La main de Saga attrapant la sienne confirma ses premières pensées. Evidemment, il était impossible qu’elle ait décidé de le laisser tomber. Le Gryffondor était tiraillé. D’une part, par le soulagement de sentir la chaleur de la paume de son amie, résolument rassurante. De l’autre, par le regret qu’il éprouvait d’avoir osé penser qu’elle aurait pu l’abandonner. Regret, non pas parce qu’il se sentait coupable de douter de la robustesse de leur amitié. Regret, parce qu’il doutait à ce moment de lui-même, et de l’intérêt qu’il pouvait représenter aux yeux de ses camarades. Alexander n’avait jamais eu besoin de chercher l’attention de qui que ce soit. Les gens le suivaient, naturellement. Cette position de meneur était pour lui d’une importance capitale. Et c’était cette remise en question momentanée de cette place qui l’avait contrarié.

Néanmoins, l’honnêteté caractéristique qu’il prêtait à Saga balaya intégralement ce qu’il restait de ses doutes. Les gestes et les intentions étaient d’une complexité écrasante pour le deuxième année. Les mots, eux, avaient du sens. Et il n’eut pas besoin de deviner ce que sa camarade pensait. Elle se contentait de le dire. Cependant, à l’évocation d’une potentielle danse, Alexander dégagea sa main de celle de la jeune fille. Certes, le bal, comme son nom l’indiquait, était tout à fait opportun pour s’engager dans cette activité. Néanmoins, lorsqu’il avait invité Saga, il n’avait pas pensé qu’elle voudrait réellement danser. J’aurais peut-être dû le préciser. Rapidement, le garçon considéra les différentes options qui s’adressaient à lui. Il frappa ses deux mains avec conviction.

« Bon, ben je crois qu’on va faire comme ça alors. » Il adressa à Marine un sourire aussi bienveillant qu’il le pouvait. « Et t’inquiète pas, si tu veux t’amuser, tu es avec les bonnes personnes ! Par contre, si jamais tu n’es pas à l’aise pour danser, on peut très bien faire autre chose. T’es pas obligée hein ! »

Je t’en conjure, Marine, dis-lui que tu ne veux pas danser ! Alexander espérait que la passe qu’il lui envoyait finirait par trouver le chemin des anneaux. S’il pouvait éviter de danser, il n’en serait que plus heureux. Et si par la même occasion, il pouvait éviter de décevoir Saga qui semblait avoir envie de démontrer ses talents de danseuse, il aurait réussi son coup. Le Gryffondor jeta un œil sur la table où les elfes avaient disposé friandises et boissons à volonté. La pointant du doigt, il ajouta :

« D’ailleurs, je sais pas vous, mais moi j’ai presque rien mangé ce soir, je vais aller me prendre un truc. Vous voulez quelque chose ? »

Alexander discute avec Marine et Saga. Il leur propose d'aller chercher quelque chose à grignoter.

@Marine Baylacq
@Saga Jones

Sous le regard de la nouvelle professeur, Aliosus se sentait très impressionné, il était en train de donner sa première impression et c'était en dehors d'un cours, il craignait vraiment de ne pas être à la hauteur et de renvoyer une mauvaise image qui lui collerait à la peau. Mais Il s'inquiéta sûrement plus que de raison, l'élégante femme se contenta de prendre acte de son avis avant de le renvoyer vers Yesenia pour pouvoir discuter avec ses collègues. Cela remit les idées en place au garçon, elle l'aurait peut être oublié dans quelques heures, il n'était pas si important, surtout sans son rôle de préfet.

Yesenia quant à elle semblait véritablement aux anges depuis que lui étaient poussées des fleurs magnifiques partout sur son costume, on aurait dit un poulpe-orchidée à présent, mais, curieusement cela lui allait comme un gant à son excentrique amie. Il se laissa emmené, de toute façon il ne comptait pas rester collé aux souliers des professeurs, sans la Tentacula Aventureuse dont il avait tenté de déjouer le plan d'accoster un professeur, il ne se serait pas aventuré près d'eux.

Quelle ne fut pas sa surprise quand d'un coup, malgré ses artifices et ses breloques, Yesenia lui parut tout à fait mature en lui tendant délicatement sa main. L'espace d'un instant - fort court, le naturel revenant aussi vite qu'un sombral en vol - elle avait été différente aux yeux du quatrième année. C'était avant qu'elle ne parle de se marcher sur les pieds.

