Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
Mercredi 29 août 2046, 10h45
@Mary Bain
- Viens, ils sont là ! Allons-y !
Timidement, je fis un hochement de tête aux parents de Mary, afin de les saluer. Puis, je les suivis dans la banque, des sorciers et sorcières entraient et sortaient de la banque, les portes battant à chaque sortie et entrée.
En entrant dans ce lieu mythique, connu de tous, je fus grandement impressionnée. Tout était de marbre et d’or, des lustres en cristaux imposants aussi bien par leur taille que par leur élégance, habillaient le plafond. Tout ici, criait la richesse, même cette énorme porte d’argent où s’inscrivait ces mots :
« Quel joli poème » songeais-je. Puis, je reportai mon attention sur l’allée centrale, de chaque côté se trouvait des gobelins. En les voyant, je repensai aux mots de ma grand-mère, c’est vrai que c’était d’étranges créatures. Leur petits yeux noirs, semblables à deux puits sans fond, semblait vous cerner et vous analyser. Peut-être était-ce ainsi qu’il distinguait les personnes avec de mauvaises intentions.
La plupart des gobelins étaient, cependant, occupé à travailler. Certains de leurs longs doigts, comptaient des pièces d’or, les pesant à l’aide de grandes balances de cuivre, d’autres écrivaient sur des parchemins avec de longues plumes. Je ne pus m’empêcher de remarquer que ces gobelins étaient vêtus d’habits élégants, des costumes pour la plupart noirs. Je finis par détacher mon regard d’eux, pour le poser sur Mary qui se trouvait à ma gauche :
« Qu’est-ce que tes parents viennent prendre ici ? » lui demandais-je, curieuse.
En entrant dans ce lieu mythique, connu de tous, je fus grandement impressionnée. Tout était de marbre et d’or, des lustres en cristaux imposants aussi bien par leur taille que par leur élégance, habillaient le plafond. Tout ici, criait la richesse, même cette énorme porte d’argent où s’inscrivait ces mots :
« Entre ici étranger si tel est ton désir
Mais à l'appât du gain, renonce à obéir,
Car celui qui veut prendre et ne veut pas gagner,
De sa cupidité, le prix devra payer.
Si tu veux t'emparer, en ce lieu souterrain,
D'un trésor convoité qui jamais ne fut tien,
Voleur tu trouveras, en guise de richesse,
Le juste châtiment de ta folle hardiesse. »
« Quel joli poème » songeais-je. Puis, je reportai mon attention sur l’allée centrale, de chaque côté se trouvait des gobelins. En les voyant, je repensai aux mots de ma grand-mère, c’est vrai que c’était d’étranges créatures. Leur petits yeux noirs, semblables à deux puits sans fond, semblait vous cerner et vous analyser. Peut-être était-ce ainsi qu’il distinguait les personnes avec de mauvaises intentions.
La plupart des gobelins étaient, cependant, occupé à travailler. Certains de leurs longs doigts, comptaient des pièces d’or, les pesant à l’aide de grandes balances de cuivre, d’autres écrivaient sur des parchemins avec de longues plumes. Je ne pus m’empêcher de remarquer que ces gobelins étaient vêtus d’habits élégants, des costumes pour la plupart noirs. Je finis par détacher mon regard d’eux, pour le poser sur Mary qui se trouvait à ma gauche :
« Qu’est-ce que tes parents viennent prendre ici ? » lui demandais-je, curieuse.
Dernière modification par Anabelle Willard le 25 juil. 2022, 12:56, modifié 1 fois.
2ème année RP
#977402
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
La fameuse et célèbre banque Gringotts. La façade de cette banque est tellement sublime. Aussi blanche que la neige. J'étais si excitée à l'idée d'y entrer. D'autant plus que cela allait être ma première fois et qu'en plus, j'étais accompagnée de ma toute nouvelle amie.
