- Oui, très volontiers !! Il ne me reste que la partie invention aussi ! Du coup on le fait ? Quelle est ta première plante ? J’aimerai bien inventer une plante qui guérit les brûlures, ça pourrait être bien utile non ? Moi qui me brûle souvent, j’en serais la première bénéficiaire ! Elle s’appellera... elle s’appellera Milis Berulus de son nom latin ! Et elle ressemblera à... Oh, désolée, je me suis un peu emportée... Je suis vraiment désolée... Tu as une idée pour ta première plante ? Je suis vraiment vraiment désolée, on ne fait pas ça à un ami... À condition que tu veuilles bien être le mien...

Joseph se mit à rire, et répondit :

- Pas de problème ! Bien sûr que je veux bien être ton ami. Pour la première plante, je réfléchis, mais ton idée est très bien !

Il s'accorda donc un temps de réflexion. Il finit par rajouter une idée :

- Voici une seconde idée : une plante qui guérirait toutes les blessures liées aux frottements et qui s'appellerait Fricurae, du latin "frictio" et "curae". Il marqua une pause, et rajouta, moins fort :J'avais fait un peu de Latin avant.

Joseph était déjà en train de se noter cette idée sur un brouillon. En effet, il avait toujours un parchemin brouillon avec lui quand il faisait des devoirs, « pour se rassurer et s’aider ». Il disait qu'il préférait recopier un texte prêt qu'écrire des bêtises au fur et à mesure.

Le jeune Pierce était content de s'être fait une nouvelle amie aujourd'hui. De plus, il aimait bien s'entraider avec Lune, qu'il trouvait vraiment gentille et intéressante. C'est alors qu'elle dû partir. Quel dommage ! Joseph aurait tellement aimé continuer à faire se devoirs avec elle. Il ne lui restait plus qu'à faire ses deux derniers devoirs seul...

Aujourd’hui, il n’y avait pas cours. N’arrivant pas à travailler sur mon lit, comme je le fait habituellement. Je pris la décision d’aller le faire dans la salle d’étude. Je pris parchemins, block notes, encre et crayons. Que je glissa dans ma trousse et dans mon sac. J’allais partir quand je vis, que sur mon lit, était rester livres et manuels. Je reposa là sac au sol, l’ouvrît y mis les objets manquants et répartis quelques secondes après. Je descendit du cinquième étage au deuxième. Me baladant dans les couloirs, j’arriva enfin à la salle d’étude. Je balaya la pièce du regard. Il y avait peut de monde. Une jeune fille blonde qui rangeais ses affaires, un jeune garçon brun qui avait l’air de travailler et un autre élève blond au fond de la pièce. Je me mis à la table que venais tout juste de quitter la jeune fille et sortit mon manuel de botanique et me mis à le feuilleter. Il fallait que je me mette à travailler. Il m’en rester encore beaucoup. Botanique, vol et potion. Je m’avançais sur quelques uns car ils y a des jours où on est débordé et d’autres pas. Donc je prévois. Le devoir parlais de la course d’orientation fait en cours l’autre jour. C’était mon premier devoir de botanique de deuxième année. J’avais du mal à me remettre au travaille...

Je feuilletais les pages d’un air désespéré. Je n’avais pas l’envie de travailler pourtant, il le fallait. Je me redresse sur ma chaise et lis la question suivant en espérant avoir une bonne note.

Suite à la question, je reste bouche bée. Inventer un menu d’Halloween ? Où il doit y avoir de la citrouille. Soupe de citrouille ? Non. C’est trop banal. Du jus de citrouille ? On est à Halloween pas dans un supermarché moldu. De la compote à la citrouille ? Même mon renard n’en voudrait pas ! Les idées ne venais pas. En faite elle venait, mais, une voix dans ma tête les rendait nulle. « Même mon renard n’en voudrait pas ! ». Maintenant, je n’avais plus confiance en moi. C’était moi qui crée cette petite voix rabat-joie ou mes idées étaient vraiment aussi nulles que ça ? Puis le jeune garçon à côté de moi me parle. Oh peu être du fromage à la citrouille ? Non, mais t’est bête où quoi ? On ne fait pas de fromage au légume ! Pouah !

Soudain, je me sens observer. Il m’a parlé. Mais c’est vrai, il m’a parlé. J’avais oubliée ! J’essaye de me remémorer ce qu’il m’a dit. Il doit me prendre pour une débile ! Réfléchi, réfléchis... Ah oui, il a dit :

- Bonjour, je m'appelle Joseph et je suis en Première année à Poufsouffle. Tu fais quoi comme devoir, exactement ? Juste pour savoir, hein...

- Heu... désolé, j'étais dans mes pensées.... enchanté Joseph ! Moi, c’est Alice. Je suis en deuxième année à Gryffondor. Je fais un devoir de botanique mais l’imagination ne vient pas. Et toi ?

Joseph était en train de regarder l'énoncé des prochaines questions de sons devoir quand la jeune brune non loin de lui lui répondit gentiment :

- Heu... désolé, j'étais dans mes pensées.... enchanté Joseph ! Moi, c’est Alice. Je suis en deuxième année à Gryffondor. Je fais un devoir de botanique mais l’imagination ne vient pas. Et toi ?

Joseph sourit : elle avait l'air sympathique ! C'était un bon point. Il réfléchit à une réponse simple qu'il pourrait donner en se caressant une mèche de ses cheveux, puis, au bout de plusieurs longues secondes, il répondit sur un ton très flegmatique :

- Je suis, moi aussi, en train de faire un devoir de Botanique, et j'en suis à la partie d'Invention. Pareil pour moi : j'ai pas d'idées. . . Pfff.