«Miss Cooper, voyez-vous, je serai ravi de vous accorder la première danse de la soirée.»
Il saisit sa main d'un geste sûr, et plaça la seconde sur son épaule, en faisant son possible pour ne pas froisser un tentacule factice.

@Yesenia Cooper

Sautillant dans la foule, Zoey se dirigeait vers la table précédemment vue. Il fallait dire qu'elle n'avait que peu mangé et sa faim n'était guère partie. De plus, Halloween était bien là pour manger des friandises ou cela n'avait aucun intérêt. La musique était forte et nombreux étaient les élèves qui se trémoussaient de part et d'autre de la piste. Marcher entre les personnes était bien compliqué et elle s'appliquait à garder ses ailes de chauve-souris intactes. Il était hors de question que quelqu'un ne les abîmes ou elle deviendrait pire qu'un dragon crachant du feu. C'était qu'elle avait passé du temps dessus et elle en était donc très fière. Plus encore qu'un artisan face à de la faïence nouvellement crée.

Elle regrettait de n'avoir personne pour lui parler, ayant quitté Noémie et Selma peu avant mais n'avait pu résisté à l'appel du ventre.
Peut-être croiserait-elle quelqu'un sur la route ? C'était en tout cas ce qu'espérait la blonde et elle continua sa route, un grand sourire sur les lèvres. Elle n'était pas d'humeur à maugréer et la musique qui était vraiment très rythmé lui plaisait beaucoup. Si elle restait ainsi toute la soirée, sans doute qu'elle ne quitterait jamais la piste de danse ! La deuxième année n'avait pas vu Canelle encore de la soirée et ce n'était pas sur la route que son regard accrocha celui de sa meilleure amie. Peut-être l'apercevrait-elle plus tard dans la soirée. Il était bien compliqué de distinguer ses amis dans cette foule. Pas même une charrette n'aurait été visible lors de ce bal !

Arrivant enfin à la table, ses yeux se délectèrent de toutes les victuailles posés sur la table. Des boissons et sucreries n'attendait qu'elle et elle ne se gêna pas pour attraper un verre au liquide coloré ainsi qu'une poignée de bonbons qu'elle enfourna dans sa bouche. Voilà qui était mieux ! La fillette fit un tour sur elle-même afin de repérer une connaissance ou deux, mieux valait ne pas s'éloigner de la table, lorsqu'elle repéra Eridan. Aussitôt, la blonde sautilla de joie et s'approcha des étoiles dans les yeux d'émerveillement. Le garçon n'était guère déguisé mais au moins il était présent et elle était ravie de le voir.

Étant arrivé à son niveau, l'Aiglonne vit enfin qu'une fille lui parlait et se demanda qui était-ce puis elle sauta sur le cinquième année, jouant une nouvelle fois de ses ailes.

-Eridaaaaaan ! T'es là ! T'aimes bien mon costume ? C'est moi qui l'ai fait !

Puis elle se tourna vers l'autre fille, à demi maquillé d'une couleur orangé sur son visage. L'aiglonne lui fit un sourire puis lui posa une question, n'ayant guère l'habitude de salut cérémonieux :

-Salut ! t'es déguisé en quoi ?

La soirée était maintenant parfaite, des bonbons et une boisson dans ses mains, en compagnie d'Eridan, qu'elle considérait comme une sorte de grand frère. Elle n'aurait pas pu rêver mieux. Peut-être de croiser Will ?




@Eridan Lowell, @Megan Arrington j'espère que je dérange pas

Mots en gras et en bleu pour au fil des mots
Mots en gras pour au fil des mots

Le banquet venait de se terminer et les premières notes de musique envahissaient la Grande Salle pour signifier à tous que le bal commençait. Une certaine fébrilité s'emparait de la majeure partie des élèves qui s'élançaient avec leur partenaire sur la piste de danse. Pour sa part, Alexandre sui
vit Bella en tant de paraître calme mais il ressentait une véritable panique intérieure. Que se passerait-il s'il ne dansait pas bien comme il fallait ? Et s'il marchait sur les pieds de Bella ? Et s'il bousculait quelqu'un ? Avec sa chance, ce serait certainement un professeur. Peut-être même un qui se méfiait comme le professeur Priddy. Elle risquait de e soupçonner de l'avoir fait exprès. Quel enfer ! Pourquoi tout dans la vie devait-il être si complexe ?