Le poème à l'entrée de la banque me laissa figée un court instant, le temps de le dire et de le comprendre surtout. Je pus remarquer qu'Anabelle aussi s'était arrêtée pour le lire. Je lui ai donc échangé un sourire complice avant que l'on ne continue notre découverte.
- Waouh...
J'étais admirative devant ce hall immense et ce marbre à perte de vue. Et puis, c'était sans compter les comptoirs administratives où près d'une centaine de gobelins travaillaient. Mes parents menaient la marche et j'essayais de ne pas trop être distancée, n'étant pas totalement rassurée non plus. C'est alors que ma comparse me posa une question et je la regarde en souriant.
- Ils viennent récupérer ma bourse. En fait, mes parents ont laissé dans un coffre différentes bourses qu'ils vont nous léguer à mes petits frères et à moi même les moments venus. Et la première bourse nous revient à notre première rentrée à Poudlard.
Mes parents s'arrêtent soudainement pour parler avec un gobelin qui semble bien plus effrayant que tous les autres. Je déglutis et me reconcentre vite sur la jeune fille à droite.
- Tes parents non plus ne t'ont jamais emmené ici ?
@Anabelle Willard, désolée pour mon temps de réponse !
Le poème à l'entrée de la banque me laissa figée un court instant, le temps de le dire et de le comprendre surtout. Je pus remarquer qu'Anabelle aussi s'était arrêtée pour le lire. Je lui ai donc échangé un sourire complice avant que l'on ne continue notre découverte.
- Waouh...
J'étais admirative devant ce hall immense et ce marbre à perte de vue. Et puis, c'était sans compter les comptoirs administratives où près d'une centaine de gobelins travaillaient. Mes parents menaient la marche et j'essayais de ne pas trop être distancée, n'étant pas totalement rassurée non plus. C'est alors que ma comparse me posa une question et je la regarde en souriant.
- Ils viennent récupérer ma bourse. En fait, mes parents ont laissé dans un coffre différentes bourses qu'ils vont nous léguer à mes petits frères et à moi même les moments venus. Et la première bourse nous revient à notre première rentrée à Poudlard.
Mes parents s'arrêtent soudainement pour parler avec un gobelin qui semble bien plus effrayant que tous les autres. Je déglutis et me reconcentre vite sur la jeune fille à droite.
- Tes parents non plus ne t'ont jamais emmené ici ?
@Anabelle Willard, désolée pour mon temps de réponse !
¤ Matriarcat Marla viendra à bout des fiers-à-bras ! ¤ | 3ème année RP (48-49)
Gossip Girl en Chef de Poudlard | Hel's Angels | Membre du Club de Bavboules et du Club de soutien scolaire
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
« Quelle chance ! » songeais-je avec une pointe d’envie mêlée d’amertume. En effet, cela devait être tellement plaisant de savoir qu’on commencerait la vie avec une aide financière certaine de ses parents. Moi, je ne pense pas avoir cette chance dans la vie, ce serait déjà bien, si mes parents arrivaient à payer pour toute ma scolarité à Poudlard. Je sais bien que je devrai être plus reconnaissante pour le travail fourni par mes parents qui tentent malgré notre situation compliquée, de répondre à mes besoins, même de me faire plaisir parfois. Et il y a aussi mon grand-père qui me donne 3 mornilles tous les mois, ce n’est pas grand-chose, mais c’est mieux que rien.
Ne voulant pas laisser l’envie m’envahir, je décidai d’arrêter de penser à la situation financière de ma famille et de me concentrer sur ce qui se passait autour de moi. Les parents de Mary s’étaient arrêtés pour discuter avec un gobelin qui franchement était laid par rapport aux autres gobelins. Il avait une tête énorme, son large front ridé se plissa davantage quand ses yeux se transformèrent en deux fentes. Sans doute, était-il en train de réfléchir. Je détournai rapidement la tête vers Mary, sans jeter un dernier coup d’œil à ces longs doigts terminés par des ongles épais et un peu trop pointus.
