Pour mon Dragon
14 février 2046 - aux alentours de 14h30
La journée n'avait vraiment pas été de tout repos. Elle avait commencé en fanfare quand, au matin de cette saint Valentin, un elfe avait eu l'idée de servir des muffins au philtre d'amour. Résultat, une heure durant ce fut quiproquo sur quiproquo, les situations improbables et embarrassantes s'enchaînant, les septième année tombant momentanément amoureux de petits nouveaux, bien gênés - ou ravis - par la situation, les ennemis de toujours se déclamant des déclarations enfiévrées et les professeurs bavant les uns devant les autres... Heureusement, le temps que l'on comprenne ce qui se passait, l'effet avait presque disparu, mais pendant une heure, la Grande Salle ressemblait à un cocon duveteux dégoulinant de mièvreries.
Puis il y avait eu l'étrange confrontation avec Lumah Greenleaf, ça il ne l'avait pas vu venir ! Un an après la déception amoureuse (et encore, s'agissait il vraiment de ça ?) qu'il avait infligé (le mot était fort) à Elicia Caldin (mais finalement, à lui-même aussi), voilà que la meilleure amie de la Poufsouffle venait lui souffler dans les bronches. Mais c'était bien trop tard, que pouvait-il changer ? En plus il venait justement de se rabibocher avec la jolie jaune aux cheveux blonds vénitiens. Quel bazar.
Avec tout cela il avait presque été en retard dans l'organisation de cette petite collation surprise qu'il réservait à sa, et ce titre était toujours aussi curieux qu'exaltant dans sa tête quand il y pensait, petite amie : Irisia MacLynn. Pour ce faire il avait demandé au professeur de Botanique, monsieur Featherstone, s'il pouvait "emprunter" la serre tropicale pour un peu plus d'une heure. C'était mercredi, et le mercredi il n'y avait pas de cours de botanique, aussi était elle libre. Le professeur avait été très gentil en acceptant, et Aliosus tenait à ce que cette confiance ne soit pas déçue, aussi il ferait particulièrement attention à ne rien déranger dans la serre.
Il avait choisit la serre tropicale parce qu'il savait qu'Irisia avait déjà voyagé en Amérique du Sud, et qu'elle en gardait un bon souvenir, aussi c'était l'occasion de s'imaginer, le temps d'un instant, en voyage, tous les deux. Il regarda la petite table en fer forgé et les deux chaises qu'il avait disposé aux milieux des palmiers, loin du rafflesia, il y avait là quelques gâteaux et un pichet de jus de citrouille bien frais, car il faisait chaud ici, comparé au froid mordant que le mois de février imposait partout ailleurs. Ce serait une pause bienvenue.
Il regarda sa montre, elle ne devrait plus tarder, son message avait indiqué le lieu et l'heure. Il aurait du s'asseoir, mais il ne tenait pas en place, aussi commença-t-il à faire les cent pas dans la serre.
6ème année
La journée n'avait vraiment pas été de tout repos. Elle avait commencé en fanfare quand, au matin de cette saint Valentin, un elfe avait eu l'idée de servir des muffins au philtre d'amour. Résultat, une heure durant ce fut quiproquo sur quiproquo, les situations improbables et embarrassantes s'enchaînant, les septième année tombant momentanément amoureux de petits nouveaux, bien gênés - ou ravis - par la situation, les ennemis de toujours se déclamant des déclarations enfiévrées et les professeurs bavant les uns devant les autres... Heureusement, le temps que l'on comprenne ce qui se passait, l'effet avait presque disparu, mais pendant une heure, la Grande Salle ressemblait à un cocon duveteux dégoulinant de mièvreries.
Puis il y avait eu l'étrange confrontation avec Lumah Greenleaf, ça il ne l'avait pas vu venir ! Un an après la déception amoureuse (et encore, s'agissait il vraiment de ça ?) qu'il avait infligé (le mot était fort) à Elicia Caldin (mais finalement, à lui-même aussi), voilà que la meilleure amie de la Poufsouffle venait lui souffler dans les bronches. Mais c'était bien trop tard, que pouvait-il changer ? En plus il venait justement de se rabibocher avec la jolie jaune aux cheveux blonds vénitiens. Quel bazar.
Avec tout cela il avait presque été en retard dans l'organisation de cette petite collation surprise qu'il réservait à sa, et ce titre était toujours aussi curieux qu'exaltant dans sa tête quand il y pensait, petite amie : Irisia MacLynn. Pour ce faire il avait demandé au professeur de Botanique, monsieur Featherstone, s'il pouvait "emprunter" la serre tropicale pour un peu plus d'une heure. C'était mercredi, et le mercredi il n'y avait pas de cours de botanique, aussi était elle libre. Le professeur avait été très gentil en acceptant, et Aliosus tenait à ce que cette confiance ne soit pas déçue, aussi il ferait particulièrement attention à ne rien déranger dans la serre.
Il avait choisit la serre tropicale parce qu'il savait qu'Irisia avait déjà voyagé en Amérique du Sud, et qu'elle en gardait un bon souvenir, aussi c'était l'occasion de s'imaginer, le temps d'un instant, en voyage, tous les deux. Il regarda la petite table en fer forgé et les deux chaises qu'il avait disposé aux milieux des palmiers, loin du rafflesia, il y avait là quelques gâteaux et un pichet de jus de citrouille bien frais, car il faisait chaud ici, comparé au froid mordant que le mois de février imposait partout ailleurs. Ce serait une pause bienvenue.
Il regarda sa montre, elle ne devrait plus tarder, son message avait indiqué le lieu et l'heure. Il aurait du s'asseoir, mais il ne tenait pas en place, aussi commença-t-il à faire les cent pas dans la serre.
