J'étais complètement perdue ! je ne savais pas ou j'étais, dans une très grande salle avec, hum... BEAUCOUP de livres. Tout à coup, je me rendis compte que j'étais dans une IMMENSE bibliothèque. J'étais aux anges ! je parcouru tout les rayons, observé comment ils étaient rangés, j'ai finalement choisi un livre à la couverture magnifique qui s'intitulait : le quidditch à travers les âges. Une fois fini, j'en pris un autre, puis un autre et encore un... Il était 19 heures quand on me prévint que c'était l'heure de manger et que la bibliothèque allait fermer. Alors je parti mais jura d'y retourner le lendemain. Je me réveilla de très bonne heure, il devait être 7 heures et demi et je fila à la biblio. Cette fois ci, je pris un livre sur les dragons. C'était passionnant ! je ne savais pas que les dragons pouvaient être si petit ou si grand ! puis je trouva un livre, posé sur une table. Je voulu le ranger mais il attira mon attention. Il s'intitulait : les contes de Beadle le barde. Je le feuilleta et je m'arrêta sur l'histoire des trois frères :

Il était une fois trois frères qui voyageaient au crépuscule, le long d une route tortueuse et solitaire. Après avoir longtemps cheminé, ils atteignirent une rivière trop profonde pour la traverser à gué et trop dangereuse pour la franchir à la nage. Les trois frères, cependant, connaissaient bien l'art de la magie. Aussi, d'un simple mouvement de baguette, ils firent apparaître un pont qui enjambait les eaux redoutables de la rivière. Ils étaient arrivés au milieu du pont lorsqu'une silhouette encapuchonnée se dressa devant eux en leur interdisant le passage. C était la Mort et elle leur parla. Elle était furieuse d avoir été privée de trois victimes car, d habitude, les voyageurs se noyaient dans la rivière. Mais elle était rusée. Elle fit semblant de féliciter les trois frères pour leurs talents de magiciens et leur annonça que chacun d eux avait droit à une récompense pour s'être montré si habile à lui échapper.

Le plus âgé des frères, qui aimait les combats, lui demanda une baguette magique plus puissante que toutes les autres, une baguette qui garantirait toujours la victoire à son propriétaire, dans tous les duels qu il livrerait, une baguette digne d un sorcier qui avait vaincu la Mort! La Mort traversa alors le pont et s approcha d un sureau, sur la berge de la rivière. Elle fabriqua une baguette avec l une des branches et en fit don à l aîné. Le deuxième frère, qui était un homme arrogant, décida d humilier la Mort un peu plus et demanda qu elle lui donne le pouvoir de rappeler les morts à la vie. La Mort ramassa alors une pierre sur la rive et la donna au deuxième frère en lui disant que cette pierre aurait le pouvoir de ressusciter les morts. Elle demanda ensuite au plus jeune des trois frères ce qu il désirait. C était le plus jeune mais aussi le plus humble et le plus sage des trois, et la Mort ne lui inspirait pas confiance. Aussi demanda-t-il quelque chose qui lui permettrait de quitter cet endroit sans qu elle puisse le suivre. À contrecœur, la Mort lui tendit alors sa propre Cape d Invisibilité. Puis elle s écarta et autorisa les trois frères à poursuivre leur chemin, ce qu ils firent, s émerveillant de l aventure qu ils venaient de vivre et admirant les présents que la Mort leur avait offerts. Au bout d un certain temps, les trois frères se séparèrent, chacun se dirigeant vers sa propre destination. L aîné continua de voyager pendant plus d une semaine et arriva dans un lointain village. Il venait y chercher un sorcier avec lequel il avait eu une querelle. À présent, bien sûr, grâce à la Baguette de Sureau, il ne pouvait manquer de remporter le duel qui s ensuivit. Laissant son ennemi mort sur le sol, l aîné se rendit dans une auberge où il se vanta haut et fort de posséder la puissante baguette qu il avait arrachée à la Mort en personne, une baguette qui le rendait invincible, affirmait-il. Cette même nuit, un autre sorcier s approcha silencieusement du frère aîné qui dormait dans son lit, abruti par le vin. Le voleur s empara de la baguette et, pour faire bonne mesure, trancha la gorge du frère aîné.