Je vis que ma nouvelle amie avait aussi réagi face à ce gobelin effrayant, avant de me poser une question à laquelle je répondis :
« Non, je ne suis jamais venu ici avec mes parents. Ils m’ont donné ma bourse quand on est arrivé sur le chemin de traverse. » Puis, je rajoutai d’une petite voix :
« Et puis, je suis même pas sûre qu’on ait un compte à Gringotts… »
Ne voulant pas laisser l’envie m’envahir, je décidai d’arrêter de penser à la situation financière de ma famille et de me concentrer sur ce qui se passait autour de moi. Les parents de Mary s’étaient arrêtés pour discuter avec un gobelin qui franchement était laid par rapport aux autres gobelins. Il avait une tête énorme, son large front ridé se plissa davantage quand ses yeux se transformèrent en deux fentes. Sans doute, était-il en train de réfléchir. Je détournai rapidement la tête vers Mary, sans jeter un dernier coup d’œil à ces longs doigts terminés par des ongles épais et un peu trop pointus.
Je vis que ma nouvelle amie avait aussi réagi face à ce gobelin effrayant, avant de me poser une question à laquelle je répondis :
« Non, je ne suis jamais venu ici avec mes parents. Ils m’ont donné ma bourse quand on est arrivé sur le chemin de traverse. » Puis, je rajoutai d’une petite voix :
« Et puis, je suis même pas sûre qu’on ait un compte à Gringotts… »
@Mary Bain, ne t'inquiètes pas
2ème année RP
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
J'attendais avec une certaine impatience la réponse d'Anabelle. Mais alors qu'elle me la donne enfin, je me sens affreusement bête. C'est vrai, mes parents m'avaient prévenu après tout. Ce n'est pas parce que notre famille a un compte que toutes les familles en ont un. J'aurais du m'en rappeler avant de poser cette question stupide et de me sentir si mal, face à elle. Peut-être que cela ne lui faisait rien mais peut-être aussi que cela l'a blessé de me l'avouer. Et je ne voulais pas faire de mal à ma nouvelle amie.
- Eh bien tu vas découvrir Gringotts en même temps que moi !
Je lui offre un grand sourire et lui prends la main. Je regarde tout autour de nous puis reporte mon attention sur elle. Je me penche dans sa direction pour pouvoir lui murmurer la suite de mon aveu :
- Et puis, au moins, tu n'auras pas à leur faire face à chaque fois que tu souhaites retirer de l'argent. Je ne sais pas ce que tu en penses mais ils m'effraient un peu.
J'entends soudainement mon père m'appeler alors je sursaute et me remets droite. Je le regarde et il me fait signe de me taire. Aurai-je parler trop fort ? Je grimace et jette un coup d'œil au gobelin à qui mes parents parlaient. Je cligne des yeux, voyant qu'il n'est plus là et le cherche partout des yeux. Se cacherait-il pour m'attaquer ? Souhaite-t-il se venger de ce que j'ai dit ? Je déglutis alors qu'il apparaît soudainement devant mes parents, prêt à nous guider. Je me rends alors compte qu'il est extrêmement petit et je ne suis plus si impressionnée que ça tout à coup. Je regarde de nouveau Anabelle et lui murmure à nouveau :
- C'est parti pour l'aventure !
- Eh bien tu vas découvrir Gringotts en même temps que moi !
Je lui offre un grand sourire et lui prends la main. Je regarde tout autour de nous puis reporte mon attention sur elle. Je me penche dans sa direction pour pouvoir lui murmurer la suite de mon aveu :
- Et puis, au moins, tu n'auras pas à leur faire face à chaque fois que tu souhaites retirer de l'argent. Je ne sais pas ce que tu en penses mais ils m'effraient un peu.
