Après avoir été brièvement auscultée par Rafael Mason sur le stade de Quidditch, Ennis avait été transportée jusqu'à l'infirmerie par ce dernier et le bibliothécaire de l'école. Chacun des jeunes avait été séparé des autres, d'une part par plusieurs lits d'intervalle et d'autre part par des paravents. C'était peut être mieux. Elle ne savait pas combien de joueurs de l'équipe des Hel's avaient été admis en même temps qu'elle et elle n'avait pas envie de les affronter maintenant.

En position semie-assise sur son lit en ce samedi après-midi, il était environ seize heures, elle avait tout juste touché au plateau repas qui lui avait été apporté vers quatorze heures par un jeune elfe. La douleur de son épaule était partie puisque sa clavicule avait été ressoudée - quoique l'hématome n'était pas sans lui signifier qu'il valait mieux laisser son articulation au repos - mais elle était vertement en colère contre celui de ses coéquipier qui avait ouvert le bal à la violence physique, et qui, au passage avait aggravée la fracture dont elle souffrait initialement. S'il se présentait, elle ne savait pas comment elle réagirait. Mal au mieux.

Dans une tenue prêtée par l'école pour remplacer celle de Quidditch humide et boueuse, l'adolescente aux cheveux châtains rêvait d'une vraie et bonne douche. Mais elle allait être coincée encore plusieurs heures sans réelle occupation. Et rien ne disait qu'on la laisserait sortir avant le lendemain matin. Elle ramena ses genoux contre sa poitrine et les entourant de son bras valide, l'autre était en écharpe. Elle posa sa joue dessus et ferma les yeux en essayant de ne pas trop cogiter. Mais ce n'était pas une mince affaire. Ses parents allaient-ils être mis au courant? Owen avait-il déjà envoyer l'information à Dom en sachant pertinemment qu'elle ne le ferait pas d'elle même. Comment allait-elle faire face à son équipe? D'ailleurs comment allaient-ils? Elle ne savait pas vraiment comment les événements avaient tournés après sa perte de connaissance.


RP libre à toute personne qui pourraient légitimement s'inquiéter de la santé d'Ennis. Contactez moi par hibou avant, il est possible que plusieurs personnes se succèdent mais il faut s'organiser avant, pour éviter trop de posts et d'attentes. Si vous souhaitez passer voir Ennis mais que vous n'avez pas l'envie ou la possibilité de RP, on peut discuter des détails par hibou et moi écrire en solo par la suite.

Elle ne resta pas bien longtemps dans cette position. Elle entendit des pas dans l'infirmerie. Pas qu'elle ait relevé la tête de suite mais comme ils s'étaient approchés puis qu'elle avait entendu la voix de son directeur de maison demander la permission de passer le rideau qui la tenait à l'écart de tous les autres:

- "Ennis? T'es là? Je peux venir deux minutes?" C'est à cet instant qu'elle releva la tête, mais, garda son bras valide autour de ses jambes. Une fois l'autorisation donnée au jeune homme, celui-ci contourna la séparation de fortune et vint s'asseoir au pied du lit. Ennis ne manqua pas son regard pour le plateau repas à peine touché mais il ne dit rien à ce propos. À la place, il lui tendit avec un sourire un paquet en kraft. Ennis le remercia en l'attrapant de sa main gauche et disserna à l'intérieur quelques chocogrenouilles.

