Bang, et un corps retomba sur son banc, bam, un autre s'écroula sur sa table. Et des cris, des cris... Tout allait beaucoup trop vite, on ne savait plus où donner de la tête. Il y avait ceci, à penser, et cela...

Et cette gamine, qui ne savait pas dans quoi elle s'était lancée, qui voulait déjà tout arrêter ? Kristen hésita entre deux réactions opposées : lui en vouloir, la secouer, lui dire qu'elle l'avait bien voulu, si son nom s'était retrouvé dans cette urne de malheur ! On l'avait prévenue que ce ne serait pas une partie de plaisir ! et, aussi, de la compassion, des regrets, de l'inquiétude. Cette gamine ne l'avait pas vraiment voulu, non : personne ne l'avait voulu.

Sans mot dire, Kristen se dirigea vers l'élève - Elowen Livingstone.

Tu pourras dire à Miss Kriss que ce sera de sa faute ?

Gloups. Merde. Kristen ne put rien dire : elle se figea. Bien sûr que non, ce n'était pas sa faute ! Ou bien, l'était-ce ? Cette gamine n'en serait pas là si elle avait pu, quelques mois plus tôt, faire cramer les Lignées du Nord. Ah, quel doux rêve que leurs corps fondant sous ses yeux comme des statues de cire, et leurs sourires narquois avalés par les flammes, se déformant dans des expressions de douleur, des aveux de défaite, et leurs yeux implorants disant : Nous n'aurions pas dû la sous-estimer ! Kristen regrettait de ne pas avoir pu voir les yeux d'Opale McKinney s'éteindre en direct, de ne pas avoir joui de son incompréhension, de ne pas avoir savouré sa défaite ridicule. Et pourtant, face aux autres, elle n'avait rien pu faire. Un jour, oui, un jour prochain, elle anéantirait le reste des Lignées du Nord, comme on dératise une maison, comme on extermine de sales cafards. Alors, des gamins n'auraient plus à souffrir.

La directrice de Poudlard observa le cou de la jeune fille, les sourcils froncés. Des ronces ? À ce niveau-là, est-ce que ça serrait ? Quel genre de magie était-ce ? De la magie noire, bien évidemment, mais comment ? Elle tourna les yeux vers l'urne échouée au sol. Quel genre de pouvoir renfermait vraiment cet objet ? Elle désirait de tout son être en savoir plus, étudier ce pouvoir, le décortiquer, tout comprendre, être capable de tout reproduire. Pour... pour la science ? Pour le pouvoir ! Pour être capable de dire : bof, moi aussi, je peux le faire - et rien de ce que vous faites n'est hors de ma portée. Reportant ses yeux sur l'élève de Serdaigle, elle approcha sa main de son cou, comme si toucher pouvait aider à comprendre. Mais elle se résigna, à quelques centimètres de la peau de l'élève. Et si sa main gorgée de Mal provoquait une réaction et étranglait la jeune fille ? Qu'en savait-on, hein ?

Une chose était certaine, en revanche : quatre élèves de Poudlard étaient désormais les nouveaux otages du Dominion. Parmi eux, cette jeune fille qui disait que par sa faute, elle allait mourir, et qui n'avait peut-être pas tout à fait tort. Kristen planta ses yeux dans ceux de la fille et dit doucement :

« Je suis sincèrement désolée. Vous aviez le choix il y a une semaine... vous ne l'avez plus. »

Avec un air plus déterminé, elle ajouta :

« Poudlard se tiendra derrière vous. Vous serez prêts, le jour où vous devrez entrer dans le Dominion, et je ne vous laisserai pas mourir, je vous en fais le serment. »

J’avais peur pour l’enfant,
Tout ce que je voulais,
C’était qu’elle le reste,
Qu’elle reste un enfant.
Pas qu’elle devienne un monstre.
On l’envoie mourir.
Bizarrement,
J’eus envie d’aider Elowen.

En me rapprochant,
Je remarquais désormais ce qui était enroulé autour de son cou,
Des lianes.
Pourquoi faire souffrir des enfants ?
Pourquoi ?

