapidement aussi sale que son sac. Mais, elle ne s’arrêtait pas, c’était une des rares choses qui lui appartenaient et il venait de le salir sans aucun scrupule.
Elle ne réfléchissait plus vraiment, sinon elle aurait su qu’un simple récurvite lui aurait rendu son sac. Non, elle ne voyait que son sac à dos qu’elle chérissait, salie par pure méchanceté. Peut-être s’est-elle attaquée à la mauvaise personne, peut-être qu’elle n’aurait pas dû lui étaler la boue sur le visage, peut-être qu’elle aurait dû tout simplement partir. Mais, c’était trop tard, il était allé trop loin et elle ne ferait pas marche arrière.
Avant qu’elle puisse réfléchir aux conséquences de ses actes, elle lâcha son sac, se dirigea rapidement vers Maximilian et le poussa violemment, y mettant toutes ses forces. Un sourire s’étira sur ses lèvres, quand elle le vit tomber au sol :
« Voilà où est ta place Toilette ! » C'était de la pure méchanceté et elle le savait. Mais, c'était trop tard pour reprendre son geste maintenant. Paniquée, elle regarda son sac, puis le couloir et se demanda si elle aurait le temps de rejoindre la sécurité des dortoirs pour filles de sa salle commune, avant qu'il ne la rattrape.
- Ça reste toi ! Parce que tu n’assumes pas d’être victime d’une petite blague. Si j’avais lancé cette bombabouse sur les cheveux d’un autre élève, tu aurais ri.
La gryffondor roula des yeux de façon exagérée, quand elle entendit sa remarque sur ses cheveux, qui en passant étaient magnifiquement frisés, souples, brillants, doux et j’en passe. Ses cheveux étaient juste magnifiques.
Elle lui fit un sourire moqueur lorsqu’il lui demanda de ne pas l’appeler Toilette. « Dommage pour toi, Toilette, je t’appelle comme je veux. » pensa la gryffondor en essuyant son doigt maculé de boue malodorante avec un mouchoir. Ce faisant, elle perdit de vu Maximilian, durant un court instant. Et elle ne put que constater impuissante ce que ce diable avait osé faire à son sac à dos. Il l’avait maculé de cette boue marronnasse, qui sentait les égouts et maintenant son beau sac était répugnant. Elle savait déjà, qu’il ne reviendrait jamais à son beau rose d’origine.
-Oops.
Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Elle posa ses yeux remplis de colère sur lui, les traits de son visage se déformèrent, elle fronça ses sourcils, plissa ses yeux et serra ses poings :
« Tu… tu… tu te crois drôle, hummm. Mon sac, mon beau sac… pou-pou-pourquoi t’as fais ça ! C’est un cadeau de ma grand-mère ! Toi tu as juste besoin de te laver les cheveux ! »
Elle lui arracha violemment le sac des mains, le regardant avec des yeux écarquillés, tentant de le nettoyer frénétiquement à l’aide du bas de son tee-shirt blanc. Cependant, elle ne fit qu’étaler cette boue sur son sac et son tee-shirt devint rapidement aussi sale que son sac. Mais, elle ne s’arrêtait pas, c’était une des rares choses qui lui appartenaient et il venait de le salir sans aucun scrupule.
Elle ne réfléchissait plus vraiment, sinon elle aurait su qu’un simple récurvite lui aurait rendu son sac. Non, elle ne voyait que son sac à dos qu’elle chérissait, salie par pure méchanceté. Peut-être s’est-elle attaquée à la mauvaise personne, peut-être qu’elle n’aurait pas dû lui étaler la boue sur le visage, peut-être qu’elle aurait dû tout simplement partir. Mais, c’était trop tard, il était allé trop loin et elle ne ferait pas marche arrière.
Avant qu’elle puisse réfléchir aux conséquences de ses actes, elle lâcha son sac, se dirigea rapidement vers Maximilian et le poussa violemment, y mettant toutes ses forces. Un sourire s’étira sur ses lèvres, quand elle le vit tomber au sol :
« Voilà où est ta place Toilette ! » C'était de la pure méchanceté et elle le savait. Mais, c'était trop tard pour reprendre son geste maintenant. Paniquée, elle regarda son sac, puis le couloir et se demanda si elle aurait le temps de rejoindre la sécurité des dortoirs pour filles de sa salle commune, avant qu'il ne la rattrape.
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
3e année RP
21 juin 2020, 20:32
La vengeance se sent
Bon.
Je l'avoue, elle a un peu raison.
Ou plutôt, elle a complètement raison.
Si elle avait lancé cette Bombabouse sur un autre élève que moi, j'aurais sans aucun doute éclaté de rire, et je serais allé la féliciter pour cette blague.
Mais je ne peux pas lui dire ça.
Elle pourrait croire qu'elle a eu raison de salir mes beaux cheveux.
Ha ha.
Elle ne semble pas très contente...
Mes cheveux ont été vengés.
Je suis persuadé qu'elle regrette sa blague, maintenant que son sac autrefois rose est sali.