- "Comment tu te sens? Est ce que tu as encore mal? Tu m'as vachement fait flipper sur le terrain tout à l'heure..." S'enquit le métisse alors qu'elle tentait de déposer les friandises sur la table de nuit... Pourquoi était-ce toujours à droite? L'irlandaise soupira et les déposa finalement servant ses pieds. Et alors qu'elle parlait, Samy, qu'elle n'appelait plus ainsi depuis sa nomination en temps que professeur, se leva pour les mettre là où elle le désirait puis reprit sa place:

- "J'avais déjà mal à l'épaule en rejoignant le banc, j'ai pris deux cognard dessus. Je pensais pas que c'était grave. Mais quand... quand j'ai voulu empêcher Luben," Sa voix s'était blanchie en disant son nom, "de répondre aux provocations des Hel's - C'est n'importe quoi leur histoire de magie pour leur faire lâcher les souafles! - il a voulu se dégagé et ma donné un coup dedans." Elle grimaça au souvenir de la douleur. "C'est ça qui m'a fait perdre connaissance." Elle pinça les lèvres: "Ça devait déjà être cassé mais ça doit l'avoir aggravé. C'est ce qu'a dit le professeur Mason. Et l'infirmière qui a ressoudé le tout aussi." La préfète contracta sa mâchoire inférieure, elle prenait vraiment sur elle pour ne pas exploser et exprimer à quel point elle était en colère que ses coéquipiers n'ait écouté aucun des trois appels à se séparer. Celui des deux capitaines et le sien, préférant s'offusquer des accusations foireuses d'utilisation de magie. "Ça valait le coup de leur demander de se séparer." Marmonna-t-elle finalement en détournant le regard. Elle ne put donc pas voir le hochement de tête de son tres jeune Directeur de Maison qui semblait simplement prendre note intérieure de ce qu'elle pouvait bien lui raconter. Et d'ailleurs, celui-ci réorienta la discussion sur son épaule plutôt que sur le débordement d'une partie de son équipe. Elle n'était même pas capable de dire qui était incriminé si ce n'était celui qu'elle avait tenté de ceinturer.

- "Et du coup... Elle est réparé, ton épaule, ou tu dois encore rester là un petit bout de temps?" S'enquit le professeur sur le même ton qu'il employait quand il assistait Hagrid... Ça la perturbait un peu mais elle s'y était faite.

- "Oui, la fracture multiple est réduite et ressoudée, mais il faudra que l'hématome se résorbe seul. Il n'a pas dit quand je pourrais sortir ou pas." Et ça, Ennis n'aimait pas trop l'idée de rester ici trop longtemps.

- "D'accord... Et, niveau travail, tu as ce qu'il te faut ou tu as besoin que je trouve un élève pour t'apporter tes cours?" L'adolescente hocha la tête. Elle avait déjà demandé à Clément qui était passé et comptait faire de même avec Jeffrey qui partageaient des cours avec elle en raison de sa filière.

- "J'ai demandé à mon meilleur ami Clément de prendre mes cours si besoin. Ceux qu'on a en commun. Et je pense que Jeffrey - mon petit-ami - voudra bien me donner ceux qui manqueront. Par contre ils n'ont pas autant d'histoire ou d'astronomie que moi et pas de runes du tout." Mais tout ça restait dans l'hypothèse qu'elle soit encore là d'ici lundi et, par chance dans son malheur, elle était gauchère.

- "Et si je peux être dehors pour reprendre lundi, il y aura juste en pratique de certaines matières que j'aurais peut être des difficultés. L'hématome va mettre quelque jour à partir et va restreindre mes mouvements." La châtain haussa son unique épaule en mesure de le faire. Ce n'était pas quelques jours sans brasser une potion ou pratiquer la magie face à face avec quelqu'un qui allait l'handicaper à ce point là.

- "Tu sais que si ça s'aggrave, ou qu'il y a quoi que ce soit, tu peux venir m'en parler, hein?" Ponctua le jeune adulte avec bienveillance avant de prendre congé non sans ajouter avec un ton mi-sérieux mi-amusé: "Mais pour sorti d'ici, il va falloir manger un peu plus que ça." Ennis lui servit une moue qui valait sourire d'excuse et le métisse s'éclipsa. Laissant de nouveau la jeune fille seule.


