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02 nov. 2020, 19:51
Comptons les moutons funèbres
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Je sécha mes larmes et pris une grande inspiration. Je le voyais qui était sur le point de partir puis il me demanda si je voulais être seule...

-Fais ce que tu veux après tout rien ne t'oblige à rester avec moi, surtout que je t'ai mal parler et qu'on se connait à peine... Il est tard rentre dans ton dortoir si tu veux. J'ai l'habitude...

Je resta silencieuse, dans la pénombre de la nuit, dans l'obscurité du couloir, dans le froid du mois de septembre... J'avais l'habitude... De rester seule... Je ne pensais pas qu'être fille unique m’apporterais tant de solitude... Quand j'étais petite, non, mais j'ai l’impression que plus je grandis, plus on me laisse seule, plus je me renferme sur moi-même... Plus ma vie deviens sombre... Je ne veux pas d'une vie comme ça ! Je veux une vie pleine de couleurs, de bonne humeur, de joie de vivre ! Mais la vie en a décidé ainsi et je vais devoir l'accepter aussi...

Ces moldus... Ils ont brulé ma maison, tabassé mes parents, puis ils s'enfuient comme des lâchent les laissant... là... ruinant leur vie et le mienne... Et en plus on me demande de leur pardonner... C'est le comble ! Je ne leur pardonnerais jamais ! Ce sont eux les vrais monstres dans l'histoire... Comment j'ai pus leur faire confiance aussi longtemps... Je leur ai laissé tellement de chance... J'avais espoir qu'ils changent... Mais là, c'est impardonnable.

@Eugène Harlow
Dernière modification par Rafaëla White le 13 nov. 2020, 17:23, modifié 1 fois.

Marraine de petits chats diaboliques !
Je suis une patate douce !

03 nov. 2020, 09:50
Comptons les moutons funèbres
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Septembre 2045
Feat @Rafaëla White

Eugène resta silencieux, attendant une réponse de sa part. La lionne sécha ses larmes, avant de prendre une grande respiration pour ensuite lui répondre qu'il faisait ce qu'il voulait. Comme elle le disait si bien, rien n'obligeait Eugène de rester, surtout après leur petite altercation. Cependant, le garçon ne se sentait pas capable de faire demi-tour, parcourir les couloirs et retourner sagement dans son dortoir, en sachant que quelqu'un pleurait non loin. Il ne pouvait pas comprendre toutes ses peines et ses tourments, mais, parfois, une simple présence suffisait à éloigner les mauvaises pensées.

Le silence retomba, comme un coup de massue. Il n'y avait rien de rassurant dedans, simplement une amertume remplit de solitude. Ô Archange Chamuel, elle semblait en proie à tant de souffrance, pourquoi ne pas lui accorder la paix ? À son tour, Eugène prit une grande inspiration, alors qu'il tapotait le pommeau de sa canne du bout de ses doigts.

— Je... eh bien... je peux rester un peu ?

Cette fois, il osa la regarder droit dans les yeux. Il attendit une réponse, alors que son langage corporel laissa supposer qu'il était prêt à partir si elle le voulait. Eugène ne voulait pas non plus s'impose, mais au moins faire savoir à Rafaëla qu'elle n'était pas seule, malgré ce qu'elle semblait penser – du moins, c'était ce qu'il supposait.

— Dans des moments difficiles... être seul n'est pas bon, rajouta-t-il avec précaution, mais je peux partir si tu le souhaites.

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"Dramaqueen à ses heures perdues avec Ella Davis"
4e année RP | Je parle en gras

14 nov. 2020, 14:09
Comptons les moutons funèbres
J'étais étonnée de sa réponse... Mais il avait raison... rester seule n'était certainement pas la bonne solution... Je baissais la tête un peu honteuse de lui dire ça...

-Je veux bien que tu reste...