6ème année
Pour mon Dragon
Comme l’on disait fréquemment, « Dragon échaudé craint l’eau froide »… Et bien c’était tout à fait en cet instant Irisia. Dubitative, fixant le parchemin de son amoureux avec une légère hésitation, la rousse n’était pas stupide : il lui donnait rendez-vous dans une serre le jour de la fête des amoureux. Soit c’était pour qu’ils puissent la célébrer ensemble, soit c’était pour la quitter en ce jour symbolique. Et elle priait pour que ça soit la première option parce que jusqu’à présent, cette fête ne lui avait pas porté chance : en première année, il avait quitté le pensionnat, en seconde année elle avait quitté le pensionnat aussi. Du coup, elle se posait des questions…
Se frottant la nuque en mordillant ses lèvres nerveusement, la rousse aurait bien aimé que sa meilleure amie soit là pour la conseiller. Les commentaires incisifs d’Alice l’aurait sacrément aidé à reprendre confiance en elle et à être magnifique pour ce qu’elle espérait être un rendez-vous galant.
« … Alice... »
Pourquoi avait-elle dû quitter Poudlard alors qu’ils étaient tous les trois tellement bien ici… Fallait qu’elle lui écrive absolument ce soir ! Dans tous les cas, elle allait devoir se débrouiller toute seule pour se préparer.
« Hmpf... »
Mettant de côté son uniforme, elle tressa ses longues boucles avec soin avant de les poser sur son épaule. Puis elle s’appliqua un petit maquillage léger et naturel, un peu de paillettes et de rose, pour faire jolie. Des boucles d’oreilles et un collier dorés en guise de bijoux, et elle s’attela au plus compliqué : la tenue.
« Qu’est-ce que je vais bien pouvoir mettre... »
Nerveuse, elle se mit de plus en plus à paniquer en voyant l’heure défiler sur son horloge dragon. Si ça continuait, elle allait finir en retard ! Et si Aliosus ne l’entendait plus ? Et s’il se fâchait et ne voulait plus d’elle après ? La téméraire Irisia se noyait sous les doutes alors qu’elle fixait ses vêtements avec angoisse. Elle ne devait pas hésiter longtemps… Et finit par se décider.
Des petites chaussures à talon en vernis noir, la lanière s’enroulant autour de la cheville, à ses pieds, elle finit par se glisser dans une robe d’un vert émeraude agrémenté de dentelles noirs. Très serpentard mais allant joliment avec ses bijoux, ses yeux et sa crinière.
Bon et bien elle n’était pas trop mal n’est-ce pas ? Se fixant dans le miroir avec incertitude, Irisia enroula tout de même un châle vert brodé de papillons dorés sur ses épaules pour se protéger de la fraîcheur de cette fin de printemps. Puis, plus ou moins prête, l’irlandaise finit par se diriger vers la fameuse serre tropicale, inquiète, nerveuse, euphorique et excitée, se demandant bien ce que mijotait Aliosus. Et la serpentard espérait que c’était une bonne surprise et pas une énième mauvaise nouvelle…
Arrivée à destination, les pommettes rougissantes, elle finit par entrer dans la serre, cherchant son petit ami du regard.
« … Aliosus ? »
Allez ma fille, respire… Tout va bien se passer...
Se frottant la nuque en mordillant ses lèvres nerveusement, la rousse aurait bien aimé que sa meilleure amie soit là pour la conseiller. Les commentaires incisifs d’Alice l’aurait sacrément aidé à reprendre confiance en elle et à être magnifique pour ce qu’elle espérait être un rendez-vous galant.
« … Alice... »
Pourquoi avait-elle dû quitter Poudlard alors qu’ils étaient tous les trois tellement bien ici… Fallait qu’elle lui écrive absolument ce soir ! Dans tous les cas, elle allait devoir se débrouiller toute seule pour se préparer.
« Hmpf... »
Mettant de côté son uniforme, elle tressa ses longues boucles avec soin avant de les poser sur son épaule. Puis elle s’appliqua un petit maquillage léger et naturel, un peu de paillettes et de rose, pour faire jolie. Des boucles d’oreilles et un collier dorés en guise de bijoux, et elle s’attela au plus compliqué : la tenue.
« Qu’est-ce que je vais bien pouvoir mettre... »
Nerveuse, elle se mit de plus en plus à paniquer en voyant l’heure défiler sur son horloge dragon. Si ça continuait, elle allait finir en retard ! Et si Aliosus ne l’entendait plus ? Et s’il se fâchait et ne voulait plus d’elle après ? La téméraire Irisia se noyait sous les doutes alors qu’elle fixait ses vêtements avec angoisse. Elle ne devait pas hésiter longtemps… Et finit par se décider.
Des petites chaussures à talon en vernis noir, la lanière s’enroulant autour de la cheville, à ses pieds, elle finit par se glisser dans une robe d’un vert émeraude agrémenté de dentelles noirs. Très serpentard mais allant joliment avec ses bijoux, ses yeux et sa crinière.
Bon et bien elle n’était pas trop mal n’est-ce pas ? Se fixant dans le miroir avec incertitude, Irisia enroula tout de même un châle vert brodé de papillons dorés sur ses épaules pour se protéger de la fraîcheur de cette fin de printemps. Puis, plus ou moins prête, l’irlandaise finit par se diriger vers la fameuse serre tropicale, inquiète, nerveuse, euphorique et excitée, se demandant bien ce que mijotait Aliosus. Et la serpentard espérait que c’était une bonne surprise et pas une énième mauvaise nouvelle…
Arrivée à destination, les pommettes rougissantes, elle finit par entrer dans la serre, cherchant son petit ami du regard.
« … Aliosus ? »
Allez ma fille, respire… Tout va bien se passer...
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Pour mon Dragon
Aliosus avait reporté son attention sur de curieuses plantes carnivores pour penser à autre chose qu'à l'arrivée prochaine de sa Valentine, leur comportement, leurs méthodes pour attraper des insectes le fascinaient. Il n'avait rien vu de semblable dans les landes battues par le vent et le sel. Son coeur s'étreignit un instant. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas songé à Tipp. Au bord de mer. Aux falaises noires acérées. Au port aveugle. Il se sentit soudain très las, nostalgique. Entre l'internat, les vacances en Allemagne, le confinement à Poudlard et le déménagement de ses parents, cela faisait un an et demi qu'il avait quitté l'Irlande.