L’adolescente me remarque et me parle,
Je comprend que ma présence lui fait oublier les lianes alors je décide en rester.

- Y’a ... y’a Jacob ... Ils ... Y’a Irène et puis Lilly.

Sans comprendre vraiment pourquoi, je sens ma voix se briser.

- Je crois qu’il est trop tard ... je suis désolée Elowen ... Je ne peux pas t’aider pour ça désormais. Je ne comprend pas beaucoup de chose tu sais ... J’aimerais tellement t’aider.

Mes yeux s’emplissent de larmes,
Mais quand je remarque que des larmes coulent les joues de l’adolescente,
Mes yeux stoppent de briller.
L’enfant continue à parler.
Quand je serais morte ...
Ces mots résonnent dans ma tête,
Tout à coup ma tête tourne et je m’assois à ces côtés.
Je lui murmure sans vraiment comprendre pourquoi je le fais :

- Je ne vais pas le faire, parce que tu ne mourras pas.

J’aimerais tant le lui promettre,
Mais je ne peux pas promettre quelque chose dont je ne sais rien.
Mais quelqu’un s’en occupe pour moi.
Une grande dame s’avance et fixe Elowen,
C’est la directrice.
Elle lui promet.
J’aimerais sourire à la directrice mais rien ne s’affiche sur mon visage,
Les paroles d’Elowen me restent en mémoire.

- Tu es forte tu sais. Bien plus forte que la moitié d’entre nous, à Poudlard.

Quelque chose en moi bouillonne.
Ce n’est ni la peur, ni la tristesse,
Non, c’est la colère ...

@Elowen Livingstone wouii, enfin, j’aurais aimé que ce soit dans d’autres conditions ,

Un grande vague de stress. Une grande vague de stress envahissait la jeune verte depuis qu'elle s'était assise à sa table et qu'elle avait jeté un coup d'oeil à ce foutu sablier, au milieu de la salle. Les jours passaient, et la quantité de sable qui s'écoulait s'amenuisait. Maiy était sur le qui-vive. Elle avait vu certains de ses camarades, dont Alaska, mettre leurs noms dans l'urne. Elle priait secrètement pour que l'urne ne se remette pas à parler de sa voix mielleuse et dangereuse, et que tout cela soit mis au tapis. Mais évidemment cela ne risquait pas d'arriver.

Maiy n'avait pas même pas fait attention à qui était assis en face ou à côté d'elle, elle était trop tendue par la situation, et en plus, sans Clémence à ses côtés, elle se sentait vide, comme si on lui avait coupé un bras. Elle n'avalait rien, son ventre était noué, comme si c'était son nom à elle qui se trouvait quelque part dans l'urne. Elle faisait remuer son bacon dans son assiette qui commençait à s'imbiber de la sauce qui accompagnait les chouffleurs. Elle sursauta violemment lorsque le sablier éclata.

Elle s'était attendu à tout, sauf à ça. Elle vit avec horreur ces longues bandes noires s'approcher de leur table. Oh non. L'urne a choisi l'un des nôtres et va le ficeler pour l'emmener dans le Dominion. Sa main dérapa et en recontra une autre, qu'elle serra fort. Elle ne savait pas à qui appartenait cette main qu'elle ne pouvait plus lâcher, mais elle continuait de la serrer, trop tétanisée pour faire quoique ce soit d'autre.

Ses yeux s'agrandirent d'horreur lorsque les rubans s'enroulèrent autour du crâne de Wilson. Elles avaient l'air... elles avaient l'air de fusionner avec les tissus de son épiderme. Elle tremblait de tout ses membres. Que ça s'arrête, je vous en supplie. Quelle idée d'être restée au château pour les vacances ! Wilson lui faisait tellement peur : c'était de la magie noire pure qui avait pris possession du sixième année. Elle voulait s'en aller, mais en même temps, sa main restait fermement aggripée à celle qu'elle avait trouvée.