Ainsi la Mort prit-elle le premier des trois frères. Pendant ce temps, le deuxième frère rentra chez lui où il vivait seul. Là, il sortit la pierre qui avait le pouvoir de ramener les morts et la tourna trois fois dans sa main. À son grand étonnement et pour sa plus grande joie, la silhouette de la jeune fille qu il avait un jour espéré épouser, avant qu elle ne meure prématurément, apparut aussitôt devant ses yeux. Mais elle restait silencieuse et froide, séparée de lui comme par un voile. Bien qu elle fût revenue parmi les vivants, elle n appartenait pas à leur monde et souffrait de ce retour. Alors, le deuxième frère, rendu fou par un désir sans espoir, finit par se tuer pour pouvoir enfin la rejoindre véritablement. Ainsi la Mort prit-elle le deuxième des trois frères. Pendant de nombreuses années, elle chercha le troisième frère et ne put jamais le retrouver. Ce fut seulement lorsqu il eut atteint un grand âge que le plus jeune des trois frères enleva sa Cape d Invisibilité et la donna à son fils. Puis il accueillit la mort comme une vieille amie qu il suivit avec joie et, tels des égaux, ils quittèrent ensemble cette vie.

C'est alors qu'elle aperçut une fille de son âge s'approcher. Elle ferma le livre.
a ton tour, @ Faustine Ruewen ! c'est peut être un peu long !

Faustine arriva dans la bibliothéque et parcourra la pièce du regard. Il était assez tôt, donc la pièce était presque déserte. La jeune Poufsouffle s'était réveillée de bonne heure ce matin, ce qui était plutôt rare ! Avant d'aller petit-déjeuner, elle avait voulu faire un tour par la bibliothéque, qui venait tout juste d'ouvrir.

Faustine s'avança et obliqua vers les rayonnages de livres. Quelle immense nombres de livres ! Impressionnants !
Elle en effleura quelques uns mais n'arriva pas à décider lequel elle prenait.
Après avoir errer un bon bout de temps entre les différentes étagères de livres, elle décida de ne rien prendre, et de plutôt commencer par ses devoirs. Qui sait, peut-être qu'elle réussira à se décider après ?

Les tables de la vaste pièce était toutes plus au moins toutes vides. Voulant rester concentrer, Faustine choisit de s'assoir à une table au fond, où une jeune fille était assise. Elle leva les yeux dans sa direction et lui accorda un petit sourire. Cette jeune fille abordait les couleurs vert et argent qui s'accordait à la perfection avec ses cheveux, aussi roux que Faustine. Ses grand yeux marrons était admiratifs et pétillants.
Ayant l'air très aimable, la première année vint donc s'assoir à ses cotées. Elle sortit son devoir de métamorphose, long comme le bras. Sortant sa plume, elle se résigna à se mettre au travail.
Concentrée, elle sursauta quand sa voisine de table ferma d'un coup sec le livre qu'elle lisait. Elle le posa sur le table ce qui permit à Faustine d'admirer sa magnifique couverture. Elle était d'un magnifique rouge, ornée d'arabesques dorées, qui donnait un côté très somptueux à l'ouvrage. Au centre, d'une écriture toute en rondeur était écrit : "les contes de Beadle le barde".
La Poufsouffle avait déjà entendu ce nom de livre quelque part, mais ne l'avez jamais lu.
Curieuse, Faustine lui demanda d'une petite voix :

"- Il est bien ce livre ? Ca raconte quoi ?"

Faustine prit conscience, seulement après , que c'était sans doute un livre très répandu chez les sorciers, et que le fait qu'elle ne le connaissait pas aller sans doute paraitre suspect à la jeune Serpentard…

Et voilà @Sarah Roll ! Désolé pour ce long retard...

