De la peur ? Carry laissa un rire mauvais lui échapper alors qu’elle laissa son sourire lentement se dissiper. Tenir une baguette était une chose que Carry n’eut pas la chance d’expérimenter depuis pas mal de temps et sentir le bois entre ses doigts lui fit ressentir une peur étrange, comme si, la tenir faisait d’elle un hors-la-loi en train de braver le règlement.

Sous plusieurs regard, Carry suivit de près Chassin d’un œil intéressé et une main dans sa robe, tenant toujours la baguette de la Gryffondor. Une fois toutes les deux arrivées, Carry prit le temps de considéré le nouvel environnement qui s’étendait autour d’elle. Le lac noir et ses eaux s’étaient juste devant elle avec le vent soufflant à la surface de l’eau faisant frissonner délicatement Carry qui se retourna pour rejoindre Chassin derrière le buisson.

Après avoir vérifié à plusieurs reprises qu’elles étaient bien seules, Carry prit le temps de s’asseoir en croisant les jambes sur l’herbe et verbe et s’appuya en arrière avec ses mains en regardant son opposante avec supériorité.

-Bon, nous y voilà, miss je veux-sauver-les-nés-moldus. Ricana-t-elle en en lui souriant. En vrai, maintenant que nous sommes à l’abris des regards indiscrets, je continue de me demander pourquoi tu m’as proposé de venir te parler en tête à tête, est ce qu’au fond tu regrettes tes paroles et tu voudrais t’excuser tout en préservant le peu de dignité qu’il te reste ? Allez j'oubli tout ça si tu acceptes de dire que les sang-de-bourbes sont équivalent à du bétails.

Carry avait pris un ton sarcastique. S’il y’avait une once de dignité chez cette fille, elle devait surement l’avoir perdu depuis longtemps. Mais elle voulait quand même savoir ce qu’elle lui voulait pour au point lui demander un entretient priver cacher aux yeux des autres.

Tu avais emmené Carry à l’endroit que tu pensais, sans te retourner, pour vérifier qu’elle n’allait pas te faire de mal. Non. Tu avais autre chose à faire, et si la Serpentard voulait armer, tu lui laisserais sans doute le temps de le faire. Tu voulais voir jusqu’où sa méchanceté pouvait aller, et c’est pourquoi tu l’avais emmené ici, loin des autres. Mais pour l’instant, il fallait qu’à ses yeux tu sois quelqu’un d’intéressant aux idées nulles. Il fallait que tu la provoque également.

Carry parla la première, toujours avec son ton insolent. Pour ce genre de choses, toi et la Serpentard étiez pareils, toujours à vouloir énerver. Mais malheureusement, du fait de vos idées, vous ne pourriez pas rester longtemps sans vous faire des remarques. Ce que disais Carry te semblait ridicule, et tu savais, ou du moins pensais, c’était que Carry devait savoir que tu n’étais pas là pour t’excuser. Mais bon, tu lui répondis comme tu l’aurais fait:

- M’appelle pas comme ça espèce de limogée! Et puis je suis ici pour totalement le contraire vois-tu. Déjà, pourquoi détestés-tu autant les né-moldus?

Tu ne lui laisses pas le temps de répondre avant de continuer d’un ton, pour lui répondre, insolent, avec un petit sourire au coin des lèvres...

-C’est papa maman c’est ça? Tu ne réfléchi pas par toi même. Évidemment pour toi, ce que pense ta vielle noble famille a toujours raison, alors qu’il ne se sont pas ouvert l’esprit que votre petit groupe de sang... PURS!

Tu la regardais maintenant droit dans les yeux, les bras croisés, attendant sa réponse...

Carry laissa entendre un petit rire malsain lui passer à travers la bouche. Chassin avait visé juste quelque part. Ce qu’elle pensait des nés-moldus et des moldus ne venait pas de sa propre expérience mais plutôt des dires de ces parents. La famille c’est ce qu’il y’a de plus précieux au monde, très peu de personnes au monde le comprenait mais Carry avait l’avait compris depuis sa plus tendre enfance. Aujourd’hui, dans l’espoir de retrouver le peu de valeur qui lui restait auprès de ses parents elles étaient prêtes à boire les paroles de ses parents sans aucune retenue.

