RPG avec @Leo Ginger
Le 17 novembre


Depuis sa plus tendre enfance, la petite blondinette avait compris quelles été ses passions. Et savait user de son fort caractère pour s'imposer là ou on ne voulait pas d'elle. Cela avait commencé dès son plus jeune âge quand l'entraineur de tennis avait refusé de prendre une fille dans son cour, qu'elle c'était munie d'une raquette et qu'elle avait commencé à montrer ce qu'elle savait faire. L'entraineur fut tellement abasourdis par son audace qu'il se sentit obligé de la prendre dans l'équipe et il ne fut pas déçu de son choix car elle faisait maintenant partit de ses meilleurs élèves. C'est donc avec son tempérament de feu que la fillette résolvait ses problèmes, remarque ce caractère forcené, elle le tenait bien de quelque part. Ses deux parents, qui eux même étaient têtu comme des mules, c'est presque comme si elle prédestinée à avoir un aussi fort caractère.
Elle avait comme un petit côté hyperactif et se devait d'être toujours en mouvement, les sports moldues avaient réussi à canaliser cette petite boule d'énergie d'aussi loin qu'elle se souvienne. Mais le fait de ne pas pouvoir pratiquer ces sports qu'elle aimait tant lui minait quelque peu le moral. Elle avait entendu dire que dans le monde des sorciers, le sport par excellence était le Quiddich. Ses parents ne lui en avait que très peu parlé préférant l'éduquer à la culture sportive moldue. Elle n'en connaissait donc que très peu sur le dit sport et étant une fan de sport, elle voulait en apprendre plus. C'est donc d'un pas on ne peut plus déterminé qu'elle se dirigea vers le terrain d'entrainement ou elle espérait pouvoir se renseigner.
Elle emporta donc avec elle, son fameux carnet de croquis en espérant pouvoir crayonner quelques athlètes en action. Après tout si elle ne pouvait en apprendre plus, elle pourrait toujours dessiner. Ne sachant pas du tout comment se déroulait les entrainements et comment on pouvait accéder à ce sport, elle préférait anticipait le refus.


Voilà dis moi si ça te plait ou si tu souhaites que je change certains détails. Et désolée pour les fautes.

Être batteuse des Griffes Ardentes, ça a un grand avantage. Bon ok, être joueuse chez les Griffes Ardentes est déjà un immense privilège en soi : celui d’être membre de l’équipe la plus cool, la plus forte et la plus incroyable de tout Poudlard. Mais être batteuse a l’avantage supplémentaire d’occuper le poste le plus défoulant qui existe. Et ça, c’est exactement ce qu’il me faut pour me remette de la journée de cours particulièrement chargée qui représente chacun de mes vendredis. Sept heures de cours, ça fait beaucoup de concentration à fournir. Beaucoup trop.

Ainsi, je suis maintenant particulièrement satisfaite de trouver un terrain d’entraînement vide pour libérer un cognard avant de m’envoler sur mon fidèle Comète 260, batte en main. Frapper des balles de fer, c’est ma manière à moi de me vider le cerveau et de me détendre après les cours. Frapper sans réfléchir, c’est tout à fait possible puisqu’en dehors de quelques oiseaux qui semblent avoir compris qu’il est plus raisonnable de rayer l’espace de Quidditch de leur itinéraire de vol le temps que moi et surtout la balle de fer y sommes, je suis la seule à pourfendre l’air. Donc la seule qui risque de ressortir un peu cabossée si par mégarde je fais preuve d’un peu trop d’inattention ou de distraction, et bien c’est moi-même.

C’est là que je peux citer l’inconvénient accompagnant le poste de batteuse : s’entraîner toute seule c’est sympa, mais à la longue pas siiii marrant. Après tout, la seule personne qui peut potentiellement faire office de cible, et bien c’est encore une fois moi-même. Et me viser… je ne suis pas un troll tout de même. Du coup, bah je n’ai pas de cible, gratifie le cognard d’une frappe lorsqu’il s’approche, l’envoie de l’autre côté du terrain, m'empresse de voler à sa poursuite pour lui asséner un nouveau coup de batte et le voir partir une nouvelle fois au loin.

