Nous y voilà. Le premier Septembre. Il est arrivé tellement vite cette année. J'ai l'impression que c'est hier sue j'ai quittée le château pour rentrer chez moi pendant ces deux mois. Je m'étais beaucoup amusée, c'est sur. J avais vu mes deux frères et nous nous étions bien amuser tous ensemble. Je n'arrêtais pas de me chamailler avec Pacey qui trouvait cela très drôle et Max avec sa patience d'ange devait nous calmer. Au final, ça se terminait toujours par des éclats de rire et des sourires. Nous avons aussi fêter l'anniversaire d'Eden, mon cousin qui vie chez nous. Je lui avais offert une dizaines de chocogrenouille qu'il a engloutit en dix minutes top chrono le temps que ma mère termine de préparer le gâteau. Quand elle était revenu, elle n'en croyait pas ses yeux et nous avons tous éclater de rire quand Max à dit que même les Niffleur volaient des Gallions moins vite. Ensuite tous est passer très vite je suis allée au chemin de traverse pour faire mes achats et j'ai rencontrer Eugène Harlow, un garçon très gentil avec lequel j'ai fait mes courses. Aujourd'hui, je me retrouve dans le Poudlard Express, loin de tous ces événements.
Assise près de la fenêtre dans un compartiment vide, je tiens mon menton dans ma main et pose mon coude sur le rebord de la fenêtre pour regarder le paysage. Toujours gris mais toujours différent.

La frénésie du quai 9^3/4 était autant synonyme de stress et de liberté pour Marine. Une liberté qu'elle attendait impatiemment depuis l'arrivée du Poudlard express à ce même quai il y a deux mois qui ont semblés durer une éternité pour la Gryffonne qui comme l'année précédente avait subie le temps passé seule avec sa mère dans leur petit appartement. Heureusement elle avait eu un jour de répit dans cet été affreux, le jour de la collecte de ses fournitures. Elle avait rencontrée une Serpentard mais surtout elle avait semé sa mère et avait passé une journée de répit qu'elle paya cher en corvée quand sa mère l'eu retrouvée. Elle n'avait pas apprécié la fuite de sa fille à travers la foule.

Cette fois Marine s'était retenue et avait lâcher un "Au revoir" rapide avant de se frayer un passage difficile dans la foule dense à cause de son énorme malle jusqu'à la porte du wagon le plus proche. À l'intérieur aussi le chaos du départ régnait, une valse de bagages et d'élèves excités se croisaient dans les couloir animés dans lequel se trouvait la fillette. Elle arriva tout de même à atteindre un compartiment dans lequel en entra sans poser de question sur le nombre de personne s'y trouvant trop découragée à l'idée de continuer à se battre dans le couloir pour avancer.

Ignorant toujours ce qui se trouvait autour d'elle Marine hissa sa malle sur le porte bagage au-dessus de la banquette sur laquelle elle s'étala une fois l'effort pour ranger sa valise terminé, en chuchotant pour elle même un "Enfin..." drôlement libérateur. Elle prit alors conscience du silence qui planait dans le compartiment. On entendait seulement les pas précipités des élèves dans le couloirs faisant cogner leurs bagages sur les cloisons et les parents hurlant au revoir à leurs enfant depuis le quai. Mais ce blanc du compartiment où se trouvait la brunette l'inquiétait, il lui rappelait trop celui de son premier voyage à bord de ce train et elle n'en avait pas gardé que de bons souvenirs. Mais soudain elle se souvint qu'elle n'avait même pas jeté un oeil aux passagers présents, peut-être était-elle seule, cela expliquerait le silence.

Mais non une tête rousse était présente et à bien y regarder, c'était Gabrielle, la meilleure amie de Marine, qu'elle chance ! La fillette se félicitait presque d'être tombée sur ce compartiment au hasard, au moins cette fois elle pourrait se créer de bons souvenirs à bord de ce train.
- Coucou ! Je suis trop contente d'être tombée par hasard sur le compartiment où te trouves ! Dit Marine toute excitée de revoir la Gryffonne, elle lui avait beaucoup manqué pendant les vacances.