Le regard de nouveau dans le vide, je ne savais pas si lui faire confiance... Je ne savais pas si je pouvais lui dire pourquoi je n'étais pas bien, pourquoi je suis sortis, pourquoi je suis seule, ou, pourquoi je suis détruite, ou encore, pourquoi je ne fais plus confiance...

Je sens que cette année va m'en faire voir de toute les couleurs... Et je ne suis pas prête... Je suis déjà détruite, j'ai peur que le reste soit de pire en pire...

J'ai la tête qui tourne, de plus en plus, comme un malaise. Je sens les battements de mon cœur s'accélérer, je me sens comme emprisonner, j'ai de mal à respirer...
Je me sens vaciller, mes yeux se ferme... Non, pas maintenant, pas aujourd'hui, pas ici...
D'une voix très fébrile, je réussis à dire ces quelques mots...

-Je... ne me sens pas bien...

Je sens mon corps tomber sur le sol, heureusement que je ne suis pas tomber de très haut, ma tête cogna elle aussi contre le sol froid du couloir, je n'avais plus de force... J'étais exténuée, je n'avais plus assez de force pour me relever... Je me sentais sombrer dans une sorte de rêve... La pénombre s'emparait de mon être tout entier... Mais elle me débarrassait de tous mes problèmes... étrange...


@Eugène Harlow

Marraine de petits chats diaboliques !
Je suis une patate douce !

16 nov. 2020, 11:05
Comptons les moutons funèbres
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Septembre 2045
Feat @Rafaëla White

Eugène attendait avec patience sa réponse, prêt à partir si la jeune fille en décidait. D'ailleurs, Eugène était certain qu'elle allait refuser, alors imaginait sa surprise quand ce ne fut guère le cas ? Elle avait baissé sa tête, sans doute par pudeur ou par honte, peut-être un peu des deux. Rafaëla souffla qu'elle voulait bien de sa présence et, à ses mots, Eugène s'approcha de quelques pas. Assez pour être proche tout en lui laissant son espace.

Le silence retomba, assourdissant. Autour d'eux, le couloir était toujours plongé dans un noir profond, en partie chassait par leurs baguettes. Eugène réfléchissait à ses prochains mots, à ce qu'il pourrait dire et, au contraire, ce qu'il ne pourrait pas dire. Pouvait-il demander ce qui la tracassait ? Ou cette question sera-t-elle mal vu ? Qu'importe, il semblerait qu'Eugène ne puisse la poser ; Rafaëla respira étrangement et cela alerta aussitôt le garçon. Elle vacilla en fermant les yeux et avant qu'elle ne chut, elle s'exprima d'une voix fébrile :

— Je... ne me sens pas bien...

Eugène n'eut aucunement le temps de la rattraper. Elle tomba de tout son long et sa tête cogna. Aussitôt, la panique monta d'un cran, faisant pulser son cœur dans sa tête bourdonnante. Venait-elle de faire un malaise ? Il devait l'emmener immédiatement à l'infirmerie, il le savait, mais seul avec sa boiterie aller être compliqué. Eugène trépignait sur place, incertain. Pouvait-il la laisser là, le temps d'aller chercher du secours ? Peut-être qu'un adulte était debout, surveillant les couloirs ? Ou bien un autre élève tout aussi insomniaque qu'eux ? Seigneur, faites que cela soit le cas, espérait-il.

— Ok Rafaëla, ne t'inquiète pas, je vais chercher quelqu'un !

Le gamin espérait qu'elle avait entendu ses mots, tandis qu'il tournait les talons et filait aussitôt en direction des escaliers, sa canne claquant dans un bruit des plus sourds.