Après sept minutes, je commence tout gentiment à en avoir un peu assez. Hop, cette fois je mets une énergie particulière dans ma frappe pour que le cognard parte bien loin afin de me laisser le temps de réfléchir. Ou plutôt d’attendre qu’une idée daigne de me venir à l’esprit parce que j’ai déjà suffisamment réfléchi pour aujourd’hui. J’attends. Hum, rien. Je continue d’attendre. Mon regard tombe sur la tourelle de mon dortoir. Oh! La voilà, mon idée. Sauf que je doute que viser les fenêtres du château soit une idée si brillante que cela. Enfin, le carreau de vitre brisé par un cognard donne très certainement du caractère au dortoir de joueuses de Quidditch que nous sommes, mais je doute que la personne à l’origine de cela s’en soit sortie sans ennuis. Après tout, il me parait improbable qu’il soit possible de vendre cela comme de l’art contemporain au concierge. Ou à un préfet. Ou à un professeur. Ou à qui que ce soit en fait.

Je me détourne pour regarder où est la balle folle, me rends compte qu’elle est dangereusement proche et brandis en hâte ma batte une fois de plus. Cette fois, le cognard part en direction des anneaux. Des anneaux…oh ! Mais pourquoi je n’y ai pas pensé plus tôt ! Trois parfaites cibles. Toute enthousiaste, je repars à la poursuite du cognard. Cette fois, je tente de l’envoyer de toutes mes forces à-travers l’anneau des dix-sept mètres.

Paf. Aehm. C’était bien l’anneau des dix-sept mètres. Mais dix bon centimètres sous le cercle, en plein dans le poteau. Oups. D’ailleurs, peut-être qu’il s’agit-là de mon imagination, mais je pourrais jurer l’avoir vu trembler sous le choc. Un peu soucieuse, je m’approche de la victime. Hum. La peinture est écaillée mais ça, on l’a déjà constaté depuis longtemps. Je passe ma main sur le bois. Hum 2.0. Je crois que tout va bien. Enfin tant que l’anneau tient debout… et puis de toute manière, ça ne doit pas être le premier cognard qu’il se prend, ou bien ? Je tourne la tête pour voir si quelqu’un m’a vu. Personne aux fenêtres ? Personne au sol ? Ah si. Mince. Tout en gardant un œil sur le cognard - qui heureusement semble s’amuser à distance - je mets le cap sur la personne en question.

M’arrêtant à un mètre d’elle, voletant sur place, j’interpelle celle que je crois identifier comme une élève de Gryffondor:

“Salut. Je peux te demander d’éviter de raconter aux autres que j’ai failli décapiter l’anneau de Quidditch ?”

Mon regard curieux tombe sur le carnet que la fille tient en mains.

“Oh tu dessines ? Fais voir !”

Je lève la tête pour voir où est le cognard. Plutôt loin pour l’instant, mais je prépare néanmoins la batte juste au cas où.

Le pas pressé de la fillette résonnait à travers tout le couloir. Était-il aussi long habituellement où était-ce son excitation qui lui jouait des tours ? Elle n'avait jamais été aussi impatiente de sortir, remarque ce n'était pas totalement vrai...

