Bonsoir,

Il me semble qu'il reste une place alors je souhaiterais m'inscrire s'il vous plait !

Edit : Bon, il n'y a plus de place

@Pauline Jackson, @Ewen Agnew, @Élina Clarke, @Isaac Powell, @Eugène Harlow, @Lily-Rose Holland, @Aliosus Nerrah, @Felicia Luke, @Brett Carter et @Oxy Wright, Sarah vous accompagne jusqu'à la salle de classe. Elle sort elle-même sa baguette et se met rapidement au travail. La soixantaine de boîtes à cliquetis est répartie sur les tables à l'avant de la salle. A gauche du bureau se trouve une caisse pour déposer les boîtes fonctionnelles, à droite une boîte pour celles qui demandent une réparation. A vous de jouer !

Vous avez 48h pour poster.

@James Holling, ce sera pour une prochaine fois mais vous pouvez toujours apporter vos gâteaux pour encourager les troupes. Sarah en garde un excellent souvenir.

C'est une vision d'horreur pour le Serpentard que de voir ces dizaines de boîtes à cliquetis étalées devant lui. Cet exercice de deuxième année lui avait pris des semaines et des dizaines, non, sans doutes des centaines de sort d'ouverture des serrures, ah ça pour le connaître, il le connaissait...

Pourtant lorsque miss Priddy avait demandé de l'aide afin de faire le tri dans toutes ces boîtes, il s'était porté volontaire, c'était une formidable opportunité de voir l'évolution de ses talents de sortilèges deux ans plus tard, une sorte d'autoévaluation. Restait que, visuellement, c'était très impressionnant. Miss Priddy avait eu raison de faire appel à de nombreuses personnes, Aliosus se dit aussi que ça aurait fait une formidable tache de retenue.

Il ne voulu pas perdre de temps et s'installa pour venir à bout de la première série de serrures façon poupées russes.
A nous deux, se dit-il en sortant sa baguette.

Cherchant un moyen de m'occuper en ce début de week-end j'avais sauté sans hésitation sur la possibilité d'aider la professeure de sortilèges. C'était en plus l'occasion de réviser ma maîtrise du sort de déverrouillage. J'étais donc arrivée d'humeur neutre et après avoir poliment saluer la professeure je m'étais mise au travail.

Concentration, visualisation, gestuelle, prononciation et émotion. Les 5 étapes tournaient dans ma tête telle la ritournelle connue par cœur qu'elles étaient. Je suis prête à en découdre avec les serrures, bien que je me sente un peu vide. Je quand même venue pour faire de mon mieux ! Espérons simplement que ma baguette me suive et ne me fasse pas l'un de ses caprices... Je suis toujours incertaine de pourquoi celle-ci décide d'obéir de façon aussi aléatoire.

Bref... Inspiration, expiration. C'est parti pour de l'ouverture de serrure en série, enfin j'espère...

Des boites à cliquetis partout. VRAIMENT partout. La professeure n'avait pas attendue qu'elle commençait déjà à les ranger. Ewen décidait de faire de même, tout comme ses camarades. Les boites servaient d'entrainement pour les deuxièmes années et l'utilisation du sortilège Alohomora. Un sortilège qui devenait extrêmement facile à utiliser au fur et à mesure que les années s'écoulaient.

L'objectif étant de les tester toutes, le brun décida de se placer face à une des boites et se concentra en faisant le vide. En excluant ce qui pouvait le gêner. Et répétant machinalement les étapes que les professeurs leur répétaient : il lança sans plus attendre le sortilège pour aider Miss Priddy.

Pauline avait décidé de venir aider sa professeure de sortilège pour tester les serrures des différentes (et nombreuses) boîtes devant elle. Elle suivit la professeure avec les autres élèves jusqu'à la salle où se trouvaient les boîtes et vit alors devant elle un très grand nombre de boite. Ça allait prendre du temps... Mais bon après ils étaient nombreux.

Pauline s'approcha d'une boîte et se répétait dans sa tête les étapes du sort. Cela faisait un petit moment qu'elle n'avait pas pratiqué ce sortilège mais elle s'en souvenait bien. Elle passa ainsi les différentes étapes du sort dans sa tête avant de les confirmer une par une. C'est bon ! Elle pouvait commencer ! Pauline se concentra bien et se mit au travail, essayant de faire abstraction du monde autour d'elle et de se concentrer que sur ses boîtes à déverrouiller.