Vu avec Samuel Falkner

Peu de temps après le départ de son jeune directeur de maison, une nouvelle voix demanda s'il était possible de venir la voir. Cette fois-ci, un sourire se dessina sur son visage et accueilli le nouvel arrivant. Jeffrey aurait été celui qu'elle aurait voulu voir dès le départ. Mais elle ne savait pas s'il avait assisté à la scène de son évanouissement ni quand il aurait pu être mis au courant de sa présence à l'infirmerie. Et puis, elle savait que les adultes avaient fait barrage à l'entrée jusqu'à plus de 15h. Puis n'avait autorisé les personnes à venir qu'au compte goutte. Clément n'avait eu le droit de rester que trente petites minutes. Elle espérait que le brun puisse rester plus longtemps. Ce dernier venait de s'approcher pour l'embrasser et lui demander comment ça allait avant de s'asseoir sur le lit. Ennis se décala pour lui permettre de se mettre à côté d'elle et se blottir dans ses bras. Elle en avait besoin. Elle put ainsi lui dire qu'elle n'allait pas si mal au regard de la complexité avec laquelle sa clavicule s'était brisée, que l'os était maintenant bien résoudre mais qu'il faudrait quelques jours de repos et d'application d'une baume pour que l'hématome se résorbe totalement. Mais, comme sa voix était marquée d'un peu de colère, sa réponse avait entrainé une nouvelle question, que c'était il passé? L'irlandaise s'était alors expliqué. Le cognard à deux reprises, cela faisait partie du jeu bien sûr, mais sans eux, pas de fracture. La fin du match, les accusations d'Alienor - comment Ennis aurait-elle pu utiliser de magie sur son balai ? - les échanges verbaux qui étaient montés en intensité, Eileen, Leo et elle qui demandaient à partir chacun de son côté... Et Alexander... Déçue et en colère, Ennis en avait eu les larmes aux yeux après avoir exprimé le tout à Jeffrey. Pas grand chose, juste quelques perles salées qui glissèrent sur ses joues. Son jeune coéquipiers avait sauté en direction d'Alystair, elle avait voulu le retenir et avait pris un coup supplémentaire dans l'épaule, bruyant un peu plus l'os déjà bien endommagé. Jeffrey n'avait rien dit de particulier, il lui avait juste assuré son soutien par quelques gestes, certainement car il ne voulait pas prenre parti entre sa petite-amie et ses anciens coéquipiers. Elle avait juste eu besoin qu'il l'écoute déverser un peu de colère contre les différents protagonistes de cette catastrophe en fin de match - catastrophe dont elle ne connaissait toujours pas la réelle ampleur. Elle était ensuite restée lovée dans ses bras jusqu'à ce que quelqu'un vienne lui signifier qu'il était temps de partir. Et malgré la demande de l'adolescente, il n'est d'autre choix que de la laisser, lui assurant qu'il reviendrait dès qu'il le pourrait. Elle était de nouveau seule dans son petit espace de l'infirmerie. Ennis soupira, elle détestait cette immobilité.

Vu avec Jeffrey Hunter

J'avais dis dans la journée... Je suis dans les temps Plus sérieusement, désolée pour le retard.

Heureusement, la gardienne nattendt pas seule très longtemps. A peine son petit-ami sortit qu'il était remplacé par une autre tête bien connue, Britanny. Sa coéquipière venait prendre de ses nouvelles:

- "Clavicule en morceaux. L'infirmière a parlé de miettes même." Ennis eut un sourire contrit. "Les deux cognards ont fait la majorité des dégâts, le coup que j'ai reçu a déplacé cette partie là." Elle désigna de son autre main la portion d'os la plus proche de son cou. "Ça a comme enfoncé un peu plus mon os dans la chair. Je crois. J'ai pas tout compris." Spécifia la plus âgée des deux joueuses. Il faut dire qu'en arrivant, soutenue par Rafael Mason et Owen, la douleur était difficilement supportable. Elle avait entendu le professeur de vol et l'infirmière discuter, donner des noms techniques à ce qu'elle avait. Elle, elle avait lutté pour rester consciente. La descente définitive de l'adrénaline avait décuplé les messages nocicepteurs en provenance de sa blessure. Seule allongée entre les deux soignants - le bibliothécaire avait été écarté, ils n'avait officiellement aucun lien qui puisse justifier sa présence auprès d'elle a ce moment là - avaient fini par lui donner une potion qui termina de la mettre dans les vapes. Elle n'avait plus de souvenir jusqu'à son réveil deux grosses heures plus tard où Ruby Lloyd vint lui apporter à manger et lui expliquer ce qu'elle avait eu, rapportant au passage quelques mots de son ancien collègue. Ennis baissa les yeux et en les relevant constata la gêne de Britanny. En dehors du Quiditch elle se côtoyaient peu. Elles s'entendait plutôt bien à l'entraînement mais en dehors elles avaient leurs propres cercles d'amis.