@Lydia Martin pour la mention
À toi @Gabrielle Gray .

Je m'étais mise dans un compartiment vide car déjà, je ne voulais pas me retrouver avec trop de monde, ensuite, parce que j'aime beaucoup regarder le paysage en silence et enfin (et surtout) car je n'avais vu personne sur le quai que je connaissais et à qui proposer de s'assoir avec moi pour le voyage.
Je savais que le compartiment ne resterai pas vide éternellement - il n'y aurait jamais assez de place pour tous les élèves sinon - mais je profitais de ce moment de solitude au mieux. J'espérais juste que la ou les personnes avec qui je partagerai ce compartiment seraient sympa et qu'on allait discuter et bien s'amuser. Qu'il n'y ai pas un gros blanc gênant et étouffant. Dans ces moments là, on à juste envie de disparaitre de la surface de la Terre.
Soudain, quelqu'un ouvrit le compartiment et entra. Je tournai la tête, intriguer, et vu une petite brune que j'aurais reconnu entre mille. Marine, ma meilleure amie. Elle par contre, ne sembla pas m'avoir remarquer car elle ne me prêta aucune attention et rangea sa malle comme si le compartiment était vide. Je suis si discrète que ça ? Voir Marine faire ses petites affaires sans avoir remarquer qu'elle n'était pas seule me fit sourire, et je me retins de rire.
Au bout d'un moment, elle décida de regarder ce qui se trouvait dans le compartiment et quand elle me vit, son visage s'illumina.
- Coucou ! Je suis trop contente d'être tombée par hasard sur le compartiment où te trouves !
J'éclatai de rire et lui sautais ou cou.
-Sérieusement ? Tu ne m'avais pas vu avant ? Oh mon Dieu, c'est trop drôle !
J'étais tellement heureuse. Quel était le pourcentage de chance pour que ça arrive ?

Elle eu juste le temps de finir sa phrase qu'une chevelure rousse lui fonça sur elle en lui sautant au coup riant au éclats. Marine lui rendit son étreinte, des étoiles pleins les yeux de bonheur. Quand elles se relâchèrent Marine pu répondre aux questions de Gabrielle au bord du rire tellement elle trouvait la situation comique, comment ne pas remarquer sa meilleure amie alors qu'elle se trouvait sous ses yeux dans un compartiment désert.
- Mais non, je ne t'avais pas vu ! Ha, ha, j'en revient pas.
Remplit de joie elle s'écroula dans son siège en perdant l'équilibre quand le train s'ébranla au démarrage. Elle se décala sur sa banquette pour se retrouver face à la Gryffonne à côté de la fenêtre.

- Alors comment se sont passées tes vacances, mieux que pour moi j'espère ?
La fillette mit de l'ironie dans sa voix mais au fond elle était triste que ces vacances soient à chaque fois une vraie torture, pourtant elle réussi à enfouir ce sentiment dérangeant pour que Gabrielle n'en devine rien et pour que sa journée de rentrée reste sans aucune ombre au tableau.

Marine tourna la tête vers la fenêtre qui se révélait être une magnifique source de magie car les couleurs des paysages aussi magnifiques qu'uniques que le train rouge traversait changeaient à toute allure. Tout comme la météo qui nous montrait tous ses aspect durant le long voyage d'une journée que la timide était contente de partager avec Gabrielle. Fascinée par ce spectacle naturel qui s'offrait à elle elle n'oublie tout de même pas de tendre l'oreille pour écouter la réponse de sa meilleure amie dont elle espérait profitait elle aussi du spectacle.

Chez elle la brunette, elle n'avait pas autant de nature à observer. Seul le minuscule parc qui entre nous ne faisait aucune concurrence ni au domaine des Gray et encore moins au gigantesque parc de l'école, assurait le coin de verdure de l'endroit où vivait Marine. Peut-être que ce besoin de contact avec la nature venait de son manque d'exposition dans sa vie quotidienne ? Maintenant qu'elle avait goûté au parc de Poudlard ce besoin se faisait plus imposant et irrésistible mais impossible à satisfaire alors à toute opportunité se présentant elle sautait dessus même si là, le contact n'était qu'infime.