Une voix mal assurée lui parvint, étouffée par l'atmosphère un peu lourde et humide de la serre. Il sourit et son estomac se serra. Il était autant ravi de son arrivée que stressé par la petite surprise qu'il avait organisé. Se retournant, il aperçu à travers le feuillage découpé de quelques arbustes inconnus, la plus belle plante qui soit. Son bout d'Irlande à lui. Heureusement qu'elle était là. Heureusement qu'ils étaient là l'un pour l'autre.
Il se porta à sa rencontre.
«Ir...»
Pas très éloquent, mais il ne s'était pas attendu à ce que sa petite amie lui fisse l'honneur d'une mise en beauté de la sorte. Il se sentait terriblement confus, lui qui n'était qu'en chemise et gilet, ayant laissé sa veste de côté sous la chaleur de la serre. De quoi avait il l'air devant la sublime toilette d'Irisia ? Ses cheveux tressés - il aimait tout particulièrement quand elle les coiffait ainsi - dévoilant ses oreilles ornées d'or, et une robe sublime d'élégance, sans être totalement hors de propos, un parfait équilibre entre en simplicité et sophistication. Volcanique, mais coquette.
«Bienvenue dans notre petit coin de paradis. parvint-il à annoncer lorsqu'il reprit ses esprits. Tu es magnifique.»
6ème année
Une voix mal assurée lui parvint, étouffée par l'atmosphère un peu lourde et humide de la serre. Il sourit et son estomac se serra. Il était autant ravi de son arrivée que stressé par la petite surprise qu'il avait organisé. Se retournant, il aperçu à travers le feuillage découpé de quelques arbustes inconnus, la plus belle plante qui soit. Son bout d'Irlande à lui. Heureusement qu'elle était là. Heureusement qu'ils étaient là l'un pour l'autre.
Il se porta à sa rencontre.
«Ir...»
Pas très éloquent, mais il ne s'était pas attendu à ce que sa petite amie lui fisse l'honneur d'une mise en beauté de la sorte. Il se sentait terriblement confus, lui qui n'était qu'en chemise et gilet, ayant laissé sa veste de côté sous la chaleur de la serre. De quoi avait il l'air devant la sublime toilette d'Irisia ? Ses cheveux tressés - il aimait tout particulièrement quand elle les coiffait ainsi - dévoilant ses oreilles ornées d'or, et une robe sublime d'élégance, sans être totalement hors de propos, un parfait équilibre entre en simplicité et sophistication. Volcanique, mais coquette.
«Bienvenue dans notre petit coin de paradis. parvint-il à annoncer lorsqu'il reprit ses esprits. Tu es magnifique.»
6ème année
Pour mon Dragon
Nerveuse au possible après deux années de Saint-Valentin complètement pourrie, Irisia essayait de respirer profondément pour essayer de se détendre. Ce qui était très compliqué… Voir même impossible. Ça irait mieux quand Aliosus serait devant elle… Enfin normalement. Peut-être. Elle espérait. Sinon elle imploserait et puis c’est tout. S’éventant en soufflant longuement, la rousse termina de se coiffer et de s’habiller avant de nouer les lanières de ses petites chaussures vernies.
« Est-ce qu’il me trouvera jolie au moins... »
Son miroir avait l’air satisfait en tout cas et même elle ne se trouvait pas trop mal… Bon et bien quand on fait sa grotte, on y protège son tas d’or comme on dit… N’est-ce pas ? Se donnant du courage, elle lissa les plis de sa robe avant de se rendre sur le lieux de rendez-vous de son petit-ami, un sourire timide et plein de fossettes aux lèvres. Ses mains serrant nerveusement le châle brodé sur ses épaules, ses pommettes rosirent un peu plus en voyant l’apparente joie de son petit-ami. Il avait l’air sincèrement heureux de voir la petite irlandaise qui se tenait si timidement devant lui…
« Merci… Tu es très élégant toi aussi. »
Son sourire s’agrandit alors qu’elle l’admirait. Peut-être était-il habillé simplement mais ça ne gâchait pas son charme et sa distinction. Son petit-ami était vraiment beau. S’approchant de lui, elle posa une main sur le torse vêtu d’une chemise et lissa doucement le tissu avant de se mettre sur la pointe de ses chaussures, becquant tendrement le menton du jeune homme.
« C’est incroyable… Dès que je suis avec toi, mes doutes et mes peurs s’envolent… Joyeuse Saint-Valentin Aliosus... »
Lui offrant un sourire lumineux, Irisia s’accrocha à son bras, regardant autour d’eux avec des yeux gris pétillants. La table qu’elle voyait ne laissait aucunement place au hasard : ils allaient vraiment fêter la Saint-Valentin tous les deux ensemble, loin du monde et de la réalité de la vie.
« C’est magnifique ce que tu as organisé Aliosus... »
L’irlandaise caressait avec douceur le bras de son petit ami, ayant l’impression que des bulles de champagne explosaient dans sa tête tellement elle se sentait euphorique. Oui, elle raconterait tout ce soir à Alice mais là, elle allait profiter au maximum de ce que lui offrait son irlandais.
« Tu es vraiment parfait. C’est tellement romantique ce que tu as préparé... »
La voix douce et le cœur battant avec force dans sa frêle cage thoracique tandis que son regard étincelait de milles feux. Avait-elle déjà dit combien elle aimait cette personne super géniale qu’était Aliosus ? Inspirant profondément sans cesser de sourire, elle serra un peu plus sa prise sur son bras alors qu’ils s’approchaient doucement de la table.