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"Dramaqueen à ses heures perdues avec Ella Davis"
4e année RP | Je parle en gras

27 déc. 2020, 22:48
Comptons les moutons funèbres
SEPTEMBRE 2045
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Depuis la rentrée, Rafael avait du mal à trouver le sommeil, il n’arrêtait pas de penser à sa famille et notamment à la maladie de son père. Il avait passé plusieurs jours avec lui et il rejoignait sa mère sur le fait qu’il n’était pas d’accord avec le diagnostic posé. Selon lui, son père n’était pas atteint d’Alzheimer et il ne cessait de penser à ce que cela pouvait bien être. Les nuits étaient donc redevenues hachées et courtes à l’image de celles quelques années plus tôt. L’infirmier en avait donc profité pour se porter volontaire pour faire des rondes dans le château pour s’assurer que les élèves respectent le couvre-feu.

C’est donc la tête ailleurs que le trentenaire déambulait dans les couloirs du château, baguette à la main. Les rayons de lumière créés par sa baguette magique avait tendance à déranger certains tableaux mais ils semblaient comprendre qu’il faisait son travail et qu’il n’était pas là pour les déranger. Ils ne lui disaient rien mais les visages parlaient d’eux-mêmes. L’infirmier continua d’évoluer ainsi en espérant que ces va-et-vient le fatigueraient suffisamment pour qu’il puisse s’endormir rapidement. Malheureusement, ce n’était pas le cas et une rencontre allait endiguer ses envies de sommeil.

Alors qu’il arrivait près des escaliers, Rafael entendit un bruit sourd et répété venir dans sa direction et il sortit de ses pensées. Il tendit sa baguette en direction du bruit en se demandant qui pouvait enfreindre ainsi le règlement en se montrant aussi peu discret. C’est alors qu’il aperçut un jeune garçon marcher en sa direction aussi vite que son corps le lui permettait. Avant que le garçon ne puisse dire quoique ce soit Rafael ouvrit la bouche pour lui demander des explications.

« — Puis-je savoir ce que vous faites dans les couloirs à cette heure jeune homme? Vous n’avez pas écouté le discours de bienvenue de notre directrice ? »

Infirmier à Poudlard en 2045 — Professeur de Vol à Poudlard de 2046 à 2049Professeur de Courses de balais à l'ISMI depuis 2049
Color: #005D76 — Demande de RP : — Demande de PR:

27 déc. 2020, 23:19
Comptons les moutons funèbres
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Septembre 2045
Feat @Rafaëla White & @Rafael Mason

Je vous remercie une dernière fois d'avoir accepté d'intervenir dans notre rp, monsieur

Eugène était complètement mortifié par la situation dans son ensemble. Finalement, avait-il bien fait de la laisser seule ? Il songea à rebrousser chemin et de rester auprès d'elle en espérant que quelqu'un passerait. Après tout, tout et rien pouvait se produire pendant son absence. Ses sens étaient en alerte, à l'affût du moindre petit bruit. En à peine quelques secondes, son regard fut attiré par une lumière au loin. Eugène ne réfléchit pas, porté par l'urgence. Il boita et fut soulagé en devinant la silhouette d'un adulte. Oh, merci Seigneur, pensa-t-il.

Il ouvrit la bouche et s'apprêtait à pointer du doigt une direction, quand l'adulte prit la parole :

— Puis-je savoir ce que vous faites dans les couloirs à cette heure jeune homme? Vous n’avez pas écouté le discours de bienvenue de notre directrice ?

Il baissa la tête honteusement, le dos vouté et les épaules remontés.

— Pardonnez-moi monsieur, je n'ai aucune excuse valable, mais il y a une fille qui s'est évanouit dans un couloir, elle a besoin t'aide.

Eugène essayait de garder son calme, histoire de rester claire. Ses mots n'en restaient pas moins hachurés par sa respiration sèche et irrégulière qui n'était pas le résultat de sa – pseudo – course. L'angoisse pulsait dans ses veines. Son cerveau n'était que bruit blanc et incombant. Son cœur cognait douloureusement. Puis, il pensa à un détail.

— En tombant, sa tête à cogné fortement contre le sol.

Il savait que ce n'était pas forcement bon. Son père lui disait qu'un fort coup sur le crâne pouvait être dangereux.