J'entends soudainement mon père m'appeler alors je sursaute et me remets droite. Je le regarde et il me fait signe de me taire. Aurai-je parler trop fort ? Je grimace et jette un coup d'œil au gobelin à qui mes parents parlaient. Je cligne des yeux, voyant qu'il n'est plus là et le cherche partout des yeux. Se cacherait-il pour m'attaquer ? Souhaite-t-il se venger de ce que j'ai dit ? Je déglutis alors qu'il apparaît soudainement devant mes parents, prêt à nous guider. Je me rends alors compte qu'il est extrêmement petit et je ne suis plus si impressionnée que ça tout à coup. Je regarde de nouveau Anabelle et lui murmure à nouveau :
- C'est parti pour l'aventure !
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
Lorsque je compris que Mary ne ferait pas de commentaires désobligeants sur mon aveu, je me détendis et lui fis un grand sourire, ris doucement à sa blague et serrai en retour sa main dans la mienne. Puis, le gobelin descendit et je pouffai discrètement face à sa petite taille, tout en regardant autour pour être sûr qu’aucun autre gobelin ne me regardait.
Le gobelin nous fit signe de le suivre, tout en prenant une lampe noire, presque aussi grosse que lui, dans laquelle dansait une petite flamme orangée et il s’avança d’un pas assuré vers une grande porte noire. Il l’ouvrit et nous nous engouffrâmes dans un étroit passage en pierre qui contrastait fortement avec la richesse de l’entrée de la banque. Lorsque mes yeux finirent par s’habituer à la faible luminosité, je distinguai une voie ferrée au milieu du passage. Le gobelin qui nous accompagne siffla et un wagonnet s’approcha dans un bruit métallique.
Je jetai un coup d’œil à Mary pour voir sa réaction, car je ne savais pas comment on allait tous tenir dans ce wagon. Pourtant, je dus me résoudre à suivre le mouvement, car le gobelin et les parents de Mary étaient déjà montés dedans. Quelle ne fut ma surprise quand je vis qu’il restait encore assez de place pour que Mary et moi montions. Ainsi, je pris place au côté de la mère de Mary, regardai mon amie et avec une certaine appréhension je lui murmurai :
« Tu crois que ça va faire peur ? »
Le gobelin nous fit signe de le suivre, tout en prenant une lampe noire, presque aussi grosse que lui, dans laquelle dansait une petite flamme orangée et il s’avança d’un pas assuré vers une grande porte noire. Il l’ouvrit et nous nous engouffrâmes dans un étroit passage en pierre qui contrastait fortement avec la richesse de l’entrée de la banque. Lorsque mes yeux finirent par s’habituer à la faible luminosité, je distinguai une voie ferrée au milieu du passage. Le gobelin qui nous accompagne siffla et un wagonnet s’approcha dans un bruit métallique.
Je jetai un coup d’œil à Mary pour voir sa réaction, car je ne savais pas comment on allait tous tenir dans ce wagon. Pourtant, je dus me résoudre à suivre le mouvement, car le gobelin et les parents de Mary étaient déjà montés dedans. Quelle ne fut ma surprise quand je vis qu’il restait encore assez de place pour que Mary et moi montions. Ainsi, je pris place au côté de la mère de Mary, regardai mon amie et avec une certaine appréhension je lui murmurai :
« Tu crois que ça va faire peur ? »
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
Décidément cette rentrée à Poudlard était tout bonnement incroyable. Je n'étais pas encore arrivée à l'école que je vivais déjà des choses totalement folles. Mes parents m'avaient promis de me conduire ici lorsque j'aurais enfin 11 ans et ils ont tenu leur promesse. En plus, ils ont accepté que l'amie que je venais de me faire nous accompagne. Je n'aurais jamais cru ça d'eux, il y a encore quelques semaines.
Comme quoi, tout le monde change et surprend.