Alexandre chercha des conseils auprès de Bella qui avait manifestement bien plus d'expérience que lui en la matière. Cela se révélait être un superbe euphémisme. Il ne comprit pas cette plaisanterie sur la troisième position. Qu'est-ce que c'était la troisième position ? Et il yn avait deux autres avant alors ? De quoi pouvait-il s'agir ?

Il essaya de se détendre en prenant une longue inspiration alors que Bella lui faisait une démonstration. Le garçon lui sourit doucement, touché de ses efforts pour le mettre en confiance et se décida àse lancer. Il se plaça face à sa cavalière et commença à répéter lentement ses gestes.

"Comme ça, ça va ?"

Tout en dansant, Bela lui posa une question et Alexandre secoua la tête.

"Non, j'ai jamais dansé. Avec personne."

@Belal King Désolé du retard, un peu occupé ce week-end avec les devoirs...

À l’évidence, l'aîné des professeurs était bien plus magnanime qu’il ne l’aurait pensé. Ce dernier orna le costume de la jeune Serpentard de diverses fleurs, ce qui amusa Enzo. Son collègue avait un côté papy gâteau insoupçonné, que même son air austère n’arrivait pas à dissimuler totalement.

Tandis que la Tentacula Vénéneuse s’éloignait - en compagnie de son chevalier vert - l’attention du quadragénaire se reporta sur l’étrange femme aux côtés d’Archibald.
Sa nomination au poste de Défense contre les Forces du Mal avait été toute aussi récente que lui, de ce qu’il avait cru comprendre.
Sa collègue s’était paré tout de rouge et de noir ce soir, et le mélange de ces deux couleurs lui allaient parfaitement. Elles lui donnaient un côté à la fois sombre et intriguant, certainement à l'origine du charisme qu’elle dégageait.

Il en était certain, il avait déjà vu cette femme en dehors de ce bal, et même en dehors du cadre professionnel à vrai dire. La curiosité étant plus forte que lui, il fit un pas en direction du duo tout en leur adressant un sourire courtois.
Bonsoir, tout va bien pour vous ? Enzo, professeur d’Astronomie. Même si vous le savez déjà j’imagine.

Après un rapide coup d’œil à son homologue masculin, il posa son regard sur la mystérieuse collègue à la robe baroque.
Sans un mot, il détailla son visage qu’il lui renvoyait cette drôle d’impression de déjà vu. Ses yeux bleus, perçants, et ses lèvres maquillées d’un rouge exagérément prononcé finirent par le convaincre de ce qu’il commençait à se douter au fond de lui.
*Sixtine…*

Cette ressemblance ne lui laissait que peu de doutes, et ce n’est non sans une certaine crainte qu’il chercha à voir dans son regard si elle aussi l’avait reconnu. Avant que la panique ne l’atteigne véritablement, il préféra prendre les choses en main et masqua tant bien que mal son malaise.

Alors, te voilà donc professeure, Sixtine. Drôles de retrouvailles, hein ?

Enzo est agréablement surpris par la bienveillance d’@Archibald Featherstone à l'égard de la jeune Serpentard au costume et s’approche de lui. Il en profite pour observer @Sixtine Valerion et se rend compte qu’il s’agit d’une ancienne connaissance. Troublé, il tente néanmoins de paraître sûr de lui.

L’homme qui avait mis du temps à se présenter avait finalement dénié parler. Il se présenta comme étant un certain Enzo, professeur d’astronomie. Sixtine n’avait pas d’affinités particulière avec cette matière qu’elle trouvait plutôt inutile. Mais, ce qui lui fit le plus bizarre ce fut d’entendre un prénom qui lui donnait des sueurs froides. Malgré tout, elle n’avait rien laissé paraître.

Un blanc s’installa dans la conversation pendant que le professeur d’astronomie était en train de regarder sa collègue. C’est seulement lorsqu’il s’adressa directement à Sixtine par son prénom qu’elle comprit qu’il s’agissait bien du Enzo qu’elle connaissait. Elle eu un vertige et du respirer profondément pour ne pas chuter. Comment osait il venir lui parler comme si, il s’était quitté en bon terme…

- Miss Valerion et non Sixtine pour toi.