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"Dramaqueen à ses heures perdues avec Ella Davis"
4e année RP | Je parle en gras

04 janv. 2021, 15:44
Comptons les moutons funèbres
Le jeune garçon comprit très vite qu’il avait fait une bêtise. Il baissa la tête en entendant les paroles de l’infirmier, le dos vouté. Il ne s’était peut-être pas attendu à ce qu’un adulte soit dans les parages.Il finit par s’excuser mais la suite coupa Rafael dans son élan. Il lui révéla qu’il n’avait aucune excuse mais lui fit comprendre qu’il avait besoin d’aide. Une élève s’était évanouie dans les couloirs et ce garçon cherchait quelqu’un pour l’aider. Rafael n’eut aucun mal à identifier que le garçon avait fait un effort pour venir jusqu’ici et il décida de mettre les remontrances de côté pour le moment, il verrait cela une fois que la situation serait réglée.

Le garçon ajouta que la fille s’était cognée la tête contre le sol. Cela ne présageait rien de très bons aux yeux de l’infirmier. Un trauma crânien avec perte de connaissance n’était pas une bonne chose, bien qu’avec une chute de sa hauteur, il était peu probable que la jeune fille ait un problème très grave. Dans le doute, il préférait voir de II même et ausculter la jeune fille pour en savoir plus. Il laissa tomber les explications pour le moment et demanda plus de précisions aux garçon:

« — Que s’est-il passé ? Elle est tombé des escaliers ou bien juste de sa hauteur ? Emmenez moi jusqu’à elle s’il vous plait! »

Infirmier à Poudlard en 2045 — Professeur de Vol à Poudlard de 2046 à 2049Professeur de Courses de balais à l'ISMI depuis 2049
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03 févr. 2021, 17:13
Comptons les moutons funèbres
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Septembre 2045
Feat @Rafaëla White & @Rafael Mason

Pardonnez-moi pour mon temps de réponse

Aux mots de l'adulte, Eugène montra une direction et commença à se mouvoir, tout en répondant à sa question :

— Elle n'est pas loin, à un étage plus bas dans un couloir, elle est seulement tombée de sa hauteur.

Ils atteignirent l'escalier et l'empruntèrent aussitôt, s'empressant d'entrer dans ledit couloir qu'Eugène avait mentionné plus tôt. Par chance, Rafaëla était toujours là, mais d'ici, elle semblait encore inconsciente. Porté par l'urgence, Eugène s'obligea à accélérer son pas, tandis que son cerveaux rejouait les scènes précédentes. Il cherchait un détail utile à donner à Monsieur Mason, ce qui aurait pu amener la lionne à s'évanouir soudainement, mais en vain. Mise à part sa profonde tristesse, elle semblait aller bien physiquement.

— C'était soudain. On parlait simplement, et d'un coup, elle ne se sentait pas bien.

Son attention se tourna en direction de Monsieur Mason, l'air catastrophé. Il était clairement inquiet pour la jeune fille qui se trouvait à ses pieds. Eugène savait qu'il devait également penser à lui. Il n'échappera pas à une punition, c'était certain. Mais à l'heure actuelle, ce n'était aucunement dans ses priorités ! Dans tout les cas, la punition sera méritée, mais il était heureux d'être sorti de son dortoir ; et s'il n'avait pas été prêt de Rafaëla à cet instant, combien de temps se serait-il écoulé avant qu'un adulte ne la trouve ?

— Elle va aller bien, monsieur ?

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"Dramaqueen à ses heures perdues avec Ella Davis"
4e année RP | Je parle en gras

07 févr. 2021, 12:45
Comptons les moutons funèbres
La réponse de l’élève ne se fit pas attendre. Rafael ne savait pas encore si c’était un moyen d’éviter la punition ou s’il y avait vraiment un problème médical mais il préférait être vigilant. Le jeune garçon lui indiqua que l’élève en question se trouvait à l’étage inférieur et que ce n’était pas très loin. Il lui expliqua qu’elle était tombée de sa hauteur et cela rassurait un petit peu Rafael, ça ne pouvait pas être très grave.