On eut pas trop le choix de toute façon avec Anabelle. Nous devions suivre les adultes et le gobelin qui semblait mécontent à l'idée de nous accompagner. Peut-être l'avait-on dérangé alors qu'il avait beaucoup de travail ? Je souffle doucement mais ne fais aucune réflexion. Mes parents ne semblent pas être préoccupés par son air alors je devrais faire comme eux.
- Waouh !
Un wagon venait d'apparaître suite au sifflement de ce fameux et étrange gobelin, justement ! Il est sorti de nul part et je tentais de regarder du mieux que je pouvais tout autour de nous - l'obscurité n'aide pas beaucoup - pour essayer de comprendre d'où il pouvait arriver comme ça. Puis je me fis une réflexion. Pourquoi s'en étonner ? La magie hante ces lieux et va devenir mon quotidien désormais. Je ne devrais pas en faire autant.
Nous montons alors que tout le monde n'attend qu'Annabelle et moi. Nos regards se croisent et je lui souris, comme pour la rassurer.
- Je ne pense pas que cela fasse peur... Mes parents n'auraient jamais accepté que tu viennes, sinon.
Et en effet, le wagon prit le chemin de fer et nous n'avons pas été beaucoup secoué durant le trajet. Même l'arrivée fut douce et le gobelin sortit en premier en se faufilant parmi nous pour nous indiquer où aller ensuite. Mes parents nous laissèrent descendre avant eux et tout en continuant de tenir la main à mon amie, je l'invitais à me suivre.
- Allons-y ! Cette grande porte renferme peut-être des tas de trésors ! dis-je en lui montrant la porte qui semble être celle du coffre de ma famille.
Je ris légèrement, n'y croyant pas trop, et malgré que le gobelin semble ne pas attendre qu'on le rejoigne avant de commencer à ouvrir la porte en question, je reste bien à proximité de mes parents. Malgré que je leur fasse confiance et qu'il est évident qu'ils ne nous auraient jamais fait venir ici si l'on courrait le moindre danger, je ne serais pas très rassurée à l'idée d'être loin d'eux ici.
@Annabelle Willard, j'étais à l'étranger pour mon voyage de noces. Maintenant que toute cette folie est terminée, je suis bel et bien de retour. Désolée pour toute cette attente..
Comme quoi, tout le monde change et surprend.
On eut pas trop le choix de toute façon avec Anabelle. Nous devions suivre les adultes et le gobelin qui semblait mécontent à l'idée de nous accompagner. Peut-être l'avait-on dérangé alors qu'il avait beaucoup de travail ? Je souffle doucement mais ne fais aucune réflexion. Mes parents ne semblent pas être préoccupés par son air alors je devrais faire comme eux.
- Waouh !
Un wagon venait d'apparaître suite au sifflement de ce fameux et étrange gobelin, justement ! Il est sorti de nul part et je tentais de regarder du mieux que je pouvais tout autour de nous - l'obscurité n'aide pas beaucoup - pour essayer de comprendre d'où il pouvait arriver comme ça. Puis je me fis une réflexion. Pourquoi s'en étonner ? La magie hante ces lieux et va devenir mon quotidien désormais. Je ne devrais pas en faire autant.
Nous montons alors que tout le monde n'attend qu'Annabelle et moi. Nos regards se croisent et je lui souris, comme pour la rassurer.
- Je ne pense pas que cela fasse peur... Mes parents n'auraient jamais accepté que tu viennes, sinon.
Et en effet, le wagon prit le chemin de fer et nous n'avons pas été beaucoup secoué durant le trajet. Même l'arrivée fut douce et le gobelin sortit en premier en se faufilant parmi nous pour nous indiquer où aller ensuite. Mes parents nous laissèrent descendre avant eux et tout en continuant de tenir la main à mon amie, je l'invitais à me suivre.
- Allons-y ! Cette grande porte renferme peut-être des tas de trésors ! dis-je en lui montrant la porte qui semble être celle du coffre de ma famille.