@Gabrielle Gray
Mots soulignés et en gras pour Au fil des mots

Marine me répondit que non, elle ne m'avait pas vu, ce qui me fit encore plus rire. Elle n'était pas très observatrice, mais c'était amusant. Le train démarra et Marine perdit l'équilibre et tomba heureusement sur son siège. Elle me demanda ensuite si mes vacances c'était mieux passer que les siennes. Je lui expliquais donc ma rencontre avec Eugène sur le chemin de traverse, l'anniversaire d'Eden, les disputes amical avec Pacey... bref, tout. Cela pris un petit peu de temps car j'avais beaucoup beaucoup de chose à a dire sur mes deux mois de vacances.
Je retournai la question à Marine. Je voyais bien que ces vacances c'était mal passé, c'était surtout une manière de lui demander si elle voulait en parler ou non. Si elle ne se sentait pas bien, je voulais faire de mon mieux pour l'aider.
En attendant, comme je voyais qu'elle observait le paysage, je fis de même. C'est vrai que voir le paysage défilé quand on est dans le mythique Poudlard Express, c'est toujours magique. On voit toute sorte de paysage, des plaines en passant par le superbe pont qui donne le vertige au plus sensible. Cette été, j'avais moi aussi bien profité du paysage qui s'offrait à moi depuis ma fenêtre et j'avais bien profité du terrain que mes parents possédaient pour courir et faire des batailles d'eau avec mes frères. Il faudrait maintenant attendre l'année prochaine pour refaire tout cela.

Gabrielle raconta alors ses vacances qui paraissait géniales. La brune l'écouta très attentivement avide du moindre détail, elle en avait des étoiles plein les yeux comme si elle venait de vivre par procuration de superbes vacances. Mais quand la question lui fut retournée elle fut frappée par la réalité de plein fouet. Mais Marine décida de ne raconter que les bons moments à la rousse pour ne pas gâcher la magie du voyage dans le Poudlard express. Elle lui fit donc part des nouveaux romans à l'histoire passionnante qu'elle avait pu découvrir au cours de ses "trop" nombreux allers retours à la bibliothèque d'après ce que décrétait sa mère.

Hélas la timide n'en avait que faire et n'avait pas réduit son nombre de trajet par semaine. Bien qu'elle ai sa petite chambre pour pouvoir dévorer les ouvrages elle aimait bien se rendre à la bibliothèque du coin qui proposait des espaces plus vastes avec des poufs pour s'installer à lire ou encore ce rendre au parc pour profiter du soleil. Et enfin elle lui fit part du jour où elle était allée acheter ses nouvelles fournitures :
- J'avais tellement hâte d'enfin passer une journée loin d'elle alors je me suis fondue dans la foule et j'ai passé une journée gé-niale. C'est là que j'ai fait la rencontre d'une élève de Serpentard, Lydia. On a passé la journée entière ensemble, on s'est beaucoup amusée. Mais quand ma mère m'a repéré je l'ai payé très cher en corvées.
Marine rit après sa dernière phrase comme si d'un coup de baguette magique ses vacances étaient devenues géniales.

Même si elle n'avait pas raconté toutes les tensions et le silence pesant qui avait planaient sur ses deux mois de vacances, elle se doutait que Gabrielle devait savoir que le tableau dépeint des vacances de la brunette n'était pas complet. Marine espérait juste la Gryffonne comprendrait que ce n'était pas un manque de confiance en elle qui poussait la timide à ne pas tout lui raconter mais bien le désir de ne pas gâcher le moment. Par contre elle se persuada de lui en faire part cette année mais loin des oreilles de jeunes apprentis sorciers trop curieux. Elle en était sûre, elle trouverais un moment !

Elle rejoignit sa meilleure amie dans la contemplation du paysage, puis elle souffla :
- C'est tout de même magnifique, tu trouves pas ? On a de la chance !