« Est-ce qu’il me trouvera jolie au moins... »
Son miroir avait l’air satisfait en tout cas et même elle ne se trouvait pas trop mal… Bon et bien quand on fait sa grotte, on y protège son tas d’or comme on dit… N’est-ce pas ? Se donnant du courage, elle lissa les plis de sa robe avant de se rendre sur le lieux de rendez-vous de son petit-ami, un sourire timide et plein de fossettes aux lèvres. Ses mains serrant nerveusement le châle brodé sur ses épaules, ses pommettes rosirent un peu plus en voyant l’apparente joie de son petit-ami. Il avait l’air sincèrement heureux de voir la petite irlandaise qui se tenait si timidement devant lui…
« Merci… Tu es très élégant toi aussi. »
Son sourire s’agrandit alors qu’elle l’admirait. Peut-être était-il habillé simplement mais ça ne gâchait pas son charme et sa distinction. Son petit-ami était vraiment beau. S’approchant de lui, elle posa une main sur le torse vêtu d’une chemise et lissa doucement le tissu avant de se mettre sur la pointe de ses chaussures, becquant tendrement le menton du jeune homme.
« C’est incroyable… Dès que je suis avec toi, mes doutes et mes peurs s’envolent… Joyeuse Saint-Valentin Aliosus... »
Lui offrant un sourire lumineux, Irisia s’accrocha à son bras, regardant autour d’eux avec des yeux gris pétillants. La table qu’elle voyait ne laissait aucunement place au hasard : ils allaient vraiment fêter la Saint-Valentin tous les deux ensemble, loin du monde et de la réalité de la vie.
« C’est magnifique ce que tu as organisé Aliosus... »
L’irlandaise caressait avec douceur le bras de son petit ami, ayant l’impression que des bulles de champagne explosaient dans sa tête tellement elle se sentait euphorique. Oui, elle raconterait tout ce soir à Alice mais là, elle allait profiter au maximum de ce que lui offrait son irlandais.
« Tu es vraiment parfait. C’est tellement romantique ce que tu as préparé... »
La voix douce et le cœur battant avec force dans sa frêle cage thoracique tandis que son regard étincelait de milles feux. Avait-elle déjà dit combien elle aimait cette personne super géniale qu’était Aliosus ? Inspirant profondément sans cesser de sourire, elle serra un peu plus sa prise sur son bras alors qu’ils s’approchaient doucement de la table.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Pour mon Dragon
Ce n'était pas si curieux qu'ils aient l'air aussi peu sûr d'eux dans ce genre de situation, finalement ils étaient encore des enfants et, en ce qui concernait Aliosus, il avait l'impression en ce jour, avec ce petit goûter pourtant bien simple, de jouer à l'adulte, d'essayer de se hisser au niveau des codes amoureux qui lui étaient connu à travers ses lectures et ses observations : le garçon prend l'initiative de surprendre sa petite copine et de la couvrir d'attentions, c'était comme ça que ça se passait et il ne cherchait pas à en comprendre les raisons, il avait juste intégré cette manière de faire, mais plus important encore, il aimait cela. Il aimait trouver chaque jour une manière de montrer à Irisia qu'il pensait à elle, un mot, une attention, une pensée, un petit rien allant au devant de ses besoins...
Même s'ils n'en étaient plus à cacher leurs sentiments, le jeune préfet espérait pourtant que la chaleur de la serre masquerait son rougissement lorsqu'il reçut un joli compliment comme sa rousse savait en faire et qu'elle apposait sa main sur lui. Chez Irisia, tout était affaire de contact, elle avait toujours besoin de sentir l'autre physiquement, comme si ça lui permettait de se connecter, de mieux le comprendre, de mieux l'intégrer à ses pensées. Aliosus n'échappait pas à la règle, bien au contraire et, ne se seraient-ils pas rencontrés ce fameux soir, il aurait tout simplement détesté cette manie.
«Joyeuse saint Valentin à toi aussi.»
Il l'invita d'un geste du bras à prendre place et se mis en position de manière à pouvoir tirer la petite chaise en arrière pour lui faciliter l’installation.
«Ce n'est pas grand chose, mais je voulais marquer le coup, tu sais, un peu comme toi et la lettre que tu m'as écrite pour nos trois mois. Je te sert un verre ?»
6ème année
Même s'ils n'en étaient plus à cacher leurs sentiments, le jeune préfet espérait pourtant que la chaleur de la serre masquerait son rougissement lorsqu'il reçut un joli compliment comme sa rousse savait en faire et qu'elle apposait sa main sur lui. Chez Irisia, tout était affaire de contact, elle avait toujours besoin de sentir l'autre physiquement, comme si ça lui permettait de se connecter, de mieux le comprendre, de mieux l'intégrer à ses pensées. Aliosus n'échappait pas à la règle, bien au contraire et, ne se seraient-ils pas rencontrés ce fameux soir, il aurait tout simplement détesté cette manie.
«Joyeuse saint Valentin à toi aussi.»
Il l'invita d'un geste du bras à prendre place et se mis en position de manière à pouvoir tirer la petite chaise en arrière pour lui faciliter l’installation.
«Ce n'est pas grand chose, mais je voulais marquer le coup, tu sais, un peu comme toi et la lettre que tu m'as écrite pour nos trois mois. Je te sert un verre ?»
6ème année
Pour mon Dragon
Cramponnée au bras de son jeune cher et tendre, les pommettes aussi rouge que lui, son sourire ne cessait de zébrer son visage tant la joie et le contentement lui gonflait le cœur. Finalement, peut-être qu’elle exploserait de joie et non de doute ou de désespoir avant la fin de ce rendez-vous… Essayant de s’éventer discrètement et de calmer les battements de son muscle cardiaque, Irisia marcha tranquillement avant de se détacher de son bras. Puis elle ajusta les plis de sa robe tandis qu’elle s’assit avec élégance devant la table en fer forgé, s’imprégnant de l’ambiance tropicale et romantique de l’endroit. L’irlandaise était charmée devant tant de galanterie tandis qu’il lui tirait sa chaise avec un air des plus grands gentleman…
« Ma lettre... »
La fameuse lettre qu’elle avait eu tant de mal à écrire et dont elle ne remercierait jamais assez le soutien de la Préfère Lili Cooper.