- "Si quelqu'un peut me ramener une tenue pour sortir. Je devrais laisser celle là ici. Pas que ça me gêne en soit mais, je vais pas remettre ma tenue de Quidditch..." Trempée et boueuse. Et pas pratique avec un bras en écharpe. "J'ai des vêtements dans mon sac de Quidditch. Avec ma baguette aussi, elle est dedans." Même si elle ne pourrait pas s'en servir, avoir son catalyseur magique avait ce côté rassurant, de pouvoir se défendre si elle en ressentait le besoin.

La rousse dit ensuite quelque chose qui fit rire Ennis. Les friandises. C'était vrai que leur directeur de maison, venu prendre des nouvelles lui avait offert un sacré paquet de chocogrenouilles qu'elle avait entamé avec Jeffrey quelques instants plus tôt.

- "T'en fais pas pour ça. J'ai assez de chocogrenouilles là dedans pour tenir une semaine. Et normalement je sors demain. Ça devrait prendre encore quelques jours à guérir mais comme les os sont bien réparés, je devrais pouvoir bouger presque normalement après la nuit." Elle espérait même ne pas avoir à porter l'écharpe.

L'annonce de sa blessure avait perturbée Britanny, elle le voyait bien à l'expression de son visage comme au fait qu'elle s'était laissée tombée sur la chaise à côté du lit. Mais ne venait-elle pas de dire la gravité de ce qu'elle avait subit? Ça pouvait clairement être perturbant à imaginer. Mais heureusement elle réussit à se reprendre et à rebondir dans la conversation. Ennis ne savait pas si elle aurait eu la force de rassurer la rousse. Déjà elle était en colère et dépitée par la situation.

- "Super! Merci vraiment tu me retires les doxys des rideaux!" Dit la gardienne avec un soulagement non feint. Certess cela impliquait que la poursuivzuse regarde dans son sac. Mais ce n'était pas non plus son armoire tout entière. Et puis elle lui faisait confiance, elles s'entraînait ensemble depuis suffisamment longtemps et il n'y avait jamais eu de problème. Ça serait le comble que ça commence aujourd'hui.

- "L'infirmière me confirmera ça demain matin. Je crois que le professeur Mason veut aussi voir ce qu'il en sera. Mais normalement oui. La magie a déjà tout réparé. J'aurais sûrement un baume à passer dessus et devrait garder le bras au repos. Mais a priori... J'espère. Je n'ai pas envie de moisir ici... j'ai même pas pu me laver correctement." Elle avait gémis à cette dernière phrase. Ruby Lloyd l'avait aidé à faire une toilette succincte, mais ça ne remplaçait clairement pas une vraie er bonne douche. Celle qui délie les muscles et qui permet de se débarrasser de la sensation poisseuse due à la pluie. Et à la boue.

- "Le proch... Quoi?" Elfie exclue? "Mais elle a... et Luben?" Interogea la préfète perdue... "Il s'est passé quoi après qu'il m'est mise KO?"

Voilà Ennis, j'espère que ça te va ? Si tu veux que je modifie, pour que tu réagisse, n'hésite pas.