Joseph soupirait, tout en se caressant la mèche de ses cheveux et en cherchant l'inspiration. Peut-être allait-elle venir en discutant, qui sait ?
Toujours était-il que pour l'instant, elle n'était pas là, l'inspiration. Alors si elle pouvait venir, et vite, ce serait bien, pensa Joseph en soupirant de nouveau.
Il attendit qu'elle lui réponde. peut-être allaient-ils faire leurs devoirs en commun, puisqu'ils travaillaient sur la même matière, non ?Pourquoi pas, après tout ? En plus, elle avait sûrement déjà fait ce devoir puisqu'elle était en deuxième année.
@Alice Smith

- J’espère qu’on va finir par y arriver !

Apparemment, le jeune garçon était dans le même problème que moi. Eh bien, on n’allait pas s’en sortir ! Je prends un parchemin de brouillon et me met à dessiner. Pour moi, c’est comme ça que l’inspiration vient. Je sais, c’est un peu bizarre.

En effet, l’inspiration vient. Le parchemin qui était tout vide était maintenant pleins. Une grande plante y était dessinée.

Bon, Alice, c’est pas demander, arrête de t’évadée dans ce monde imaginaire ! Ça ne t’aidera pas à améliorer tes notes. Prise de colère, je le déchire en pleins de petits morceaux et le fourre dans mon sac.

Il faut que je me concentre ! J’ai relu et relu le cours jusqu’à ce que mes yeux me brulent, ma tête allait exploser. À cause de la fatigue à l’avoir tant relu, mes lèvres buttaient sur les mots.

Pourquoi tout n’était pas si simple ?! Je ne pouvais pas travailler dans le dortoir à cause du bruit, mais je n’avais pas d’inspiration ici, dans la salle d’étude !

Bon, Alice, faut le faire ce devoir, il ne va pas se rédiger tout seul ! Je réfléchis, il m’a dit qu’il était en première année. Je peux peut-être l’aider. Je finirais mon devoir après. De toute façon, j’ai mal à la tête. Et, qui sait si ça se trouve il aura peut-être une bonne idée !

- C’est où que tu n’y arrives pas ?

** Saeté de devoir, ça y est ! Je crois que je fais une overdose. Un burn - out. Appelez-ça comme vous le voulez, appelez même ça de la fénéantise si ça vous chante. Vous rigolerez moins quand vous me retrouverez pendu au plafond de la serre numéro quatre de Botanique avec mon écharpe de Poufsouffle. Euh. . . Peut-être pas, essayons de ne pas en arriver là, tout de même. **

Joseph en était toujours à ce fichu devoir. Quand, soudain, il eut une idée. mais bien sûr ! Ca y était, l'inspiration était venue, voletant jusque dans ses narines. . . Il avait trouvé une idée. Immédiatement, Joseph se mit à noter son idée, à compléter son parchemin, sans écouter la jeune Alice qui lui proposait son aide non loin d'ici.

Quand il eut enfin fini, il la regarda, les yeux vides. Sans expression. Il savait qu'elle avait dit quelque chose, mais quoi. . . Il lui demanda donc tout simplement, sans sourire ou parler avec ce ton flegmatique qu'il employait à son habitude :

- Euh. . . Attend, tu m'as dit quoi. Gné rien compris du tout. . . Tu peux répéter, s'il-te-plaît ?

Il attendit qu'elle s'exécute - si elle le faisait - en rangeant toutes ses affaires dans son sac, puisqu'il avait fini ce satané devoir. Il allait bientôt prtir, dès qu'il saurait ce qu'Alice lui avait dit.
Sauf si elle voulait de l'aide. . . Mais pas trop longtemps, alors Joseph voulait passer à la bibliothèque.

La jeune fille vit le garçon annoter son devoir, plein d’inspiration, c’était marrant de le voir écrire comme ça. La plume bougeait aussi vite sur le papier que les mots filaient dans l’esprit du Poufsouffle. Ses yeux, étonnamment bleus, brillait d’inspiration et de lucidité.

Devant l’incompréhension que le garçon montre, elle se mit à rire, un rire doux, aimable et chaleureux. La Gryffonne ne se moquait absolument pas, mais le visage déconcerté du garçon montrait qu’il était ailleurs. Puis ça phrase, semblable à celle qu’on prononcerait, un matin, où on est levé de force et traîner par terre. Elle répondit alors gentiment :

- Non, je proposais juste de t’aider, mais tu m’as l’air d’être débrouillard.

À parement, elle ne trouvera pas l’inspiration ici, Alice va essayer d’étudier au parc, peut être aurait t’elle plus d’inspiration ? Elle attend pour dire au revoir au jeune garçon avant, mais elle attends toujours sa réponse.

Alors, elle se contente de ranger sa plume proprement. Il vaudrait mieux ne pas l’abîmer, voir la casser ! Ça serait tellement dommage. Son parchemin était toujours vierge, mais elle était sur, qu’au lieu de chercher le calme, si elle cherchait un endroit comme le parc où le lac qui l’inspire souvent, ça irait mieux.

Elle roule ensuite son parchemin, prenant soin de ne plier aucun angle, et de ne pas froisser le précieux papier. Alice le range dans son sac, parmi les bouts déchirés de son ancien dessin, elle lève les yeux au plafond, va encore falloir tout nettoyer une fois au dortoir. La Gryffonne pense alors à voix haute “Voyons Alice, qu’a tu dans la tête ?”

Rp classé abandonné suite à la disparition de mes deux partenaires rp.