« Oui avec plaisir, j’ai hâte de voir ce que tu as prévu. Tu te joins à moi ? »
Le regardant la servir avant de se mettre devant elle, la délicieuse dragonne se mordit les lèvres, hésitant un instant avant d’inspirer profondément pour se jeter dans le Grand Lac. Qui ne tente rien n’a rien… Mais, qui est audacieux finira heureux ? Essayons...
« Au fait… On n’en a pas trop parlé de cette lettre mais… Hnnn elle t’a fait plaisir ? »
En tout cas, elle, elle était très touchée par ce « pas grand-chose » qui était vraiment éblouissant et formidable… Admirant la table qu’il avait fait dresser dans la serre pour eux deux, la rousse effleura du bout des doigts les tissus et la vaisselle, émue et encore plus souriante que jamais. Irisia était profondément heureuse en cet instant et elle n’aurait échangé sa place pour rien au monde…
« D’où t’es venu cette idée de faire notre Saint-Valentin ici ? »
Le regard brillant de curiosité, ses longs doigts triturèrent la lourde tresse qui reposait sur son épaule tandis qu’elle croisa élégamment ses jambes fines. Toucher ses boucles sauvages avaient toujours eu le don d’apaiser quelque peu sa nervosité… Sans compter que l’irlandaise se souvenait que c’était l’une des coiffures préférés de son petit ami, il adorait les tresses… Le bruissement des feuilles détournèrent un bref instant son regard d’argent de son bien-aimé pour s’intéresser à ce qu’il se trouvait dans la serre. Des plantes aux couleurs éclatantes, aux odeurs enivrantes et aux danses fascinantes mais pas une d’elles ne devaient être embrassées ou caressées sous peine de mort. Même leurs murmures enchanteurs devaient être évités si l’on souhaitait pouvoir continuer de contempler le soleil… N’y avait-il pas plus romantique que cet instant ?
« Ma lettre... »
La fameuse lettre qu’elle avait eu tant de mal à écrire et dont elle ne remercierait jamais assez le soutien de la Préfère Lili Cooper.
« Oui avec plaisir, j’ai hâte de voir ce que tu as prévu. Tu te joins à moi ? »
Le regardant la servir avant de se mettre devant elle, la délicieuse dragonne se mordit les lèvres, hésitant un instant avant d’inspirer profondément pour se jeter dans le Grand Lac. Qui ne tente rien n’a rien… Mais, qui est audacieux finira heureux ? Essayons...
« Au fait… On n’en a pas trop parlé de cette lettre mais… Hnnn elle t’a fait plaisir ? »
En tout cas, elle, elle était très touchée par ce « pas grand-chose » qui était vraiment éblouissant et formidable… Admirant la table qu’il avait fait dresser dans la serre pour eux deux, la rousse effleura du bout des doigts les tissus et la vaisselle, émue et encore plus souriante que jamais. Irisia était profondément heureuse en cet instant et elle n’aurait échangé sa place pour rien au monde…
« D’où t’es venu cette idée de faire notre Saint-Valentin ici ? »
Le regard brillant de curiosité, ses longs doigts triturèrent la lourde tresse qui reposait sur son épaule tandis qu’elle croisa élégamment ses jambes fines. Toucher ses boucles sauvages avaient toujours eu le don d’apaiser quelque peu sa nervosité… Sans compter que l’irlandaise se souvenait que c’était l’une des coiffures préférés de son petit ami, il adorait les tresses… Le bruissement des feuilles détournèrent un bref instant son regard d’argent de son bien-aimé pour s’intéresser à ce qu’il se trouvait dans la serre. Des plantes aux couleurs éclatantes, aux odeurs enivrantes et aux danses fascinantes mais pas une d’elles ne devaient être embrassées ou caressées sous peine de mort. Même leurs murmures enchanteurs devaient être évités si l’on souhaitait pouvoir continuer de contempler le soleil… N’y avait-il pas plus romantique que cet instant ?
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Pour mon Dragon
Aliosus réajusta le nœud de sa cravate alors qu'il s'asseyait en face de sa petite amie, il saisit la carafe de jus de citrouille et lui servit un verre en lui répondant.
«Bien sur que je te me joins à toi, comment trinquer sinon ?» répondit-il en souriant. Il tremblait un peu, la peur d'être maladroit, le sentiment de ne pas être à la hauteur du décorum qu'il avait mis en place. Il ne voulait pas décevoir.
Quelque chose tracassait Irisia mais elle n'en fit pas secret longtemps, si elle avait eu les cheveux détachés, elle aurait sûrement trituré une de ses mèches, ou carrément mâchonné en dépit de toutes les bonnes manières. Mais pour l'heure c'était ses lèvres roses qui faisaient les frais de son inquiétude et se retrouvaient mordillées.
«J'ai été très touché par ta lettre, je... je suis désolé si je ne te l'ai pas assez dit ou si je ce n'était pas compréhensible, mais vraiment... Irisia, c'était ma première lettre d'amour, c'était fou de quand il y pensait, elle est précieusement rangée dans mes affaires et, il s'arrêta, hésitant à se confier, mais chassant vite cette idée de garder la chose pour lui, s'il y avait un endroit où être en confiance, c'était là, je l'ai déjà très souvent relue.»
Sa pudeur ne le lâcha cependant pas et il essaya vite de passer à un autre sujet, justement, il était tout trouvé.
«Je voulais te surprendre à vrai dire, difficile de faire un dîner à deux au château alors, j'ai cherché autre chose et puis j'ai pensé qu'on serait bien ici, au chaud. La serre à nous pour le temps de notre rendez-vous.» Et en effet, en seulement une minute, il se sentait ailleurs avec elle, en dehors du monde extérieur, comme s'ils étaient loin, très loin de Poudlard, juste tous les deux.