À chaque fois que la blondinette pouvait mettre les pieds dehors, elle ne s'en privait pas. Rien qu'à cette pensée un léger sourire prit possession de son visage et elle serra par la même occasion son carnet un peu plus contre son cœur. Son cher carnet de dessin qu'elle promenait presque partout, était devenu une partie essentielle de son âme. Peu de personnes avaient eu l'honneur d'y jeter un coup d’œil, pas qu'elle ne veuille pas le montrer. Mais avec un caractère aussi brouillon que le sien, les autres devaient certainement se dire que rien de bon ne pouvait en sortir et de ce fait ne venaient jamais demander pour le regarder. Cette pensée fit éclater de rire Saga, ça lui rappelait la façon dont elle avait fait la connaissance d'Arthur, son meilleur ami. Il s'était permis de lui subtiliser son précieux bouquin et c'était bien l'une des rares personnes à se croire tout permis pour lui voler le dit carnet sans autorisation. Peut-être qu'un jour quelqu'un d'autre voudra bien voir ses dessins, ils n'étaient pas si moches pourtant. Est-ce qu'Arthur avait été objectif sur cette partie ?

Dehors le ciel, c'était teinté de bleu en plus d'être agrémenté de quelques nuages, ce qui rendait le résultat très inspirant. Saga prit une inspiration, ouvrit grand les yeux et captura dans sa mémoire le panel de couleur qui s'offrait à elle. Elle pourrait s'en doutes s'en servir plus tard pour mettre en couleur une de ses nombreuses œuvres. Que le monde était beau avec toutes ses nuances de couleurs.

Elle continua son chemin vers les terrains, car après tout, ils étaient son but premier. Il ne lui fallut pas bien longtemps pour apercevoir les belles boucles rousses de la sorcière qui se tenait dans les airs sur son impressionnant balai. Elle tenait fermement dans sa main ce qui ressemblait fortement à une batte. Saga voulut l'interpeller pour lui signifier sa présence, mais se ravisa, elle semblait concentrer et qui était-elle pour briser une telle concentration ? Elle l’appellerait quand elle aurait fini sa tâche. C'est donc pour attendre la rouquine que Saga se mit à crayonner, elle avait le parfait modèle ! Elle avait pris la décision de changer le matériel et avait mis une balle dans les mains de la sportive. Ne lui demandez pas pourquoi d'ailleurs...

Lorsque la blondinette releva le nez, elle put voir l'incroyable frappe que donna l'autre élève, la balle vint se heurter dans un fracas à l'un des poteaux. Saga compris à la réaction de la jeune fille qu'elle regrettait son acte et comme pour confirmer ses pensées, leurs regards se croisèrent. L'inquiétude se lut dans le regard de sa camarade. Puis tout en douceur celle-ci se dirigea vers Saga.

“Salut. Je peux te demander d’éviter de raconter aux autres que j’ai failli décapiter l’anneau de Quidditch ?”

Saga n'eut pas le temps d'ouvrir les lèvres que celle qu'elle reconnaissait enfin comme étant la capitaine des Griffes Ardentes reprit la parole. Elle était vraiment fatiguée pour ne pas l'avoir reconnu plus tôt et se frotta les yeux comme pour mieux se réveiller.

“Oh, tu dessines ? Fais voir !”

- Salut, ravie de tomber sur quelqu'un. J'avais peur qu'il n'y est personne, ça aurait été dommage. Oh, tu sais ne t'inquiètes pas pour ça. On a chacun nos petits secrets, lui lança la fillette avec un clin d’œil complice tout en inclinant son carnet vers son ainée. Je me suis permise de te dessiner, j'espère que ça ne te dérange pas. Tu as vraiment été incroyable tout à l'heure !!! J'ai pu ressentir toute la force que tu as mise !! C'était tout simplement magnifique !!

Saga était tellement surexcitée qu'elle s'était mise à déblatérer dans tous les sens. La joie que ressentait Saga devait se retransmettre à travers ses yeux.

Excuse-moi pour le retard, en espérant que ça te plaise et désolée pour les éventuelles fautes

"Moi, sérieux ?"

Curieuse, je me penche légèrement vers le carnet que me montre la blonde. Se voir dans un miroir c'est une chose, sur une photographie - qu'elle soit moldue ou ensorcelée - une autre, mais reconnaître des contours familiers tracés au crayon sur une feuille de papier, esquissés par les mains d'une autre personne... Regard rivé sur le dessin, je m'exclame avec enthousiasme :

"La grande, grande classe, tu dessines super bien ! Maaaais t'as pas signé ton oeuvre... Je lève les yeux sur ma camarade pour continuer avec un sourire : Tu me dirais le prénom de l'a-... "

Wiooooooooou...