Aller les verts, montrons nous dans cette aventure
Soyez libre d'intéragir avec Maiy aussi

Le chaos. C'est surement le mot le plus propice à la situation. La panique, l'apocalipse ?
Je regarde les candidats un à un.
En premier il y a cette fille de Serdaigle. Le collier, autour de son cou, ça lui fait mal ? Sûrement. Mais pourquoi ? Ces enfants ne vont-ils pas déjà assez souffrir comme ça ? Serait-ce comme un contrat entre l'Urne et les participants ? Un sorte de pacte, pour prévenir, avertir les candidats qu'ils n'ont pas le choix. Ils ont mis leur nom dans l'Urne, l'Urne a choisis et ne reviendra pas sur sa décision.
J'aimerais m'approcher de cette fille, qui peut-être trouvera la mort dans le Tournois, ou bien la gloire éternelle promise.
La première tache n'est-elle pas de battre soixante-huit étudiants d'autres écoles de sorcellerie ? Ouïlle.
Malgré ma musculature plus ou moins importante, je sais que je ne réussirais pas cette Tache, simplement par peur.
Quel courage doivent avoir les candidats !
Si j'avais pu, j'aurais crié à cette fille qu'elle pouvait le faire, qu'elle était forte et que tout allait bien se passer. Mais dans le sens où je ne la connaissais pas, je m'abstiens.
Je ne sais pas pourquoi elle attire mon attention plus que les autres candidats. C'est débile, et en plus je n'ai pas d'excuse. Je déteste ne pas aboir d'excuses. Je pense quand même que ça m'a frappé qu'elle se soit débattue et ai crié pour ne pas participer au cruel Tournois. En plus, j'aurais du m'interesser à Jacob Tramontane, qui fait parti de ma maison...
Je prend mon courage à deux mains, avale mon stress et va vers Elowen Livingstone. Au dernier moment je voulu faire demi-tour mais comme j'étais juste devant elle je serais passé pour une débile. Après tout, je suis débile, n'est-ce pas ?
Je sais pas pourquoi - c'est peut-être une des chose les plus débiles que j'ai jamais fais - mais je lâche :
"Salut, ça va ? Bien sûr que non que ça va pas ! T'as éte sélectionnée, t'es contente ? Ho mon dieu tire toi, tire toi tant qu'il en ai encore temps ! Heu... Ça fait mal, le collier ? Bon bah je sais même plus quoi dire. Tu penses que tu vas arriver à les battre, les soixante-huit élèves ? Je m'en vais, moi. "

Ça y est. J'ai réellement fais la chose la plus débile de ma vie.

@Elowen Livingstone je réagis à ta demande

Comme d’habitude, Wilson s’était installé à la table des Serpentard en ce jeudi soir pour manger. Noël venait tout juste de passer et l’urne allait bientôt révéler les nominations. Une décision cruciale que le sixième année redoutait car il avait vu des gens qui ne méritaient pas la mort se proposer pour participer. A part Carry, personne ne méritait d’aller dans le Dominion pour y mourir : car pour lui, c’était évident presque, qu’ils allaient mourir.

C’est alors que le moment venue, des rubans noirs sortirent de l’urne et se dirigèrent vers la table des Serpentard… vers lui. Wilson reçut un coup de pression en voyant les rubans noirs s’approcher de lui, mais ce n’était rien encore comparé à la douleur qu’il allait recevoir après. Les rubans enveloppèrent sa tête entièrement, il tenta de les retirer, mais rien de ce qu’il pouvait tenter arrêta l’urne et la magie noire.

« Salazar se retourne dans sa tombe... » entendit-il dans le fond de sa tête. Puis plus rien. Le vide. Pour lui tous les évènements liés aux nominations ne se sont pas passés et il lui semble avoir traverser le temps pour atteindre directement le moment de son « réveil ». Il avait malgré tout ressentit une vive douleur partout dans le corps, et impossible de la combattre, impossible de l’arrêter. Finalement, il avait encore beaucoup à apprendre de la Défense contre les Forces du Mal vu son état.