Il saisit son verre et le tendit vers Irisia.
«A notre première Saint Valentin !»
6ème année
«Bien sur que je te me joins à toi, comment trinquer sinon ?» répondit-il en souriant. Il tremblait un peu, la peur d'être maladroit, le sentiment de ne pas être à la hauteur du décorum qu'il avait mis en place. Il ne voulait pas décevoir.
Quelque chose tracassait Irisia mais elle n'en fit pas secret longtemps, si elle avait eu les cheveux détachés, elle aurait sûrement trituré une de ses mèches, ou carrément mâchonné en dépit de toutes les bonnes manières. Mais pour l'heure c'était ses lèvres roses qui faisaient les frais de son inquiétude et se retrouvaient mordillées.
«J'ai été très touché par ta lettre, je... je suis désolé si je ne te l'ai pas assez dit ou si je ce n'était pas compréhensible, mais vraiment... Irisia, c'était ma première lettre d'amour, c'était fou de quand il y pensait, elle est précieusement rangée dans mes affaires et, il s'arrêta, hésitant à se confier, mais chassant vite cette idée de garder la chose pour lui, s'il y avait un endroit où être en confiance, c'était là, je l'ai déjà très souvent relue.»
Sa pudeur ne le lâcha cependant pas et il essaya vite de passer à un autre sujet, justement, il était tout trouvé.
«Je voulais te surprendre à vrai dire, difficile de faire un dîner à deux au château alors, j'ai cherché autre chose et puis j'ai pensé qu'on serait bien ici, au chaud. La serre à nous pour le temps de notre rendez-vous.» Et en effet, en seulement une minute, il se sentait ailleurs avec elle, en dehors du monde extérieur, comme s'ils étaient loin, très loin de Poudlard, juste tous les deux.
Il saisit son verre et le tendit vers Irisia.
«A notre première Saint Valentin !»
6ème année
Pour mon Dragon
Si cela rassurait Irisia de tripoter sa lourde tresse, pour Aliosus c’était sa cravate. Il semblait bien nerveux tandis qu’il resserrait le nœud de tissu autour de sa gorge…. Cela amusa la rouquine de le voir aussi nerveux qu’elle-même. Cela l’aida même à s’apaiser un peu de son côté. Attrapant son verre avec élégance, le poignet souple et le petit doigt en l’air, elle le leva et trinqua donc avec son petit ami, ses pommettes encore plus roses et ses yeux plus brillants.
« Je… Je suis contente que cette lettre t’a touché… Je dois bien avouer qu’il s’agit là de ma toute première lettre d’amour ! »
Et elle rit doucement, le son roulant sur ses lèvres comme un collier de perles. Son cœur loupa même un battement quand il lui confia qu’il relisait souvent le parchemin… Cela la gêna… Un peu… Mais cela la ravit encore plus. Buvant une nouvelle gorgée pour s’éclaircir la gorge, Irisia hocha la tête sans cesser de sourire.
« En même temps, c’est un jour particulier aujourd’hui donc il doit y avoir des couples absolument partout et dégoulinant de sucre… Mais tu t’es bien débrouillé Aliosus, sincèrement : c’est vraiment magnifique. La serre, l’ambiance, ce goûter… C’est vraiment superbe. »
Et la rouquine était franchement sincère et profondément heureuse d’être ici en cet instant. Un instant incroyable et tellement romantique… Seuls, au milieu des plantes carnivores et des fleurs tellement vénéneusement belles… La voix de son petit-ami résonnant de nouveau, elle lui offrit une nouvelle fois toute son attention, son sourire s’agrandissant de plus belle alors qu’elle leva encore une fois son verre pour trinquer avec lui.
« A notre première Saint-Valentin ! »
Et son cœur explosa de joie au moment même où leurs verres tintèrent dans un bruit cristallin. Toute émue, elle but une petite gorgée avec élégance et délicatesse, bien plus distinguée que sa sauvagerie habituelle. Le sourire aux lèvres, elle reposa le verre sur la table et la contempla rêveusement.
« Notre première Saint-Valentin… Qu’as-tu donc préparé ? »
Curieuse, son petit nez frétillant, elle lissait distraitement les plis de sa robe, nullement gênée par la moiteur et la chaleur de la serre. Irisia se sentait tellement grande et adulte soudainement, à ce goûter en amoureux… Ce n’était plus une enfant mais une adolescente avec un petit ami si beau et prévenant, tellement intelligent et doux… Et puis cela se voyait qu’il avait fait un effort pour voir l’autre, pour lui plaire. La rousse était vraiment très heureuse, complètement conquise !
« Alors… Tu… Ton idée de la serre est vraiment cool. On a l’impression de voyager ! J’ai l’impression d’être de retour au Pérou. Je ne t’ai jamais vraiment posé la question mais est-ce que tu aimes voyager ? »
Un peu hésitante, elle avait inspiré profondément avant de se lancer. Elle avait lu dans AdoWitch Magazine que lors des rendez-vous, il fallait faire en sorte que le partenaire soit mis en valeur et se sente bien… Parler de lui, de ses passions, de ses projets, étaient un excellent moyen de mieux se connaître et se plaire. N’est-ce pas… ?
« Je… Je suis contente que cette lettre t’a touché… Je dois bien avouer qu’il s’agit là de ma toute première lettre d’amour ! »
Et elle rit doucement, le son roulant sur ses lèvres comme un collier de perles. Son cœur loupa même un battement quand il lui confia qu’il relisait souvent le parchemin… Cela la gêna… Un peu… Mais cela la ravit encore plus. Buvant une nouvelle gorgée pour s’éclaircir la gorge, Irisia hocha la tête sans cesser de sourire.