Les yeux de Carry lancèrent un regard remplit de suffisance et se transformèrent doucement en mépris. Il n’y avait pas moyen de raisonner la Gryffondor, elle restait dans l’optique que les moldus et les sang-de-bourbes avaient autant de droit que n’importe qui, pathétique et naïf de sa part de penser ainsi. En réponse aux dires de la Rouge, Carry prit un air amusé et faussement interrogatif avant de lui présenter ce petit sourire supérieur.

- Oh ma famille a toujours raison affirma avec fierté Carry. Figure-toi qu’aujourd’hui ils se promènent dans les hautes sphères de la Citadelle et décident du sort des pestes comme toi et des sang-de-bourbes. Elle marqua une courte pause pour réfléchir sérieusement à la question que Chassin lui avait posé. Pourquoi je les déteste ? Dis-moi, si tu voyais la Peste se répandre dans ta maison à cause de la vermine qui court partout, ne les détesterais-tu pas ? C’est la même chose. Les nés-moldus est une infection qui tue notre monde de l’intérieur alors que celui-ci à besoin de guérir de ce cancer que sont ces sous-êtres impurs.

Carry leva les yeux aux ciels et repensa aux nombres de fois où elle avait du donné l’explication de pourquoi elle les détestait. Comme aimait le faire remarquer son père, ce n’était pas de la haine, mais du mépris. IL y’a des traditions qui se perdent dans le monde sorcier et voir de plus en plus de cette sous-race intégré la communauté magique était quelque chose d’absolument abominable à voir.

-Et sinon dit moi, tes parents, ils ne seraient pas à Azkaban par hasard ? Car si ce n’est pas le cas je pense que ce ne sera plus qu’une question de temps. Laissa-t-elle entendre en lui faisant un petit clin d’œil.

Carry Harrison. Cette fille que tu avais côtoyé depuis ta rentrée à Poudlard. Tu étais en incompréhension face à ses propos. Tu voyais maintenant une fille à haïr, une fille qui a mis ton père en prison, une fille qui était ton ennemi. Tu t’approchas doucement d’elle.

-Harrison, redescend un peu. Je te rappelle que tu es une salle limogée banni à passer le balai, à ta place je ne monterais pas haut.

Tu la regardais droit dans les yeux, avec un visage neutre, tout en prenant soin, de ne pas voir son petit sourire niait. Tu ne comprenais pas ses arguments, et tu voulais riposter après chaque mots, mais tu attendais qu’elle ai finis .

- Je pensais t’es parents moins idiots que ça figure toi. Maintenant je suis persuadé d’une chose, tu n’as pas de cerveau Harrison... Papa et maman ont du l’oublier...

Tu la regardais toujours avec ton visage neutre, en crachant entre tes dents. Carry énonça les lit Azkaban. Ton sang ne dit qu’un tour. Voila que tu avais essayer d’oublier. Mais Carry était là pour remettre le couteau dans la plaie, elle avait raison, ton père y était bien. Sans le vouloir, tu baisses les yeux. Trente secondes plus tard, tu te remis à regarder Carry, un peu déboussolé, mais avec le visage toujours neutre.

-Non, ils n’y sont pas!

Menteuse!

-Ma famille est digne, et réfléchit ! Ils n’iront jamais, peut-être même qu’ils enverront les tiens là bas, quand ils auront gagné !

N’en pouvant plus, ton pied, sortit de l’alignement de ton corps, pur venir s’abattre violemment dans les côtes de Carry. Ton poings enchaîna dans sa figure. Tu reculais ensuite, espérant qu’elle soit tombée à l’eau...

Ne s’attendant pas à une réaction pareille, Carry sentie son souffle coupé suivie d’une douleur vive au niveau de la figure. Manquant de de tomber après ses quelques pas en arrière, elle porta une main au visage pour couvrir l’écoulement de sang qui sortait de son nez et son autre main au niveau des côtes pour calmer la douleur. Finalement le petit chien s’était mis à mordre et pas qu’un peu. Malgré la douleur qui lui rongeait le corps, Carry se mit à rire entre de léger gémissement de douleur. Elle avait réussi à faire vaciller le calme de la Gryffondor avec tant de faciliter qu’elle devina qu’il y’avait surement du vrai en ce qui concernait Azkaban, sinon, pourquoi en recourir à la violence ?