Rafael remarquait que le garçon faisait ce qu’il pouvait pour essayer de maintenir un rythme suffisamment rapide pour ne pas laisser le blessée seule trop longtemps. Il se doutait qu’il faisait des efforts et l’infirmier ne dit rien par rapport à cela. Ils arrivèrent ensuite dans un couloir, celui qu’avait indiqué le jeune homme, et Rafael aperçut au loin une silhouette d’enfant allongée par terre. Ils continuèrent de s’approcher et une nouvelle information arriva aux oreilles de Rafael. La chute avait été soudaine, elle ne semblait pas avoir eu de signes avant-coureur.

Rafael acquiesça pour remercier le jeune garçon et se rapprocha du corps de l’adolescente. Elle respirait de manière normale et il n’avait pas l’impression de voir de plaie sur le cuir chevelu de sa patiente. Avant qu’il ne dise quoique ce soit, il entendit le garçon lui demandait si son était allait s’améliorer et Rafael devina qu’il était très inquiet de l’état de santé de la jeune fille. Il essaya alors de le rassurer.

« — Je vais tout faire pour qu’elle aille mieux, rassurez vous. Il s’agenouilla près de la jeune fille et s’empara de ses mains puis s’exclama: Bonjour, je suis Rafael, l’infirmier. Est-ce que vous m’entendez? Vous arrivez à parler? Serrez mes mains si vous le pouvez. »

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15 mars 2021, 19:47
Comptons les moutons funèbres
J'avais mal... Ma tête tournait encore et encore, continuellement... Je n'entendais plus rien, juste un sifflement aigu. Je sentais les pierres dures et froides du couloir... Le vent glacial s’engouffrait dans ce tunnel sombre.
Il n'y a plus personne, plus rien... Je suis là, seule. Livrer à moi même... Le jeune homme m'a dit quelque chose avant de partir mais je n'ai pas bien entendu... Si ça se trouve il est partit, me laissant dans la pénombre des entrailles du château.

Tout d'un coup, ma vue se brouilla. Je n'y voyais plus rien... Je luttais tant bien que mal, je me battais intérieurement pour que tout cela se termine... Mais... j'ai l'impression que ça ne sert pas à grand chose... C'est presque pire...

Au bout de quelques minutes de lutte pour ne pas sombrer, j'abandonnais... Je n'en pouvais plus, j'étais épuisée... Je soupirais et fermais les yeux. Je relâchais tout mon corps et mon esprit. Je n'y arrivais plus. A quoi bon lutter s'il n'y a personne pour m'aider ? Et puis quand bien même je réussissais à bouger, je ne suis pas sûre de pouvoir remonter jusqu'à mon dortoir.

Je sombrais de plus en plus dans ce monde étrange... Comme un rêve...
Je me sentais tellement bien et mal à la fois...
*Que m'arrive-t-il ?*
Je fais certainement un malaise mais au mois j'en suis consciente...

La jeune fille luttait de toute ses forces pour ne pas s'évanouir mais c'était de plus en plus dur pour la jeune Gryffondor.

Je m'endormais à moitié quand j'entendis un bruit. Un bruit de pas...
*Je ne suis donc pas seule ?*
J'entais des voix, une plus aigüe que l'autre. C'est certainement Eugène avec un adulte. Il ne m'a donc pas laissé tomber...
*Je me déteste...*

Je sentis que quelque chose ou plutôt quelqu'un s'emparer de main et me parler. Je réussis à comprendre malgré le brouhaha dans ma tête.
*Lui serrer la main ? Est-ce que je peux bougé déjà ?*
J'essayais de bouger un peu ma main et je réussis mais avec beaucoup de difficulté, faisant comprendre à la personne qui était là que j'entendais.

@Eugène Harlow @Rafael Mason je m'excuse pour ce retard.

Marraine de petits chats diaboliques !
Je suis une patate douce !