« En même temps, c’est un jour particulier aujourd’hui donc il doit y avoir des couples absolument partout et dégoulinant de sucre… Mais tu t’es bien débrouillé Aliosus, sincèrement : c’est vraiment magnifique. La serre, l’ambiance, ce goûter… C’est vraiment superbe. »
Et la rouquine était franchement sincère et profondément heureuse d’être ici en cet instant. Un instant incroyable et tellement romantique… Seuls, au milieu des plantes carnivores et des fleurs tellement vénéneusement belles… La voix de son petit-ami résonnant de nouveau, elle lui offrit une nouvelle fois toute son attention, son sourire s’agrandissant de plus belle alors qu’elle leva encore une fois son verre pour trinquer avec lui.
« A notre première Saint-Valentin ! »
Et son cœur explosa de joie au moment même où leurs verres tintèrent dans un bruit cristallin. Toute émue, elle but une petite gorgée avec élégance et délicatesse, bien plus distinguée que sa sauvagerie habituelle. Le sourire aux lèvres, elle reposa le verre sur la table et la contempla rêveusement.
« Notre première Saint-Valentin… Qu’as-tu donc préparé ? »
Curieuse, son petit nez frétillant, elle lissait distraitement les plis de sa robe, nullement gênée par la moiteur et la chaleur de la serre. Irisia se sentait tellement grande et adulte soudainement, à ce goûter en amoureux… Ce n’était plus une enfant mais une adolescente avec un petit ami si beau et prévenant, tellement intelligent et doux… Et puis cela se voyait qu’il avait fait un effort pour voir l’autre, pour lui plaire. La rousse était vraiment très heureuse, complètement conquise !
« Alors… Tu… Ton idée de la serre est vraiment cool. On a l’impression de voyager ! J’ai l’impression d’être de retour au Pérou. Je ne t’ai jamais vraiment posé la question mais est-ce que tu aimes voyager ? »
Un peu hésitante, elle avait inspiré profondément avant de se lancer. Elle avait lu dans AdoWitch Magazine que lors des rendez-vous, il fallait faire en sorte que le partenaire soit mis en valeur et se sente bien… Parler de lui, de ses passions, de ses projets, étaient un excellent moyen de mieux se connaître et se plaire. N’est-ce pas… ?
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp
Pour mon Dragon
«De couples dégoulinants, c'est certains ! Je ne sais pas si tu as entendu, mais il y a un elfe de maison qui a mis du philtre d'amour un peu partout dans le petit déjeuner de ce matin, ça a été un vrai bazar dans la Grande Salle jusqu'à ce que les gens comprennent ce qui se passait. Je crois même que des professeurs ont commencé à se faire les yeux doux, tu imagines ?»
Ça avait été un sacré mélimélo de situations loufoques et de quiproquo gênants, entre les ennemis qui s'étaient tombés dans les bras et les ceux qui pensaient que enfin leurs amoureux secrets se révélaient, tout ça pour être cruellement déçus à l'arrivée. Aliosus se demandait si l'elfe de maison allait être renvoyé pour ça, il ne connaissait pas grand chose au monde du travail, alors l'emploi des elfes de maison à Poudlard...
«A notre première Saint Valentin !» répondit-il à Irisia. Elle avait certes, commencé à boire avant, mais il ne lui en tenait pas rigueur, il lui passait tout. Le tintement des verres avait quelque chose comme une annonce d'un futur radieux. Aliosus l'espérait.
«Alors tu as là un assortiments de gâteaux : du cheesecake, une banoffee pie et un irish apple cake, qu'est-ce que je te sers ?» Il s'était donné du mal pour avoir ces gâteaux irlandais, le mélange des odeurs le ravissait, les pommes et la cannelle du gâteau aux pommes, la banane de la tarte... Il n'était pas un gourmand, mais prévoyait tout de même de se faire plaisir, c'était tout le but de la manœuvre : passer un bon moment, le plus simplement du monde.
«C'était le but, que ça te rappelle tes voyages. Moi, je ne suis sorti de Grande Bretagne qu'une fois, à Noël dernier pour rencontre toute la branche Nerrah, à Lübeck en Allemagne. Je n'ai jamais trop réfléchit à voyager, tu as vu beaucoup de pays en dehors du Pérou ?»
6ème année
Ça avait été un sacré mélimélo de situations loufoques et de quiproquo gênants, entre les ennemis qui s'étaient tombés dans les bras et les ceux qui pensaient que enfin leurs amoureux secrets se révélaient, tout ça pour être cruellement déçus à l'arrivée. Aliosus se demandait si l'elfe de maison allait être renvoyé pour ça, il ne connaissait pas grand chose au monde du travail, alors l'emploi des elfes de maison à Poudlard...
«A notre première Saint Valentin !» répondit-il à Irisia. Elle avait certes, commencé à boire avant, mais il ne lui en tenait pas rigueur, il lui passait tout. Le tintement des verres avait quelque chose comme une annonce d'un futur radieux. Aliosus l'espérait.
«Alors tu as là un assortiments de gâteaux : du cheesecake, une banoffee pie et un irish apple cake, qu'est-ce que je te sers ?» Il s'était donné du mal pour avoir ces gâteaux irlandais, le mélange des odeurs le ravissait, les pommes et la cannelle du gâteau aux pommes, la banane de la tarte... Il n'était pas un gourmand, mais prévoyait tout de même de se faire plaisir, c'était tout le but de la manœuvre : passer un bon moment, le plus simplement du monde.
«C'était le but, que ça te rappelle tes voyages. Moi, je ne suis sorti de Grande Bretagne qu'une fois, à Noël dernier pour rencontre toute la branche Nerrah, à Lübeck en Allemagne. Je n'ai jamais trop réfléchit à voyager, tu as vu beaucoup de pays en dehors du Pérou ?»
6ème année
Pour mon Dragon
Un philtre d’amour ce matin ?! Dire qu’elle avait complètement loupé ça parce qu’elle était trop occupée à être parfaite pour ce goûter… Flûte… Ca devait être tellement génial à voir en plus !