Je ris légèrement, n'y croyant pas trop, et malgré que le gobelin semble ne pas attendre qu'on le rejoigne avant de commencer à ouvrir la porte en question, je reste bien à proximité de mes parents. Malgré que je leur fasse confiance et qu'il est évident qu'ils ne nous auraient jamais fait venir ici si l'on courrait le moindre danger, je ne serais pas très rassurée à l'idée d'être loin d'eux ici.
@Annabelle Willard, j'étais à l'étranger pour mon voyage de noces. Maintenant que toute cette folie est terminée, je suis bel et bien de retour. Désolée pour toute cette attente..
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
Je ne sais pas si j'étais déçue ou soulagée quand le wagon s'arrêta. En effet, je pense que je m'attendais à être secoué dans tous les sens. Mais, cela ne me déplu pas tant que ça d'avoir eu un voyage tranquille, à la fin duquel je ne vomirai pas toutes mes tripes.
Tandis que j'essayais de m'habituer à la faible luminosité du lieu, je sentis mon bras être tiré, je le suivis du regard et je vis que c'était Mary qui tenait toujours ma main, et voulait que je la suive. Ce que je fis, en faisant bien attention, à ne pas tomber en descendant du wagon. Il ne manquerait plus que je m'étale en face des parents de ma nouvelle amie, quelle image aurait-il de moi après cela ?! Sans doute une image pas si bonne.
Le gobelin marcha d'un pas assuré, sans aucune hésitation vers une grosse porte qui semblait être faite d'un bois sombre et sur laquelle était posé du métal formant d'étranges motifs. Mais, la porte ne semblait pas avoir de serrure et cela me rendit perplexe, car comment pouvait-on ouvrir une porte sans serrure ?
J'eus vite ma réponse quand le gobelin posa sa lampe, leva sa main droite et il inséra l'ongle de son index crochu au centre du motif en métal et fit un étrange mouvement de main. Lorsqu'il retira son ongle, un "clic" se fit entendre et la porte s'ouvrit lentement.
Face à cela, je lançai un regard émerveillé vers mon amie et je lui dis d'une voix excitée :
"Waouh ! tu as vu ça ?! Tu penses que c'est quel sort ?"
Tandis que j'essayais de m'habituer à la faible luminosité du lieu, je sentis mon bras être tiré, je le suivis du regard et je vis que c'était Mary qui tenait toujours ma main, et voulait que je la suive. Ce que je fis, en faisant bien attention, à ne pas tomber en descendant du wagon. Il ne manquerait plus que je m'étale en face des parents de ma nouvelle amie, quelle image aurait-il de moi après cela ?! Sans doute une image pas si bonne.
Le gobelin marcha d'un pas assuré, sans aucune hésitation vers une grosse porte qui semblait être faite d'un bois sombre et sur laquelle était posé du métal formant d'étranges motifs. Mais, la porte ne semblait pas avoir de serrure et cela me rendit perplexe, car comment pouvait-on ouvrir une porte sans serrure ?
J'eus vite ma réponse quand le gobelin posa sa lampe, leva sa main droite et il inséra l'ongle de son index crochu au centre du motif en métal et fit un étrange mouvement de main. Lorsqu'il retira son ongle, un "clic" se fit entendre et la porte s'ouvrit lentement.
Face à cela, je lançai un regard émerveillé vers mon amie et je lui dis d'une voix excitée :
"Waouh ! tu as vu ça ?! Tu penses que c'est quel sort ?"
@Mary Bain c'est normal
, j'espère que ce fut amusant ! 
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Mes parents m'avaient longtemps parlé de cette incroyable banque. Gringotts est en effet considéré comme un des endroits les plus sûrs au monde d'après eux. Les employés contrôlent les accès de la banque. Les chambres fortes sont dissimulées dans les sous-sols. Différents systèmes garantissent la sécurité et l'accès aux coffres. Certaines chambres fortes s'ouvrent à l'aide d'une clé et d'autres, plus sécurisés, s'ouvrent uniquement grâce à la main d'un des gobelins de la banque. Et on dirait bien que c'est le cas de notre coffre familial. J'étais fascinée alors que toutes les histoires que mes parents avaient pu me raconter au sujet de ce bâtiment se révèlent être vrais depuis que l'on est entré à l'intérieur.