@Lydia Martin pour la mention
À toi @Gabrielle Gray
Mots soulignés et en gras pour Au fil des mots

Quand je retournai la question à Marine, elle se déconfit un peu. Mais elle me raconta quand même ses vacances, en prenant soin de choisir que les moments joyeux. De toute évidence, elle ne voulait pas encore parler de ce qui c'était vraiment passer pendant ses vacances, mais c'est son choix, je le respect, ça ne sert à rien de la forcer à cracher le morceau, tout ce que je risque de provoquer en faisant ça, c'est une dispute, et c'est bien la dernière chose que je veux qu'il arrive. Je tiens trop à Marine pour tout foutre en l'air.
Elle me parla des nouveaux romans qu'elle avait lu, et que sa mère, qui trouvait que sa fille passait trop de temps à la bibliothèque lui avait fait le reproche. Marine, tel la Gryfonne qu'elle ai, n'en avait pas grand chose à faire et n'avait pas changer ses habitudes pour autant. Mais quand sa mère avait découvert le pot aux roses, Marine l'avait payer cher en corvées. Je ne trouvais pas ça juste. Marine avait le droit de s'amuser, en plus, Mr Baylacq doit bien savoir que leurs relations sont tendus, alors ça ne sert à rien "d'enfermer" Marine, ça ne changera rien, pire même, ça empirera les choses. Mais bon, je ne pouvais pas y faire grand chose...
-Je suis désolée, j'espère que les corvées n'ont pas été trop dur.
A mon avis, pendant ses vacances, Marine avait connu beaucoup plus dur que de la vaisselle ou de la lessive à faire. Je m'inquiétai pour elle, mais je suis sûr qu'elle me dira tout quand elle sera prête.
Elle avait aussi rencontré une jeune fille de Serpentard nommée Lydia alors qu'elle faisait ses achats sur le chemin de traverse, au moins, elle avait dû bien s'amuser, ce qui me rassure un peu.
Marine fit une remarque sur la chance que nous avions, je lui répondis en souriant :
-Je suis bien d'accord !
Après un cours instant, je repris la parole.
-Il t'arrive parfois de penser à ce qu'aurait été ta vie sans Poudlard, sans la magie ?

- Disons que j'avais pas trop le choix mais au moins je n'avais plus de réflexion sur mes aller-retour incessant à la bibliothèque puisque j'avais moins de temps pour y aller.
Les corvées avaient étaient rendues supportable car munis de ses nouveaux manuels de cours et de ses derniers emprunts de livres, elle avait développé la capacité de lire tout en faisant la corvée demandée et en plus elle avait un aperçu plutôt important du programme. Mais elle était tout de même satisfaite d'être dans ce train signifiant qu'elle pourrait rester 10 mois loin de chez elle.

Toujours face au paysage, les yeux de Marine commençaient à fatiguer à force de tenter de le suivre, le train allait trop vite pour suivre cet arbre géant perdu au milieu d'une prairie là bas mais qu'importe, la Gryffonne ne pouvait rien y faire ses yeux faisaient ce qu'ils voulaient. Gabrielle approuva la remarque de la brunette avant de proposer une question un peu plus profonde tandis que la timide se frotta les yeux dans une tentative de les remettre de leur effort.
- Il t'arrive parfois de penser à ce qu'aurait été ta vie sans Poudlard, sans la magie ?

Au bas mot sa vie n'aurait rien à voir, en y pensant elle ne savait même pas dire si elle était contente de l'impact de la magie sur sa vie, en même temps elle avait détruit sa famille. Plus elle réfléchissait plus elle comprenait pourquoi elle ne s'était jamais poser cette question, tout simplement parce que ça lui brisait le cœur. Justement Marine était soulagée qu'il n'y ai que Gabrielle dans le compartiment car ses yeux s'emplirent de larmes prêtent à déborder. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne répondit pas à la question.
- Non, j, jamais. Et je crois que... j'aurais pas dû.