« Oui j’en ai entendu parler ce matin. Mais j’ai pas eu le temps de déjeuner, du coup je ne suis pas allée dans la Grande Salle... »
Irisia grimaça légèrement. Tant pis. Une autre fois ! Et puis, au fond, elle ne regrette pas tant que ça de ne pas y être allée parce que le bonheur dans le regard de son petit ami face à son apparence valait beaucoup plus !
« Du coup, toi non plus tu n’étais pas à la Grande Salle ce matin ? »
Si lui aussi avait entendu les « on-dit », cela signifiait qu’il n’avait pas pris non plus son petit-déjeuner… Trop occupé lui aussi à se préparer pour ce goûter ? Peut-être… Le tintement des verres la fit sortir de ses pensées et la rousse trinqua une seconde fois avec Aliosus pour fêter leur saint-Valentin, les battements de son cœur s’accélérant. Pour une fois qu’elle avait de la chance avec cette fête…
« … Ouah… Et bien je veux bien un peu de irish apple cake s’il te plaît. Ils ont l’air drôlement bon ! »
En tout cas les parfums de cannelle et de pomme lui montaient délicieusement au nez. Le regard étincelant de joie et de gourmandise, Irisia avait les papilles qui en frétillaient d’avance de sentir les arômes fondre sur sa langue.
« Malheureusement non, pas beaucoup. Père ne voulait jamais m’emmener dans ses voyages d’affaires. Le Pérou a été la seule exception. Sinon, pour les vacances, nous avons déjà fait la France, que Mère aime profondément, et l’Espagne. »
Si peu… Alors qu’elle avait un tel goût du monde…
« Mais je rêve de voyager dans le monde entier. De pouvoir aller dans toutes les réserves de dragons, même d’y travailler si c’est possible ! Et j’aimerais aussi pouvoir me rendre dans les pays asiatiques ! La Chine, le Vietnam… C’est tellement beau et vaste ! J’aimerai bien apprendre leur langue et m’immerger dans leur culture... »
Irisia avait le regard rêveur, s’imaginant voler dans les steppes immenses, sentir les fleurs exotiques aux couleurs chatoyantes… Mais tout était si compliqué pour l’instant, que cela ne pouvait tenir que du rêve.
« Du coup j’ai hâte de grandir pour pouvoir faire tout ça... »
L’irlandaise rit doucement en redonnant toute son attention à son petit ami, penchant la tête sur le côté avant de prendre une bouchée du gâteau. Soupirant lourdement en fermant les yeux de gourmandise, son sourire lui zébra de nouveau le visage alors qu’elle se lécha les lèvres. Salazar que c’était bon… Cela lui rappelait les goûters à la maison, quand tout le monde était encore là…
« Il est délicieux… Merci pour ce moment Aliosus... »
L’œillade tendre, Irisia était toute chose, continuant de manger avec élégance et délice.
« Oui j’en ai entendu parler ce matin. Mais j’ai pas eu le temps de déjeuner, du coup je ne suis pas allée dans la Grande Salle... »
Irisia grimaça légèrement. Tant pis. Une autre fois ! Et puis, au fond, elle ne regrette pas tant que ça de ne pas y être allée parce que le bonheur dans le regard de son petit ami face à son apparence valait beaucoup plus !
« Du coup, toi non plus tu n’étais pas à la Grande Salle ce matin ? »
Si lui aussi avait entendu les « on-dit », cela signifiait qu’il n’avait pas pris non plus son petit-déjeuner… Trop occupé lui aussi à se préparer pour ce goûter ? Peut-être… Le tintement des verres la fit sortir de ses pensées et la rousse trinqua une seconde fois avec Aliosus pour fêter leur saint-Valentin, les battements de son cœur s’accélérant. Pour une fois qu’elle avait de la chance avec cette fête…
« … Ouah… Et bien je veux bien un peu de irish apple cake s’il te plaît. Ils ont l’air drôlement bon ! »
En tout cas les parfums de cannelle et de pomme lui montaient délicieusement au nez. Le regard étincelant de joie et de gourmandise, Irisia avait les papilles qui en frétillaient d’avance de sentir les arômes fondre sur sa langue.
« Malheureusement non, pas beaucoup. Père ne voulait jamais m’emmener dans ses voyages d’affaires. Le Pérou a été la seule exception. Sinon, pour les vacances, nous avons déjà fait la France, que Mère aime profondément, et l’Espagne. »
Si peu… Alors qu’elle avait un tel goût du monde…
« Mais je rêve de voyager dans le monde entier. De pouvoir aller dans toutes les réserves de dragons, même d’y travailler si c’est possible ! Et j’aimerais aussi pouvoir me rendre dans les pays asiatiques ! La Chine, le Vietnam… C’est tellement beau et vaste ! J’aimerai bien apprendre leur langue et m’immerger dans leur culture... »
Irisia avait le regard rêveur, s’imaginant voler dans les steppes immenses, sentir les fleurs exotiques aux couleurs chatoyantes… Mais tout était si compliqué pour l’instant, que cela ne pouvait tenir que du rêve.
« Du coup j’ai hâte de grandir pour pouvoir faire tout ça... »
L’irlandaise rit doucement en redonnant toute son attention à son petit ami, penchant la tête sur le côté avant de prendre une bouchée du gâteau. Soupirant lourdement en fermant les yeux de gourmandise, son sourire lui zébra de nouveau le visage alors qu’elle se lécha les lèvres. Salazar que c’était bon… Cela lui rappelait les goûters à la maison, quand tout le monde était encore là…
« Il est délicieux… Merci pour ce moment Aliosus... »
L’œillade tendre, Irisia était toute chose, continuant de manger avec élégance et délice.
En glissant je viens, en rusant je vaincs, le sommet j’atteins.
2048-2049 : Sixième année rp