Oh-oh, voilà qui m'est familier également. Mes réflexes de batteuse laissent la fin du mot en suspens tandis que je tire brusquement sur le manche de mon fidèle Comète 260 pour faire demi-tour, batte levée. Instinctivement, je réajuste légèrement ma position de manière à me placer entre ma camarade et le cognard - on ne sait jamais - qui fend les airs à toute allure pour foncer tout droit sur nous. Et c'est vraiment pas trop tôt, puisque je n'aurais pas eu le temps de prononcer le mot "Quidditch", que la balle de fer vient percuter ma batte qui le renvoie loiiin dans le ciel. Ma frappe me satisfait et elle devrait me laisser quelques instants pour terminer ma phrase. Alors je me tourne à nouveau vers la rouge et or, reprenant d'un ton que je laisse sonner malicieusement détaché, comme s'il ne s'était absolument rien passé du tout :

"... le prénom de l'artiste ? Mais parce qu'un cognard est une réalité à ne pas nier, j'ajoute finalement et non sans un brin d'amusement : T'auras constaté qu'un cognard en liberté, quand on veut tranquillement faire causette, ça a du potentiel d'éruptif dans un magasin de fioles - on aurait été mieux loties avec un souafle comme sur ton dessin ! Je peux le ranger dans la malle, si tu veux. A moins que tu n'aies envie d'essayer de le frapper ?"

J'interroge ma camarade du regard, prête à lui tendre ma batte si jamais il s'avère qu'elle est effectivement tentée par l'idée de troquer pendant un court instant son crayon contre l'arme de bois. Peut-être qu'elle aurait envie essayer ? Elle m'a l'air sportive, alors pourquoi pas. Ou alors par audace de Gryffondor, en mode mini-challenge ? J'en sais rien, mais ce qui ne fait pas de doute, c'est que le cognard reviendra tout droit vers nous dans très peu de temps. Et si jamais cogner des balles de fer ne l'intéresse pas plus que ça, je pourrai toujours m'en charger moi-même.

Je m'excuse pour le retard, Saga. Mais je ne peux que rejoindre Leo : ton dessin est vraiment sympa !

- Les idées fusaient dans ma petite caboche et je ne savais pas trop quoi choisir. Mais quand je t'ai vu, j'ai eu comme une ampoule qui s'est allumée. Je devais te dessiner, je ne sais pas comment te l'expliquer, mais je devais le faire, je ne pouvais pas faire autrement, et puis avec tes belles boucles flamboyantes qui sont vraiment magnifiques !

Elle devait l'admettre, elle était assez surprise de voir la rousse se pencher pour voir son esquisse. Mais c'était agréable de partager ses œuvres avec de nouveaux regards. Elle espérait juste ne pas l'avoir froissée, oui froissée, on ne sait jamais, car après tout certain n'aime pas être pris en photo alors elle se disait qu'on pouvait aussi détester servir de modèle dessin, non ? Remarque si sa camarade lui faisait une remarque, elle s'excuserait et irait jeter le croquis. Saga attendait donc le verdict et contre toute attente, elle fut complimentée. Son petit cœur s'enflamma aussitôt, pas de nature sentimentale bien sûr, elle était tout simplement heureuse d'être tombée sur la joueuse de Quidditch. En même temps, qui ne serait pas content après un tel éloge ? Mais avant que la joueuse de Quidditch ait fini sa phrase, la balle folle revient à toute vitesse droit sur elle. Le bras de sa camarade s'arma et elle le laissa partir avec une telle facilité pour frapper dans le cognard. Semblant satisfaite du résultat, elle reporta son attention sur Saga.