Elle sentait une rage énorme monter en elle. Elle n’avait pas vu Enzo depuis bien longtemps et, ne pensait pas avoir à le revoir un jour, supporter son visage, sa voix. Tout de lui la rendait exécrable. Pendant un instant, elle regretta d’avoir accepté ce poste. Elle voulait fuir la situation, partir de très loin de cette école et surtout de cet homme qui lui avait brisé le cœur. Elle avait commencé à tourner les talons pour quitter les deux professeurs et s’enterrer dans son bureau lorsque, finalement, prise d’une envie frénétique de se venger, elle fit face à Enzo et lui balança son verre d’alcool à la figure. Ce n’était pourtant pas son genre de se laisser submerger par ses émotions.

- Goujat !

Puis, elle quitta Enzo et Archibald pour revenir aux côtés de la professeure de Runes, Joanne Taylor.

Sixtine est excédée par @Enzo Lorenti, elle lui balance son verre à la figure puis elle retourne vers @Joanne Taylor

J'arrive déguisé en cheerleaders, j'avais pris un des anciens uniformes, je l'avait recouvert de sang, m'était fait des cicatrices ... le déguisement était a ce qu'il me semblait plutôt bien fait !. Je regarde toutes les personnes présente mais ne voit personne de familier . je commence a avancer dans la salle, les décorations sont vraiment magnifiquement bien réalisé . J'étudie les déguisements de chacun et il y en a qui font vraiment froid dans le dos ! Je me dirige vers ou il y a de la nourriture car je commençais a avoir un petit creux !

Au bout de une demi-heure , je planque quelque bonbons sous ma manche et part de la grande salle, je m'ennuyais a mort , . Que puis je faire ? Je resta planter debout dans la grand hall en plein milieu , cherchant quelque chose a faire , ne sachant pas quoi faire , je décida de rentré dans la salle commune, j'enleva mes ballerine noir qui me faisait mal au pieds et commença a monter les escaliers. J'étais un peu déçu de remonter si tôt , alors que tous le monde était en train de s'amuser mais bon cella ne servirait a rien de rester a s'empiffrer de bonbons pendant 3h en s'ennuyant. Mais après tout peut être que en salle commune quelqu'un sera présent car elle s'ennuyais aussi ….

La tirade sur les potions de ma collègue me fit sourire. Elle n’avait nullement tort sur cela, il est vrai que si nous avions chacun l’une des plus grandes références futures, cela serait particulièrement plaisant ; ils nous indiqueraient certainement notre réussite dans le parcours enseignant. Alors quand elle se mit à rire, je ne pus me permettre de ne pas la suivre. Cette ambiance avait bien besoin de joie, car de ce dont j’eus appris sur le dernier évènement du genre, je ne voudrais pas paraître pour un ignorant. Il fallait le dire : pour sauver un maximum d’élèves, il devait maîtriser la moindre histoire de l’école.

Je me servis une simple fourchette de repas avant d’entendre la voix de ma consœur reprendre la parole par rapport au monde moldu. Rapidement, une mention sur sa condition me fit bien comprendre que je ne connaissais pas réellement mes pairs ; tout comme moi, Magdaléna était une née-moldue. Néanmoins, je détenais, dès cet instant, l’information d’une excellente conversation pour mieux apprendre à être au fait de ma camarade. Cela était une très bonne chose, après tout, nous vivons tous les deux dans les deux mondes ou — du moins — y avons existé.

— Je le conçois, ne t’en fais pas avec cela et c’est très compréhensible, mes deux sœurs ainées sont-elles aussi moldues. Donc leurs ouvertures d’esprit m’ont aidé à accepter ma condition magique à chaque fois que je revenais de Poudlard. Et bien assurément, leurs messages chaque semaine me permettent de valider le fait que le milieu moldu continue d’évoluer d’une façon toujours bien particulière. Même si ces derniers temps, je reçois plus d’informations sur Caelia, ma nièce née récemment, que de véritables nouvelles de notre monde d’émergence.

Cela n’avait peut-être guère d’importance, mais je voulais en faire part malgré tout. Elle, aussi, serait très certainement moldue, mais j’avais tout de même de l’attachement pour elle sans l’avoir vue.
Cependant, discuter de telles choses durant le repas — bien que succulent — me firent perdre la notion du moment, même que je n’eus pas le temps de comprendre ; le bal venait de débuter avec l’arrivée des « Cinq Idiots ». Dans tous les cas, la soirée commençait d’une très belle manière si on ne comptait pas l’excellent banquet qui eut lieu quelques instants auparavant.
La musique battait son plein, mais je ne me sentais guère comme une âme prête à danser. La danse et moi-même semblions être encore de très anciens amis : même si l’espérance d’un pareil moment pourrait rapidement faire irruption au sein de mon esprit.