Quand il revient à lui, il sentit ses fesses se reposer lourdement sur le banc de la table des Serpentard, comme s’il avait décoller du banc. A moitié sonné, il se demanda ce qu’il s’était passé, les regards étaient presque tous tournés sur lui. Dès qu’il put reprendre la parole, il s’exclama :

« Qu’est-ce que vous avez tous, à me regarder comme ça ? »

Le sixième année regarda ses camarades, puis ses professeurs et enfin Kristen Loewy, qui ne semblait pas de bonne humeur du tout. La scène donnait l’impression d’avoir fait une bêtise monumentale, impardonnable, et pourtant il ne souvenait de rien. Il entendit une élève demander de retirer son inscription au tournoi, mais ce n'est pas possible. Wilson avait encore du mal à savoir ce qu'il se passait vraiment en ce moment dans la Grande Salle.

Elle avait décidée de rester à Poudlard, et il avait fallu que cela tombe pendant qu'elle était en train de manger. D'habitude si ordonnée, elle avait un peu perdu le fil du temps pendant ces vacances, et elle avait totalement oubliée l'Urne. Pourtant, on peut dire que rien que on dépôt avait été plus que marquant, et quelques jours plus tôt, elle n'aurait pas cru que cela puisse être pire.

Assise à la table des Gryffondors relativement à l'écart des autres, elle vit des trucs tout noirs sortir de l'urne et aller vers un grand Serpentard. Il prit une allure bizarre. Non, son état est bizarre, on ne peut pas vouloir être comme cela. Les yeux de la fille s'écarquillèrent, et elle se figea sur place, enracinée sur le banc comme si elle était aimantée. Une vague de peur grandissante la saisi. dans sa tête, les visions d'horreurs se multiplièrent jusqu'à se confondre les unes avec les autres et à empêcher son raisonnement logique de fonctionner. Déjà, quelle idée d'avoir participer après avoir vu de quoi ils étaient capables. On risque la vie de 72 élèves juste pour en sauver deux trois. Cela la dépasse complètement, mais dans ce genre de situation, son égoïsme pourtant peu développer prend le dessus sur presque tout le reste. Deuxième point : comment peut-on vouloir participer. C'est assez simple, pas de candidat, pas de tournoi ni de Dominion où l'on risque de mourir. Elle fut encore plus surprise d'apprendre que Jacob avait été sélectionné. Il avait l'air plutôt intelligent, cela l'étonne de sa part. Et en même temps, peut-être qu'il a un plan, une idée de génie pour se sauver, lui et les autres élèves que tu ne connaissait pas. Elle se raccrocha de toutes ses forces à cette idée, et même si elle semblait peu probable, elle décida d'en avoir le coeur net. Elle se rapprocha, et vit un autre élève échapper un sanglot, à côté d'un autre dont la tête te disait quelque chose :

-S'il te plaît, dis-moi que t'as une idée pour sauver tout le monde et que c'est pour ça que tu t'es inscrit !!

en vérité, elle n'y croyait que peu, mais cette pensée était le seul barrage au flot de larmes qui attendait tranquillement d'avoir le champs libre.

@Jacob Tramontane , Scary te parle mais tu peux lui mettre un vent si tu veux

Cette urne noire me fait peur. Une semaine qu'elle est ici, parmis nous à chaque repas. Au milieu de la grande salle, je ne vois qu'elle. Elle ne m'inspire pas confiance. Si haut de mes 11 ans, je ne comprend pas trop ce qu'il se passe. A vrai dire je ne m'y suis pas intéressée, submergée par les cours. D'autant plus que je n'avais pas l'âge pour participer. Une raison de plus pour ne pas m'en préoccuper. Et pourtant, elle affolait beaucoup d'élèves. Pourquoi je ne sais pas.


Aujourd'hui, jeudi 28 décembre 2045, une semaine que cette urne lévite avec un sablier. L'heure était venue. Je mangeais tranquillement ma purée de citrouille lorsqu'un bruit attira mon attention. Le sablier avait explosé. C’était l'heure, l'heure de l'annonce des participant. Jetant un bref coup d'oeil en approchant ma fourchette garnie à la bouche, je vis de drôle de liane sortir de l'urne. Je ne voyais pas beaucoup de la table des Gryffondor. Me levant discrètement, j'aperçoit ces lianes étreinte la tête d'un Serpentard. Entendant les mots de Miss Loewy, les élèves commençaient à se demander ce qu'ils se passaient. Certains regards étaient terrifiés dont le mien.