-Oh ils n’y sont pas ? Pourtant ton petit saut d'humeur laisse à penser le contraire.Ria-t-elle en souriant avec défiance. C’est lequel des deux qui séjourne avec les detraqueurs ? Ton papa ? Ta maman ? Les deux ? Si ça se trouve ils sont tous les deux morts et te regardent depuis l’autre monde en ce moment même. Ils doivent surement s’indigner de toi avec tes mensonges.

Si Carry prenait la décision de se battre, miss Loewy en entendrait surement parler et de là, adieux tout chance de revenir un jour dans cette école en tant qu’élève. Non, même si l'envie de se battre était grande, il était inutile de recourir à la violence. En choisissant bien ses propos, elle savait que les mots pouvaient se montrer aussi douloureux que des coups mais aussi tranchant et dangereux qu'une lame, il suffit juste de savoir comment bien les utiliser et surtout sur quel point sensible.

-Tu sais, on raconte qu’après un certain moment à Azkaban, les prisonniers deviennent fous et sont incapables de penser sainement, certains en viennent même à devenir amnésique. Cria Carry en continuant de rire pour palier à la douleure qui commençait à diminuer lentement. Si par miracle tes parents ont survécu à Azkaban, je doute qu’en sortant ils se souviendront de toi, Chassin. Enfin Après, ce n'est pas une grosse perte, qui voudrait se souvenir de toi ? C’est ce que tu mérites pour fraterniser avec la vermine née-moldue.

Carry attaquait. Elle trouvait les bons arguments, pour te mettre hors de toi. Mais tu avais remarqué quelque chose. Elle n’osait pas te faire du mal. Elle aurait pu en avoir l’occasion, mais elle ne l’avait pas fait. Elle usait simplement des paroles. Après avoir donné un bon coup qui faisait du bien, tu te fermas dans ta bulle, pour laisser couler ses paroles qui te faisaient tant mal. Elle avait trouvé le bon terrain pour t’attaquer. Le seul qui te faisait souffrir, autre que la solitude. Ton père n’avait rien dan cette histoire, il n’avait même pas eu le temps d’agir, qu’il était déjà enfermé. Il n’avait rien fait, tout comme Carry n’en savait rien. Après avoir soufflé un bon coup, tu positionnas tes yeux, dans ceux de Carry.

-Mes parents sont dignes. Les tiens, par contre, on fait une peste. Si t’es meilleure que moi, pourquoi tu fais le ménage hein? Tu vois, tu laves la table où je Mange. Tu laves l’assiette dans laquelle je mange. Tu es comme un serviteur pour moi. Donc inférieur.

Ces paroles étaient sortis calme, mais à l’intérieur, tu bouillais, toujours du à ton père. Tu en avais marre, et tu souffrais de ne plus le voir. Il te manquais, et tu n’avais aucune nouvelle. Ça se trouve, Carry avait raison et la seule raison pour lequel tu avais l’impression de lui parler dans tes rêve, c’était parce qu’il avait rejoins le ciel. Tu n’arrivais pas à te faire à cette idée. Et tu ne voulais plus voir la Serpentard. La seule solution, pour la faire disparaître, était de la pousser. Ce que tu fis. Tu donnas un grand coup dans la poitrine de l’ex troisième année, qui perdit l’équilibre. Elle tomba à l’eau. Elle était maintenant en dessous de toi.

-Tu es une faible Carry.

Dans un moment où elle s’y attendait le moins, Carry se sentie projeter en arrière avant de s’écraser et s’enfoncer profondément dans les eaux du lac. De de grands mouvements désordonnées, elle essayait de garder la tête hors de l’eau en essayant de battre des jambes. L’idée première fonctionnait, seulement pour un temps cependant. Les fibres de chaque muscles de Carry commençaient à bruler, son cœur battait de plus en plus vite et son souffle commençait à se faire de plus en plus court. Chaque seconde qui passait était une seconde de plus avant que Carry ne se fatigue définitivement et sombre profondément dans le lac.