Ennis avait du mal à intégrer toutes les informations. Luben avait pété un câble, ça oui, elle s'en souvenait - douloureusement même. Mais Elfie te Phoebe avait elles aussi joué des poings? Elle tentait désespérément de se souvenir de quelque chose. Quand elle était revenue à elle, la préfète se souvenait des visages de Rafael Mason et Owen au dessus d'elle, Britnny qui maintenait ses pieds... Quelqu'un qui lui avait parlé. Un homme dont la voix ne lui avait rien dit sur le moment mais avec le recul et la visite de son directeur de maison, elle se demandait si ce n'était pas Samuel Falkner. Mais il ne lui avait rien dit sur ce qui c'était passé. Et elle n'avait pas demandé non plus. La discussion s'était concentrée sur son épaule et l reprise des cours.

- "Ça change rien toi ou Leo..." dit-elle en secouant la tête de gauche à droite. "On s'en fiche juste..." Qu'avait fait l'attrapeuse de si grave pour qu'elle soit la seule à être suspendue? Définitivement? La cinquième année ne comprenait pas pourquoi les deux autres avaient une sanction si légère. C'était inadmissible, pourquoi n'étaient-ils pas suspendus? Au moins! Le visage d'Ennis exprimait sa colère autant que sa surprise. Et l'adolescente peinait à suivre ce que lui disait Britanny, encore plus à comprendre qu'elle était totalement perturbée par tout ceci elle aussi. Elle ne s'en rendit compte que lorsque la rousse lui dit qu'elle allait partir, précipitamment pour le coup. Encore éberluée, la châtain ne réagit que lorsqu'elle était déjà presque à la sortie:

- "Britanny!" Cria-t-elle. Mais c'était trop tard, et surtout, elle s'attira les foudres de l'infirmière qui lui rappela que tout le monde ici devait se reposer, elle la première. L'irlandaise serra des dents et soupira sans réelle gêne. La femme tourna ensuite les talons pour ne revenir que vers dix-neuf heures quarante-cinq avec un plateau repas et l'information qu'aucun élève ne pourrait revenir la voir avant le lendemain matin. Elle n'avait plus qu'à espérer que la nuit passerait vite... ou qu'un adulte vienne lui tenir compagnie, mais elle ne rêvait pas trop.

21h30. Owen vérifia une dernière fois qu’aucun élève ne trainait encore dans les rayonnages, avant de vérouiller la porte principale de la bibliothèque. Le couloir était désert, il pouvait entendre de temps en temps quelques bruits de pas des préfets terminant leur ronde ou de d’autres adultes du château veillant à ce que le couvre-feu soit bien respecté. Outre ces quelques exceptions, le silence était total. Le bibliothécaire prit la direction de l’infirmerie. Il y avait amené Ennis quelques heures plus tôt et voulait s’assurer qu’elle aille mieux. Elle semblait vraiment mal en point quand il l’avait laissé aux soins de l’infirmière.

Quelques minutes plus tard, après avoir demandé l’autorisation à sa collègue d’aller voir la jeune fille, Owen se dirigea vers le lit qu’elle lui avait indiqué. Ennis était allongée sur le côté, lui tournant le dos. Peut-être ne l’avait-elle pas entendu arriver, il est vrai qu’il avait marché à pas de loup pour éviter de réveiller ou déranger les autres patients. Owen s’éclaircit la voix pour signaler sa présence avant de parler.

- Comment vas-tu ? Tu te sens mieux ? dit-il tout en prenant place sur la chaise à côté du lit. Oh et tiens, je t’ai apporté ça, ajouta-t-il en déposant sur la table de chevet une boîte contenant quelques fondants à la guimauve, qu’il était allé acheter chez Honeydukes dans l’après-midi, et un recueil de vieux contes moldus venant tout droit de sa bibliothèque personnelle. Je savais pas combien de temps t’allais rester ici alors… je me suis dit que ça pourrait t’aider à faire passer le temps. conclua-t-il avec un petit sourire. Tu as déjà eu de la visite ?