Le jeune garçon prit une voix étrange et annonça les noms sélectionnés par l'urne. Il était dans un état second. Irène Gates ... Lilly Zarbi .... Jacob Tramontane .... Quoi ! Jacob ? Le garçon de Gryffondor ? Celui qui a fait parti de mon équipe lors de la course dans la neige ! Mon regard s'orienta immédiatement vers ce garçon. Inexpressif, enfin essayant de ne faire paraître aucune douleur, je sentais que quelque chose n'allait pas. Il était pétrifié. Portant les mains à son cou, je vis un dessin se former. Un tatouage de ronce, paraissant si réel ! La souffrance des élus m’atteignait. Je ressentais leur douleur dans leur visage, leur expression, leur geste... Ce n'était pas un jeu. N'étant pas trop loin de Jacob, je glissa une petite phrase de soutien : "Courage Jacob ! Tu vas y arriver, nous sommes tous avec toi."

N'ayant aucune certitude que mes mots aient atteint les oreilles de l'élu de Gryffondor, j'entendais un autre nom sortir de l'urne : Elowen Livingstone. Non, c'est pas possible ! J'ai du mal entendre. Et pourtant c'était bien elle. Une brillante élève de Serdaigle qui m'a beaucoup aidé mes premiers jours ici. Elle a toujours été là lorsque j'étais perdue. Je l'apprécie énormément et la sachant en danger me donne la nausée. Je la cherchais au niveau de sa table. Je vis un groupe d'élève l'entourait. Elle paniqua, ne voulait plus participer. Je priais pour que Miss Loewy fasse quelque chose, les protège. Je ne l'avais jamais vu dans un tel état. Inquiète pour elle, je me leva abandonnant mon repas. De toute façon je n'avais plus faim. Je me dirigea vers sa table et essaya de me faufiler à travers ses camarade. Je lui pris la main à travers deux personnes qui me bloquaient et lui dit :
"Non, Elo, je ne veux pas que tu y ailles !" Puis essayant de ne pas la faire paniquer plus qu'elle ne l'ait déjà, j'ajouta : "je reste auprès de toi, qu'est ce que je peux faire pour t'aider, te protéger ?"


Une larme coula sur ma joue. Voyant que je perdais mon sang froid, je me détacha du groupe en serrant fort une dernière fois la main d'Elowen. Je parti en courant hors de la grande salle, pour prendre l'air. Trop de chose à la fois. Des rumeurs disent qu'il est possible de mourir. Je ne peux supporter l'idée de la perdre. Ni elle, ni Jacob. Ils sont bien trop jeunes pour quitter ce monde. Comment est-il possible d'autoriser ce genre de choses dans une école, aux élèves.

Ces quatre élus ne méritaient ce châtiment. Moi qui croyait à un jeu au départ, je me trompais et cette situation me torturait l'esprit. J'avais envie de les aider, mais à quoi une élève de première année pouvait-elle servir dans de telle circonstance ?

Pour les mentions@Jacob Tramontane @Elowen Livingstone Dites moi si quelque chose ne va pas

Elena n'aurait sans doute jamais imaginé ce qu'elle avait vu, si on lui avait dit un jour qu'elle serait posée à la table de sa maison et qu'elle aurait aperçu un tel cauchemar, elle n'y aurait jamais cru, c'était d'une violence si soudaine, si inattendue.

La tant renommée urne noire, peut-être un soulagement pour certains de la voire se briser en mille morceaux au lieu de léviter dans la Grande Salle comme un signe de la mort. Elena s'était installée à la table de sa maison, sans se douter un seul instant que son repas serait interrompu par ledit urne. Dégustant goulument sa purée courge-butternut, Elena s'exclama et fit étrange mimique :

« Pas terrible cette purée...Ça manque de sel »

Sans attendre une réponse de la part de personne, Elena remarqua quelque chose d'habituelle près du sablier, elle leva un sourcil et pencha la tête sur le côté. Non, elle ne rêvait surement pas, cependant elle ignorait que les grains du sablier pouvaient léviter de la sorte. Elle n'y prêta guère attention et retourna à son met.