Dans ses derniers efforts, Carry poussa sur ses jambes et pris une grande inspiration en essayant de retourner sur le bord du lac. Mais les forces lui manquaient et si cela ne suffisait pas, une vive douleur intima à sa jambe de ne plus faire aucun geste sous peine de lui faire subir une douleur dont elle n’avait pas idée. S’aidant de ses trois derniers membres valides, Carry continuait de battre de sa jambe et ses bras en criant le plus fort possible dans l’espoir que quelqu’un se rende compte de la tentative de meurtre qu’elle était en train de subir. Epuisant ses dernières forces, elle réussit à laisser un dernier crie sortir de sa bouche avant que sa tête ne passe en dessous de l’eau. Elle était épuisée mais aussi morte de peur. Quel était le pire ? Se faire dévorer par une créature inconnu du lac ? Ou bien se noyer en attendant tranquillement que le sommeil ne la gagne ?

Voyant de plus en plus la lumière de la surface s’éloigner. Carry leva une main désespérée avant de sentir son manque d’air lui comprimer le cerveau. Bientôt elle allait devoir expirer et quand cela se produira, la seule chose qu’elle inspirera…sera sa fin.

Tu étais énervé, tu voulais faire disparaître cette fille, qui n’avait rien à faire dans ce monde, qui ne méritait pas d’être la. Tu l’avais vu tomber. Tu avais détourner le regard, cette fille était méprisante, et tu la détestais, tu la détestais plus que tout. Tu regardais face au château, dans le vide, en pensant à tes parents qu’elle venait tout juste d’insulter. Elle avait insulter ta famille, et toi, surtout toi. Tu te pensais pure, tu pensais à tes parents qui t’avais éduqué, et grâce à eux, tu ne finirais pas en mal, comme cette fille là.

Pendant que ton regard était partie, avec ta pensée, un petit bout de ton cerveau ne pouvait s’empêcher, de voir ce qui se passait derrière toi, il y avait des cris, des gémissements de peur. Instinctivement, tu te retournas, pour voir. Personne, il n’y avait plus personne. Tu fis le lien directement avec la dernière image de Carry, tu l’avais poussé, elle avait gémit, puis elle avait disparu. Toute la haine que tu avais envers cette fille avait disparut, tu ne te souvenais même plus de qui était la personne.

Tu plongeas dans l’eau, élément où tu te sentais bien. Tu étais à l’aise, et toi, n’avais pas peur de l’immensité. Tu nageais sous l’eau et dans le vide, cherchant un bout de cette fille. Tu avais attrapé, quelques plantes, avant de toucher une main. Tu l’attrapas, et commenças à la remonter. C’était dur, et elle t’emmenait vers le fond. Tu descendis le long de son corps, pour la prendre à ma taille, et tu réussis à remonter. Quand tu sortis ta tête de l’eau, tu pris une grande bouffée d’air. Tu avais de l’apnée mais dix secondes de plus sous l’eau, tu te serais sentie mal.

Tu remontas la fille sur la berge, avec beaucoup de mal. Elle ne bougeait pas, et elle faisait environ le même poids que toi. Tu t’arrêtas une fois que son dos fut allongé sur le rebord, ses jambes trainaient encore dans l’eau. Tu approchas ensuite ton oreille de son cœur, désemparé, de la possibilité, que tu aies tué quelqu’un. T’es yeux retenais les larmes et quand tu entendis le battement de son cœur, les larmes coulaient, de soulagements.

L’hiver. Le vent soufflait par-delà les montagnes. Des flocons de neiges tombaient dans les plaines inconnus qui entouraient ces monts rocheux avec en son centre un lac sombre qui semblait à première vue profond. Le corps de Carry se tenait au centre du lac, sur le dos et faisait face au ciel avec un regard vitreux. Avec la brise qui soufflait légèrement, son corps se retrouvait à la dérive et s’enfonça progressivement dans les eaux profondes sans se débattre.

Un rêve ? Un cauchemar ? L’eau semblait l’agresser de toute part, l’air lui rappait la peau a son touchée tandis que dans sa bouche, elle essayait de l’étouffer. Soudain, le corps qui était encore inerte il y’a quelque instant, se débattit comme un diable pour regagner la surface mais chaque effort demandait plus d’Energie que le mouvement précèdent et cette fatigue brulait chacun de ses muscles qui souhaitaient ne plus être sollicités.