J'éclate de rire en la voyant frotter son sac à dos avec son tee-shirt pour le nettoyer.
Maintenant, les deux sont dans le même état.
Elle n'est pas très intelligente.
Elle m'a fait remarqué qu'elle est plus âgée que moi, et pourtant, elle semble incapable d'utiliser un sortilège pour nettoyer ses habits et son sac.
Génial.
Ses affaires tâchées vont lui apprendre que personne ne peut attaquer Max Volts sans le regretter plus tard.
Là, elle est allée trop loin.
J'étais trop occupé à rire, et je n'ai pas vu qu'elle avait laissé tomber son sac pour me pousser à terre.
Aïe !
Les filles sont vraiment folles.
Elle le regrettera.
On aurait pu penser que ses affaires tâchées lui auraient fait comprendre que je me vengerais.
Apparement, non.
Je me lève en lui jetant une regard noir, et hésite quelques secondes avant de riposter.
Mère m'a toujours dit que je devais arrêter de régler les problèmes avec la violence.
J'ai fini par comprendre ceci.
Sauf avec Jacob.
Mais là, je te peux pas m'en empêcher.
Je la pousse, et lui adresse un sourire méchant en la voyant tomber par terre.
Je ne ferrais jamais ça, mais il faut qu'elle comprenne qu'elle ne peut pas me pousser.
Je l'avoue, elle a un peu raison.
Ou plutôt, elle a complètement raison.
Si elle avait lancé cette Bombabouse sur un autre élève que moi, j'aurais sans aucun doute éclaté de rire, et je serais allé la féliciter pour cette blague.
Mais je ne peux pas lui dire ça.
Elle pourrait croire qu'elle a eu raison de salir mes beaux cheveux.
-Dis pas n'importe quoi, j'aurais jamais ris pour une blague aussi nulle.
Ha ha.
Elle ne semble pas très contente...
Mes cheveux ont été vengés.
Je suis persuadé qu'elle regrette sa blague, maintenant que son sac autrefois rose est sali.
J'éclate de rire en la voyant frotter son sac à dos avec son tee-shirt pour le nettoyer.
Maintenant, les deux sont dans le même état.
Elle n'est pas très intelligente.
Elle m'a fait remarqué qu'elle est plus âgée que moi, et pourtant, elle semble incapable d'utiliser un sortilège pour nettoyer ses habits et son sac.
Génial.
Ses affaires tâchées vont lui apprendre que personne ne peut attaquer Max Volts sans le regretter plus tard.
Là, elle est allée trop loin.
J'étais trop occupé à rire, et je n'ai pas vu qu'elle avait laissé tomber son sac pour me pousser à terre.
Aïe !
Les filles sont vraiment folles.
Elle le regrettera.
On aurait pu penser que ses affaires tâchées lui auraient fait comprendre que je me vengerais.
Apparement, non.
Je me lève en lui jetant une regard noir, et hésite quelques secondes avant de riposter.
Mère m'a toujours dit que je devais arrêter de régler les problèmes avec la violence.
J'ai fini par comprendre ceci.
Sauf avec Jacob.
Mais là, je te peux pas m'en empêcher.
Je la pousse, et lui adresse un sourire méchant en la voyant tomber par terre.
-Si tu essaye encore une fois de me faire tomber, je te pousserais pas à terre, mais plutôt par la fenêtre. Compris ?
Je ne ferrais jamais ça, mais il faut qu'elle comprenne qu'elle ne peut pas me pousser.
#666666 | #MMG
5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
5ème année RP en 2048-2049, filière Sport et soins
22 juin 2020, 17:49
La vengeance se sent
« Il a osé me pousser, moi une fille ! » pensa Daisy surprise, qui ne s’attendait absolument pas à ce que Volts réponde en la poussant aussi. Elle pensait sincèrement qu’il n’oserait pas. Encore une fois, elle l’avait mal jugé. La gryffondor tomba lourdement sur le sol et elle ressentit une douleur fulgurante au poignet gauche :
« Aïe ! Mon poignet ! » Dit Daisy en massant son poignet, elle le bougea, il était douloureux mais pas cassé. Sans doute foulé, elle posa un regard choqué sur Max qui montra l’étendue de sa méchanceté en une phrase :
-Si tu essaye encore une fois de me faire tomber, je te pousserais pas à terre, mais plutôt par la fenêtre. Compris ?