La rouge fut interpellée une seconde fois par la voix de sa directrice « Surveillez-le ! » avait-elle crié. Elena se retourna rapidement, curieuse de savoir la raison de toute cette agitation. Elle regarda la verte, espérant que cette dernière ait plus de réponses à lui apporter. C'est alors que de longs rubans noirs, jaillissant de la boîte noire, filèrent à toute allure en direction de la table des Serpentard. Une odeur désagréable de brulé fit grimacer la Gryffondor. Prise de peur, Elena sursauta, paniquée, ignorant ce qui se déroulait sous ses yeux, était-ce réel ? Elle n'en savait rien, mais elle était effrayée.

Le Serpentard était debout sur le banc de sa maison, intouchable par cette fumée qui l'entourait.

Elle ne fut sans doute pas la seule, sa directrice accourra vers l'urne et de la cendre sortit de cette dernière. Les élèves curieux, penchaient la tête et se levaient, tentant de voir ce que l'urne noire avait recraché. Tous, appréhendaient la suite et Elena posa des questions à voix haute, espérant que quelqu'un lui explique ce qu'il se passait.

« J'comprends pas...il se passe quoi ? C'est normal ? On peut m'expliquer ? » Dit-elle paniquée.

La fillette s'attendait surement à ce que des gens lui apportent des réponses, elle s'imaginait que ceux-ci allaient trouver une explication plausible à toute cette pagaille mais plus les secondes passaient, plus Elena doutait.

Des noms, de simples noms, voilà ce que contenaient les cendres déversées par l'urne. Tous ces malchanceux étaient liés par un tragique destin, Elena n'en doutait aucunement. Lorsqu'elle entendit le nom de son camarade de maison, Jacob Tramontane, elle regarda ce dernier, qu'avait-il fait ? Quelle idée saugrenue lui était passée par la tête ? Les quatre élèves peinaient à respirer, ils s'étranglaient à cause de l'objet maudit.

Elena regarda autour d'elle, n'acceptant pas ce qui venait de se dérouler, elle n'y croyait pas, sa réflexion fut interrompue par l'urne qui retomba sur le sol après plusieurs mois à léviter dans la Grande Salle et émit un bruit assourdissant. Cela aurait pu être réjouissant mais les futurs évènements allaient sans nul doute être encore pires que les précédents.

Erza se leva afin de mieux entendre et voir les noms qui sortiront de l'urne noire.
Elle était complètement perdue.
Bien sur, elle ne comprenait pas trop ce qui se passait, et surtout la gravité de cette épreuve, et ce qu'elle impliquait.
-Heu, et si c'est le nom de Wilson qui sort pour le Serpentard sélectionné? Ou plutôt qui aura le malheur d'être sélectionné. pensa-t-elle.

Elle souffla.
Se concentrant sur l'urne, elle entendit qu'a très prénoms en sortir:
-Irene Gates , Lilly Zarbi, Jacob Tramontane, ... et Elowen Linvigstone!

-Pas de Serpys?!

Dans la voix de sa directrice, elle avait senti une pointe de bizarrerie. Elle sentait que ce n'était pas sensé se passer comme ça.

-Lydia... Que se passe-t-il!?
Dit-elle en lui serrant les doigts, de peur de tomber.
-Et Heu, c'est moi ou Wilson est super bizarre?

Cette "cérémonie", si on pouvait l'appeler ainsi, ne se passait pas normalement.
Pas du tout même.

Des murmures fusaient de toutes part, et les autres semblaient tous aussi perplexes.
Soudain, Erza aperçu quelque chose sur le cou des sélectionnés.
Un collier.
Un collier de ronces, tatoué sur leur chair.