La jeune Gryffondor avait décidé de s'octroyer un moment de pause dans son travail. Elle avait bien avancé le matin donc elle ferait ce qu'elle voudrait de son après-midi ! Il fallait savoir ménager ses effort pour être performant.

Quand Miss Priddy passa la porte de la grande salle alors qu'elle allait en sortir, elle se porta volontaire pour l'aider. Elle n'avait pas retravaillé ce sortilège depuis qu'elle avait eu sa propre boite à cliquetis à ouvrir. Elle se demandait qui des serrures ou d'elle-même serait le plus rouillé.

Elle accompagna donc les autres volontaires et eut un léger moment de panique à la vue de la multitude de boites.
*Ah oui quand même !
Après un moment de doute elle alla s'installer à la même table qu'@Aliosus Nerrah, son ancien collègue. Ils pourraient peut-être se passer les boites qu'ils n'arriveraient pas à ouvrir avant de les abandonner lâchement dans la boite "à réparer" plutôt que s'acharner au risque de perdre du temps.
A deux elle était sûre qu'ils y arriveraient très bien !

Eugène était sur le point de pénétrer dans la Grande salle quand il croisa madame Priddy. Cette dernière, au pied de la porte, cherchait une dizaine de volontaires pour tester les serrures des boites à cliquetis. Eugène se proposa aussitôt, ainsi que d'autres et tous suivirent madame Priddy à travers les couloirs jusqu'à atteindre la salle de classe.

Une fois sur place, Eugène avisa les différentes boites, avant de se mettre au travail. Il était plutôt confiant : l'année dernière, il avait saigné cet exercice afin de le maîtriser, car mine de rien, ouvrir n'importe quelle serrure à l'aide d'un sortilège était très utile. Il attrapa une première boite et se concentra sans plus attendre, effectua un trie dans ses pensées et ses sentiments, avant de visualiser l'effet qu'aura le sortilège sur le mécanisme des serrures. Il était maintenant prêt à ouvrir une à une ses boites. Il leva sa baguette, effectua le bon mouvement et prononça une première fois "Alohomora".

Isaac sortait tout juste de cours et pensait aller se relaxer dans la salle commune ou au parc quand il vit Miss Priddy. Ça faisait un temps maintenant qu'il voulait lui poser des questions à propos de la salle sur demande mais la situation n'était jamais propice. Cette fois-ci cependant il était motivé, il allait les lui poser ces questions.

Ce qu'il n'avait pas prévu c'est qu'elle se mettrait à chercher des volontaires pour ouvrir des banales boîtes à cliquetis. Il n'avait que très peu envie de le faire mais ce serait l'occasion de lui poser des questions à la fin, et elle serait de meilleure disposition qu'après une journée de cours éreintants avec des élèves insupportables probablement.

Le serpentard prit une des boîtes et partit se mettre dans un coin pour être tranquille. Il se sentait maintenant parfaitement à l'aise pour lancer des sorts, il savait vider son esprit, ne plus avoir peur de l'échec, il savait réaliser la gestuelle de manière fluide, il savait réciter la formule d'une voix assurée. C'est d'ailleurs exactement ce qu'il fit en espérant qu'il avait raison de se sentir sur de lui.

C'est sans enthousiasme que je quitte la Grande salle après déjeuner pour m'atteler à la fastidieuse rédaction d'un devoir ; le beau temps du dehors me tente bien plus que cet enferment nécessaire. Je traîne un peu des pieds à côté d'Éli, mais mon attention se porte vite sur un petit attroupement formé près de la porte, au cœur duquel se situe la prof de Sortilèges. Je saisis quelques-unes de ses paroles au vol, suffisamment en tout cas pour comprendre que Miss Priddy a besoin d'aide, non pour gonfler des citrouilles aujourd'hui, mais pour vérifier l'état de ses précieuses boîtes verrouillées — celles sur lesquelles je me suis acharnée durant de longues heures il y a longtemps. Cependant, je maîtrise parfaitement Alohomora maintenant, et aller m'exercer sur ces antiquités me parait être une perspective plus attrayante que passer l'après-midi plongée dans des manuels poussiéreux.

— On y va ?, demandé-je à Élina, avant de suivre la professeure jusqu'à la salle de classe.

Après un instant d'ébahissement devant les immenses piles de boîtes abîmées, je me dirige vers une table non loin de la fenêtre ; je tire ma baguette, pointe une serrure et effectue le petit s retourné en visualisant les engrenages se mettre en branle, puis je prononce la formule « Alohomora ! », une première fois.