« Mais, que fait ce mec à gryffondor ! » pensa-t-elle choquée, ses yeux s’écarquillant. Elle mentirait si elle disait qu’elle n’avait pas eu peur en l’entendant prononcer ces mots. Mais, elle ne courberait jamais l’échine face à ce Maximilian Volts qui venait triomphalement de rafler la place d’ennemi numéro 1 de Daisy McGuyer. S’en était trop, il fallait qu’elle lui administre une bonne raclée dont il se souviendra toute sa vie, elle allait lui laisser une marque indélébile. Un sourire arrogant étira les lèvres de Daisy :
- Ah oui ? J’aimerais bien te voir essayer ! » Dit Daisy d’un ton provocant. Soudainement, elle attrapa le poignet droit de Maximilian et le mordit tellement fort qu’un goût de fer envahit sa bouche. « Là, il ne pensera plus jamais à me chercher des noises ! » songea-t-elle triomphalement. Il pouvait bien crier, gesticuler, elle ne lâcherait pas prise facilement, ses dents étaient bien plantées. Qu’importe qu’elle soit surprise par des professeurs ou des préfets, elle ne lâcherait pas prise. « Maintenant, je n’entendrais plus son rire débile. » pensa-t-elle sournoisement.
Néanmoins, elle eut le réflexe de lâcher d’une main son poignet, pour protéger le côté vulnérable de son visage, de peur de recevoir un coup de poing. Mais, ses dents ne bougèrent pas d’un pouce.
« Aïe ! Mon poignet ! » Dit Daisy en massant son poignet, elle le bougea, il était douloureux mais pas cassé. Sans doute foulé, elle posa un regard choqué sur Max qui montra l’étendue de sa méchanceté en une phrase :
-Si tu essaye encore une fois de me faire tomber, je te pousserais pas à terre, mais plutôt par la fenêtre. Compris ?
« Mais, que fait ce mec à gryffondor ! » pensa-t-elle choquée, ses yeux s’écarquillant. Elle mentirait si elle disait qu’elle n’avait pas eu peur en l’entendant prononcer ces mots. Mais, elle ne courberait jamais l’échine face à ce Maximilian Volts qui venait triomphalement de rafler la place d’ennemi numéro 1 de Daisy McGuyer. S’en était trop, il fallait qu’elle lui administre une bonne raclée dont il se souviendra toute sa vie, elle allait lui laisser une marque indélébile. Un sourire arrogant étira les lèvres de Daisy :
- Ah oui ? J’aimerais bien te voir essayer ! » Dit Daisy d’un ton provocant. Soudainement, elle attrapa le poignet droit de Maximilian et le mordit tellement fort qu’un goût de fer envahit sa bouche. « Là, il ne pensera plus jamais à me chercher des noises ! » songea-t-elle triomphalement. Il pouvait bien crier, gesticuler, elle ne lâcherait pas prise facilement, ses dents étaient bien plantées. Qu’importe qu’elle soit surprise par des professeurs ou des préfets, elle ne lâcherait pas prise. « Maintenant, je n’entendrais plus son rire débile. » pensa-t-elle sournoisement.
Néanmoins, elle eut le réflexe de lâcher d’une main son poignet, pour protéger le côté vulnérable de son visage, de peur de recevoir un coup de poing. Mais, ses dents ne bougèrent pas d’un pouce.
Ma grand-mère m'a toujours dit : «si tu ne sais pas qu'elle est ta place, dessine ta propre case»
3e année RP
22 juin 2020, 18:32
La vengeance se sent
Je regrette de l'avoir poussée.
Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça.
Elle m'a énervée.
Elle m'a poussée.
Mais j'avais promis à Mère que je ne me battrais plus avec quelqu'un.
Sauf avec Jacob.
Mère sait que, si mon frère me frappe (ce qu'il fait tout le temps, allez savoir ce qui se passe dans sa tête), je suis presque obligé de riposter, sinon il se moquera de moi jusqu'à ce que j'en meurs.
Mais j'ai été renvoyé de mon ancien collège car une bagarre avec Jacob pendant un cours avait été "la goutte d'eau qui avait fait déborder le vase", d'après le directeur.
Il n'appréciait pas vraiment mes absences à répétition, lorsque je séchais les cours avec Clark.
Mère n'était pas en colère, mais son regard déçu m'a marqué.
Aïe !
Elle est folle.
Elle vient de planter ses dents dans mon poignet.
Je suis persuadé que je saigne à cause d'elle.
Je secoue mon bras dans l'espoir qu'elle lâchera prise, mais elle semble déterminée à couper mon bras en deux en le mordant.
Je me retiens de crier.
Il ne faudrait pas qu'elle comprenne qu'elle me fait mal.
Et apparement, elle a peur de moi, car l'une de ses mains semble protéger son visage.
Peut-être pense-t-elle que je vais la frapper.
Je ne vais pas faire ça.
Plus de bagarre.
C'est ce que j'ai promis à Mère.
Alors, il faut que je trouve quelque chose pour qu'elle arrête de mordre mon bras.
La peur.
Si je lui fais peur, elle partira sans doute.
-Lâche-moi immédiatement ! Sinon, j'te frappe !
Ça ne me gêne pas de mentir.
Je ne la frapperais pas.
J'ai suffisamment honte de l'avoir poussée.
Mais, si elle me croit capable de la frapper...
Elle regagnera peut-être la salle commune de Gryffondor.
Parce que je commence vraiment à avoir mal.
Elle doit être folle.
Qui oserait mordre le bras de quelqu'un, à part elle ?
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