Elle manqua de s' étrangler.
Elle tomba raide sur le banc, étant devenue livide.
Ses dents claquaient légèrement, sous l'effet du choc .
Elle tourna lentement sa tête vers Lydia, le regard rempli d'effroi.
Même elle, elle pouvait avoir peur...

à toi @Lydia Loly et tout autre personne qui souhaite se joindre à nous.

Lydia avait peur, une atmosphère glacial régnait sur tous les élèves. Cela faisait un petit moment qu'une "Urne noire" flottait dans la grande salle. Lydia n'avait pas exactement compris ce que c'était, cependant, elle savait que cet objet était rempli de magie noire et que les gens qui y mettaient leur nom avaient des chances de mourir, Lydia ne comprenait pourquoi cette urne était là et qu'est-ce qui attendait les élèves qui y mettaient leur nom, sûrement des épreuves, mais de quel type ? Elle se demandait aussi pourquoi certains prenaient le risque de tenter l'expérience, il voulait mourir ou quoi ? Tout ça était encore flou dans l'esprit de la jeune fille. Comme elle aurait aimé savoir, comprendre. Elle avait peur, peur pour les gens qui allait risquer leur vie, peur de ce qui attendait son école, peur de l'inconnu. Elle aurait aimé pouvoir ne pas s'inquiéter, se dire que tous les élèves de Poudlard resteraient en vie jusqu'à la fin de leur scolarité, mais ce n'était peut-être pas le cas. Aucun sourire ne venait décorer ses lèvres, ses petits yeux innocents trahissaient de la peur et de l'appréhension.

Des sortes de tentacules noires sortirent de l'urne et se dirigèrent vers sa table Lydia était pétrifié, les tentacules attrapèrent Wilson Kingson un garçon de sa maison, il était entouré par une étrange fumée. C'était sûrement de la magie noire.

"-Erza, j'ai très peur" dit-elle à son amie

Elle ne semblait pas être la seule. Elle avait envie de se blottir dans les bras de son père comme quand elle était petite et qu'elle venait le voir, elle lui disait "J'ai fait un cauchemar, j'ai peur papa" puis il lui disait "Aller, vient, écoute mon cœur, il bat pour toi, pour ton frère, pour ta sœur, pour ta mère et toutes les autres personnes que j'aime, écoute le te dire combien il t'aime et tu n'auras plus peur". Elle voulait écouter le cœur de son père en ce sombre instant de terreur.

Soudain, de la cendre s'échappa de l'urne avec 4 papiers. Erza lui parla, mais Lydia ne l'écoutait pas, elle était comme paralysé de terreur, ses yeux avait du mal à ne pas regardait Wilson, avait-il mal, était-il en train de mourir ? Tant de questions auxquelles personne n'avait de réponses... La directrice ramassa les papiers, elle allait lire à voix haute ce qu'il y avait écrit, mais ce fut Wilson qui s'en chargea mais avec une voix de fille, il prononça quatre nom : "Irene Gates, Lilly Zarbi, Jacob Tramontane, et Elowen Linvigstone". Lydia regarda une à une, les quatre personnes désignait par l'horrible voix de Wilson. Erza lui fit remarquer qui manquait un serpentard.

"-Oui, c'est bizarre, tout ce qui se passe est bizarre... Mais au moins on peu se rassurer en ce disant u'il n'y aura pas de mort à Serpentard !"

La voix de Lydia tremblait, son corps tout entier tremblait. Une fois, les quatre noms prononçés par le garçon l'Urne se fracassa, Lydia sursauta. Elle relança un coup d'œil aux sélectionner et eu la surprise de remarquer un truc noir autour de leur coup, on aurait dit un tatouage, sûrement en rapport à l'urne. De plus près, on pouvait devient que c'était "Un collier de ronces !". Lydia paniqua, tout ça n'était pas normal, elle l'avait deviné très perspicace n'est-ce pas ?. Elle lança un regard apeuré à son amie en espérant des réponses qu'elle n'aurait sûrement pas.

J'espère que mon post te conviens @Erza McGowan, je m'occuperais des fautes demain