- Hum le prénom de l'artiste ? Elle venait de répéter la phrase tout en se frottant le menton entre le pouce et l'index, ça lui donnait un air pensif. Tout à fait, ce qu'elle voulait dégager en cet instant, se dit-elle intérieurement.
Je ne sais pas si je peux te le dire, ma maman m'a toujours appris à ne pas donner mon nom à des inconnues, lui lança-t-elle d'une voie de bébé.
Non plus sérieusement, je m'appelle Saga Jones. Tu peux m'appeler comme tu veux Saga, Sage, Sag, bon, je te l'accorde ce ne sont pas les meilleurs surnoms du monde, mais je te mets au défi d'en trouver un mieux, dit-elle en éclatant de rire. Puis une fois ses bêtises sorties, elle questionna sa camarade sur les cognards, elle se demandait comment ils faisaient pour être aussi énergiques et agressifs ?

Leo, la capitaine des Griffes Ardentes, la batteuse de l'équipe de Gryffondor, lui proposait d'essayer ! Saga ne mit pas longtemps à réfléchir et accepta avec joie de tester. Elle ne s'attendait pas à essayer, elle qui était simplement venue pour regarder de loin. C'est donc pleine d'audace qu'elle attrapa la batte tendue par Leo, le cognard se rapprochait dangereusement des deux fillettes, mais Saga ne s'en inquiéta pas et avant que Leo ait pu lui donner une quelconque explication Saga se mit en position. Elle arma son bras, ajusta son positionnement, ancra ses pieds profondément dans le sol, ajusta sa poigne sur la batte qui ne faisait plus qu'un avec ses bras et fini par lancer son bras. La batte entra en contact avec le cognard et celui-ci reparti aussitôt d’où il venait. Ce sentiment, mon Dieu, il m'avait manqué ! Batteuse au Quidditch ressemblait fort au baseball des moldus et voir un peu au tennis alors comment ne pas apprécier la sensation. Elle se tourna vers Leo pour lui sourire.

Maintenant, c'est à mon tour de m'excuser pour ce giga retard, désoléeeee !!
Et encore merci pour le compliment du post précédant, donc a ton tour cap'taine héhé @Leo Ginger

Avec un sourie espiègle niché au coin des lèvres, j'observe la dénommée Saga métamorphoser le ton de sa voix avec la légèreté et la rapidité d'un vivet doré. Je ne peux m'empêcher de laisser échapper un rire amusé face à ce petit numéro et il ne me faut pas bien longtemps pour entrer à mon tour dans le jeu. Je croise exagérément les bras tout en adoptant une voix faussement indignée :

"Inconnue ? Comment ça je te suis inconnue !? Leo Ginger, batteuse, capitaine des Griffes Ardentes et... euh bah c'est tout." Pour l'instant !

Enfin ça dépend : si ce qui viendra s'ajouter à la liste d'ici peu est quelque chose du style "responsable de l'expédition express d'une camarade à l'infirmerie," non merci. En l'espace de quelques secondes, ma batte a changé de mains et j'avoue que la détermination de Saga me prend un peu au dépourvu. Pas que ce soit mauvais, hein, au contraire, c'est une des premières choses que j'aurais listées dans mon petit briefing de comment survivre face à une balle enragée. Sauf que la Gryffonne ne me laisse pas le temps de glisser une quelconque explication.

En réalité, en la voyant se camper fermement sur ses deux pieds, à la position de son buste puis celle de sa batte, je sais immédiatement que ce n'est pas la première fois que Saga tient une batte entre les mains et probablement que tout briefing aurait été de toute manière superflu. Je ne suis même pas inquiète lorsque le cognard arrive à toute allure, cette frappe ne peut que passer. Et effectivement, quelques instants plus tard, la balle folle est envoyée loiiiin, de là où elle venait. Après un petit sifflement approbateur, je me tourne vers la blonde qui me sourit.

"Dis-moi Saga, t'as déjà eu affaire à un cognard ? Ou à une batte ? Faudra que t'essaies un jour, y a rien de plus défoulant que ça !"