D’un regard mort a un regard effrayée, Carry essaya de crier mes rien que des bulles d’oxygènes sortaient de sa bouche. Elle continuait de battre des mains et des jambes en espérant que quelqu’un vienne la sauvée. Venant des profondeurs de ce lac inconnus, des algues vinrent trouver leur chemin vers le corps coulant de la Serpentard et se saisirent chacun d’un de leur membres et la trainaient un peu plus vers le fond. Carry criait, Carry suppliait, Carry pleurait. Peu a peu ses espoirs diminuaient pour finalement cesser d’exister. Dans un souffle qui se manifesta de quelque bulles, Carry regarda en silence la lumière s’éloigner et dans un dernier soupire voyant les flocons blancs flottées doucement vers le vers elle, la recouvrant peu à peu complétement.

Son estomac commençait à faire mal, de l’eau sortait soudainement de sa bouche tandis que son organisme crachait le liquide en trop. Une violente quinte de toux vint s’emparer d’elle tandis qu’elle réouvrit les yeux comme si c’était la première fois. Tout ça n’était qu’un cauchemar…sous ses mains encore humide, Carry pouvait sentir des cailloux et quelques herbes qui se pliaient sous son poids…Le ciel était devenu gris et en relevant péniblement la tête en continuant de tousser, elle reconnu l’environnement ou elle se trouvait, Poudlard… La noyade n’avait donc finalement pas eu lieu, une âme avait enfin eu pitié d’elle et était venu à son secours.

Alors qu’elle se retourna encore essoufflée, ses yeux vinrent à la rencontre de son sauveur, ou plutôt, de sa sauveuse. Jamais elle n’aurait cru que Chassin, celle qui l’avait poussée un peu plus tôt dans le lac, allait être celle qui l’avait sauvée. En elle, ses sentiments étaient partagés, une part d’elle voulait se venger et lui sauter dessus pour lui faire payer cet affront qu’elle lui avait fait subir tandis qu’une autre voulait tout simplement se montrer reconnaissante envers son geste. Mais comment pouvait-elle se montrer reconnaissante envers celle qui avait failli la tuer ? Carry se ravisa et prit la décision de se coucher sur le côté et de lui tourner le dos. Si cette folle pensait qu’avec quelque pleure elle lui pardonnerait, elle se trompait lourdement.

-Tu n’aurais jamais dû me sauver…Je t’aurais laissé couler si ça avait été moi… murmura Carry qui savait que c’était de la fierté mal placé… elle aurait prefere que ce soit quelqu'un d'autre que cette adoratrice de Sang de Bourbe qui la sauve mais le desint en a voulu autrement.

Ton geste avait été instinctif. Tu n’avais pas réfléchi avant de sauter, pour aller à l’encontre de Harrison. Tu l’avais d’abord pousser de rage, ne sachant pas, que la Serpentard, avait peur de l’eau. Elle se montrait si fière, mais ne savait même pas nager. Tu t’étais mouillée pour elle, tu lui avais sauvé la vie. Comme tu t’en doutais, la Serpentard, n’etait absolument pas reconnaissante. Trop fière d’elle, que à en croire ses paroles, elle préférait sa fierté à sa vie. Tu étais un peu pareil, mais à in degrés en dessous. Tu n’étais pas aussi ridicule que ça.

Les larmes avaient coulées toutes seules. Tu ne voulais pas montrer cette faiblesse à Harrison, alors pendant qu’elle se retournait, tu les essuyas rapidement.

« Ce n’est pas des larmes, juste des gouttes d’eau. »

Tu venais de parler t’un Ton sec. Tu ne la regardais pas. La Serpentard t’énervait juste en parlant. Sa fierté, était à la base de toutes ses paroles, a croire qu’elle commandait son cerveau. Pourquoi, chez toi sauver quelqu’un était instinctif? Sûrement parce que une mort sur ta conscience, ne t’aurais pas aidé.

« La est la différence entre nous deux Harrison. Tu es aussi inutile que les cailloux sur lesquels nous marchons. Tu as le même cœur qu’eux. Pas étonnant que personne t’aime. Tu sers qu’a nous faire chier à longueur de journée. Pas étonnant que tu sois toujours seule, sans amis. Poudlard, est une école pour sorcier, et non essentiellement pour des sangs-purs. Donc si jamais tu as encore envie d’aller en embêter un, autant que tu te casses d’ici. »

Tu étais à présent debout, dos à la Serpentard.

@Carry Harrison désolée du retard!