@Magdaléna Xarinez

Comment voyait-il le monde ? Qu'est-ce que ça voulait dire déjà ? Sa vision du monde était celle qu'il avait sous les yeux, rien de plus rien de moins. Personne ne demandait quelle était la vision de quelqu'un d'une table pour cette exacte raison : c'était une table, aussi simple que ça. Pourtant il devait quand même lui répondre, du coup Isaac préféra plus ou moins dévier la conversation :

"La couleur des yeux est uniquement due à la mélanine, ça n'interfère donc pas avec la vision du monde de quelqu'un, c'est pas comme des vitraux ou quoi." Il ajouta pour ne pas passer pour le stupide de service qui ne connaissait pas le concept d'une métaphore. "Enfin je sais que c'était au sens figuré, m'enfin quand même."

Ça y est, il devait être catégorisé comme le rabat joie qui ne peut pas suivre une discussion sans sauter sur le moindre détail faux. Mais aussi les questions n'avaient aucun sens, comment voulaient-elles qu'il fasse ? Le serpentard avait tellement envie de rentrer chez lui, il n'avait plus faim, il aurait pas dû venir, quel échec.

Après sa demi-réponse les deux filles se mirent à continuer la discussion entre elles et à le laisser tranquille. Enfin. Il vit le plat laisser sa place au dessert mais il avait assez mangé et en plus ça avait l'air d'avoir aucun goût qualifiable de bon. Il passa le reste du temps à jouer avec un bout de serviette machinalement en pensant à rien.

Puis lorsque tout le monde eut l'air d'avoir finit leur dessert, la directrice ce leva et annonça l'heure du bal. Ils se levèrent, les tables disparurent, et Isaac se retrouva debout sans savoir que faire. Le groupe de musique qui avait été annoncé sur les affiches se mit à jouer, il s'attendait à une musique affreuse de valse ou d'il ne savait trop mais en réalité c'était étonnement excellent en fait.

Profitant du fait que les personnes avec qui le serpentard discutait étaient occupées par le changement soudain, il alla se trouver un mur contre lequel s'appuyer pour observer le reste du bal. Il aurait pu partir, mais il ne le fit pas, peut-être qu'il lui restait une vague trace d'un lui plus jeune qui aurait espéré que quelqu'un lui propose soudainement une dance comme dans ces romans à l'eau de rose. Ce jeune lui avait pourtant tellement été étouffé qu'il doutait rester plus longtemps qu'une dizaine de secondes après que la dernière trace d’intérêt disparaisse de son esprit.

Kate commençait à trouver le temps long car ça faisait presque une heure qu'elle patientait dans la fille d'attente. La jeune fille observa son costume, sa robe noir descendait jusqu'à ses cheville et une petite citrouille avait été cousu au sur sa manche. un grand balais était attaché derrière son dos et elle portait un long chapeau noir également. elle avait rassembler ses cheveux en une tresse qui lui descendait jusqu'aux épaules.

Quand enfin elle réussi à pénétrer dans la grande salle elle observa longuement la décoration: de petites chauves-souris virevoltait autour des élèves, des citrouilles remplaçaient les bougies habituels et de jolies guirlandes noir et orange était accrochées dans la salle.

Kate se dirigea à la table ou le banquais avait lieu et s'assit à la chaise la plus éloigné des élèves alentours. Même si ça faisait presque trois mois qu'elle avait intégré cette école, Kate n'avait aucun amis et elle espérait que se bal lui donnerait l'occasion de s'en faire. Elle débuta le repas avec une drôle de salade qui (vu sa couleur) était à la citrouilles ou au potirons. Kate en piqua un petit morceau avec sa fourchette et l'avala d'un trait s'attendant à un gout qui ne lui plairait pas. A sa grande surprise, elle réussi à terminer toute la salade. elle s'attaqua ensuite au plat, qui lui aussi avait une couleur étrange. Elle gouta ensuite les tagliatelles à la citrouille avec un peut de jambon de Parme. Et fini le plat également.

La jeune fille ne pouvait plus rien avaler donc elle se leva, rangea sa chaise et se dirigea vers un mur isolé. Soudain, Kate percuta une élève de plein fouet et elle tomba à terre. Se relevant péniblement, elle se frotta la tête et s'empressa de s'excuser.

- Pardon, je suis vraiment désolé, tu va bien ?

@Mathilde Weiner, @Agatha Mensis