Retour du begayement mais cette fois pas par timidité mais bien pour retenir les larmes qui dévalèrent ses joues. La deuxième année ne fit plus aucun effort pour les retenir et les laissa affluer. La fillette avait très envie de se réfugier dans les bras de la rousse mais de peur de la gêner elle demanda la permission.
- Désolée, de gâcher le... trajet. Est-ce que tu, tu pourrais me faire un câlin ?
Bien sûr si la rouge et or refusait, elle ne lui en voudrait pas mais elle mourait d'envie de ce réconfort.
@Gabrielle Gray

Marine répondit qu'elle n'avait pas trop le choix, pour les corvées. Même si je trouve ça un peu, même vraiment limite de privée sa fille de profité de ses vacances, je ne pouvais pas y faire grand chose car déjà c'était du passer maintenant, mais également car je n'avais aucune autorité dans la famille de Marine. Je n'avais jamais rencontrée sa mère, mais vu comment elle me la décrit, elle n'a pas l'air d'être très gentille.
Quand je posai ma question, je vis les yeux de Marine se remplir de larmes. *merde merde et merde* qu'est ce que j'ai fait ? Je pensais pas que ma question allait provoquer cette réaction. J'ai vraiment l'art de mettre les pieds dan le plat, mais vraiment ! Marine me bafouilla une réponse mais je n'écoutais pas vraiment. J'étais plus inquiète par son état pour cela.
Marine s'excusa de gâcher le trajet. Je balayais ses excuses du revers de la main.
-Je pense que c'est plutôt à moi de m'excuser... Je suis désolée, je ne voulais pas te faire pleurer, je...
Zut, les larmes me montaient aussi au yeux, maintenant. Je m'en voulais tellement de l'avoir fait pleurer. Je devais être une horrible meilleure amie.
Mon amie me demanda si elle pouvais me faire un câlin. Je pense que nous en avions toutes les deux besoin, alors je hochai la tête et alla m'assoir à côté de Marine et la serra dans mes bras. Mes larmes avaient fini de couler, ce n'était que passager.
Je n'osai pas parler. Si Marine voulait en parler, je n'allais pas forcer.

Gabrielle se mit à pleurer aussi, la brunette était encore plus mal, elle qui ne voulait pas casser l'ambiance. Elle fut par contre réconfortée que la rousse vienne s'asseoir à côté d'elle. Aussitôt elle l'entoura de ses bras et la serra bien fort pour faire cesser ses larmes et celles de la rousse. La voix étranglée mais plus par les sanglots Marine s'excusa de nouveau même si les précédentes avaient été balayées par sa meilleure amie.
- Désolée. Je suis vraiment désolée. Non, c'est pas ta faute, tu pouvais pas savoir. C'est juste que cette lettre elle a complètement bouleverser ma vie... et pas que dans le bon sens du terme.

La deuxième année hésita à lâcher une bombe qui finirait de pulvériser la joie du trajet mais ne souhaitait pas laisser la Gryffonne sur ces dernières paroles surtout qu'elles se connaissaient depuis longtemps et qu'elle n'avait jamais vraiment fait part de sa situation familiale, disons tendue. Elle se décida pour un entre deux :
- Disons qu'en même temps de m'ouvrir un monde inédit et génial, cette lettre a déchiré ma famille...
Elle retenue ses larmes hors de question de pleurer encore.
- Je te dirais tout un jour, mais pas aujourd'hui, l'ambiance est déjà assez plombée.
Elle fit apparaître un semblant de sourire pour détendre un peu l'ambiance.

Même si la question faisait mal à Marine, elle était tout de même curieuse de ce qu'en pensait sa meilleure amie de son côté.
- Et toi, t'y as pensé à ta question ?
La fillette attendit impatiente la réponse de la rousse, elle espérait juste qu'elle ne prendrait pas mal le fait qu'elle repousse encore une fois sa confession. C'était un évènement tellement important dans la vie de la brunette qu'il lui avait créé un nouveau point faible que Gabrielle venait juste de toucher sans le vouloir bien sûr.
@Gabrielle Gray