Un jeune fille aussi rousse qu'elle s'asseoir à ma table. Elle sortit un devoir de métamorphose, puis Sarah la vit comptempler le livre qu'elle venait de poser. Tout à coup j'entendis une petite voix s'élever et poser une question qu'elle trouva ridicule :
"Il est bien ce livre ? Ça raconte quoi ?"
Sarah eu une pointe de dégout puis elle se rendit compte qu'elle s'adressait à une née moldue. Sa mère lui avait dit de s'en méfier, mais cette fille ne lui paraissait pas méchante, au contraire plutôt sympathique. Elle effacea toute trace de dégout et pris l'air le plus sympathique possible. Mais elle n'était pas douée pour ça, alors à la place de lui rendre son sourire la jeune poufsouffle rosit. Après quoi, Sarah décida d'engager la conversation :
"Bonjour, je m'appelle Sarah, et ce livre ce sont les Contes beadle le barde. C'est plusieurs histoires par exemple les trois frères qui rencontre la mort qui leur donnent des objets qui les rendent malheureux et... Oups, désolé je suis impossible à arrêter quand je commence... Je t'ai gâcher le livre..."
Sarah avait déjà honte... Ça avait fait pareil avec un autre personne... Mais là... Elle qui avait horreur qu'on lui gâche la surprise des livres, elle avait tout fait rater...
Puis elle se dit tans pis, après tout, ce n'était qu'une née moldue ridicule sans culture. Sarah attendit tout de même la réponse de sa camarade poufsouffle.

A toi @faustineruewen désolé pour le grossss retard

Faustine distingua une moue de dégoût et un regard noir de la part de la jeune fille. Faustine se mit à paniquer. Et si cette Serpentard n'aimait pas les Nées-Moldu ? Son amie, Grace, l'avait pourtant prévenu que bons nombres de gens n'appréciait guère les gens comme elle. Mais pourquoi donc ? La jeune fille n'y comprenait rien... En tout cas, cette fille avait l'air tout sauf gentille ce qui énerva Faustine. Elle n'avait rien fait ! C'était pathétique...
Avant que la rousse ne s'enflamme de plus belle, la jeune fille lui répondit justement :

"Bonjour, je m'appelle Sarah, et ce livre ce sont les Contes beadle le barde. C'est plusieurs histoires par exemple les trois frères qui rencontre la mort qui leur donnent des objets qui les rendent malheureux et... Oups, désolé je suis impossible à arrêter quand je commence... Je t'ai gâcher le livre..."

Déjà, elle avait essayé d'être plus gentille au début en se présentant.
Mais qu'elle lui gâche le livre ainsi ! Non, ça ne se faisait pas ! Faustine détestait en plus qu'on lui spoil un livre, alors qu'en plus, que ce soit cette fille du nom de Sarah, qui le faisait... Et cette dernière n'avait nullement l'impression de s'en soucier en plus. Pendant un instant, il avait paru à Faustine, qu'une pointe de regret se lisait dans ses yeux, mais maintenant Sarah n'avait guère l'air de s'en préoccuper. Peut-être était-ce Faustine qui était aveuglée par la colère, mais tout de même...
Elle lui jeta un regard de mépris avant de lui répondre d'une voix peu aimable :

- Tu n'aimes pas les Née-Moldu, je me trompe ?... Je ne t'ai rien fait pourtant, c'est...

Elle s'arrêta là. Son esprit aurait voulu en rajouter bien plus, tant elle était en colère. Mais elle ne pouvait se permettre. Être aussi désagréable avec les gens ne lui ressemblait pas et elle détestait le faire. Après elle savait qu'elle allait être envahie de culpabilité et de toute façon, elle n'aurait certainement pas osé...
Pour se détendre elle prit une profonde respiration, et ne pouvant s'en empêcher, leva tout de même les yeux au ciel et lança un regard noir à son interlocutrice...

Et voilà Sarah Roll ! Désolé pour cet affreux retard...