Selon mon père, si un sorcier essaye d'ouvrir ces coffres, il serait aspiré par la porte et deviendrait prisonnier de la chambre forte. Toujours d'après lui, les coffres qui se situent dans les derniers sous-sols sont les plus grands, les mieux protégés et les plus anciens. Et d'après mon grand-père, les quatre ou cinq chambres fortes les plus profondes de la banque sont gardées par un dragon partiellement aveugle et féroce.
Autrement dit, personne ne devrait plaisanter avec la sécurité de ce lieu. Moi, la première.
- Je crois que ce n'est pas vraiment un sort... Je crois que c'est simplement la forme de son ongle... Tu ne crois pas ?
Je murmure ses mots à Anabelle tout en continuant de fixer le gobelin qui me semblait incroyablement étrange. De plus en plus. J'eus l'impression qu'il nous entendit puisqu'il se tourna pour nous fixer et j'eus un hoquet de surprise. Il annonce cependant à mes parents que le coffre est ouvert et ma mère semble vouloir rester avec nous à l'extérieur, tandis que mon père s'avance déjà pour aller chercher ce qui l'intéresse.
- Maman... On ne peut pas y aller, nous aussi ? J'aimerais bien voir ce qu'il y a, moi, dans le coffre familial !
- Une prochaine fois, sans doute. Ton père ne semble pas prêt à te laisser entrer, je crois. Il ne sera pas long. C'est déjà bien que tu ais pu venir jusqu'ici, tu ne crois pas ?
Elle me sourit mais je fais une mine boudeuse. J'aurais aimé pouvoir découvrir la totalité des secrets de ma famille et j'étais presque déçue que ma nouvelle amie s'arrête ici. Je la regarde en soupirant.
- Désolée, il faut croire que nous ne pouvons pas aller plus loin...
@Anabelle Willard, c'était super, merci !
Selon mon père, si un sorcier essaye d'ouvrir ces coffres, il serait aspiré par la porte et deviendrait prisonnier de la chambre forte. Toujours d'après lui, les coffres qui se situent dans les derniers sous-sols sont les plus grands, les mieux protégés et les plus anciens. Et d'après mon grand-père, les quatre ou cinq chambres fortes les plus profondes de la banque sont gardées par un dragon partiellement aveugle et féroce.
Autrement dit, personne ne devrait plaisanter avec la sécurité de ce lieu. Moi, la première.
- Je crois que ce n'est pas vraiment un sort... Je crois que c'est simplement la forme de son ongle... Tu ne crois pas ?
Je murmure ses mots à Anabelle tout en continuant de fixer le gobelin qui me semblait incroyablement étrange. De plus en plus. J'eus l'impression qu'il nous entendit puisqu'il se tourna pour nous fixer et j'eus un hoquet de surprise. Il annonce cependant à mes parents que le coffre est ouvert et ma mère semble vouloir rester avec nous à l'extérieur, tandis que mon père s'avance déjà pour aller chercher ce qui l'intéresse.
- Maman... On ne peut pas y aller, nous aussi ? J'aimerais bien voir ce qu'il y a, moi, dans le coffre familial !
- Une prochaine fois, sans doute. Ton père ne semble pas prêt à te laisser entrer, je crois. Il ne sera pas long. C'est déjà bien que tu ais pu venir jusqu'ici, tu ne crois pas ?
Elle me sourit mais je fais une mine boudeuse. J'aurais aimé pouvoir découvrir la totalité des secrets de ma famille et j'étais presque déçue que ma nouvelle amie s'arrête ici. Je la regarde en soupirant.
- Désolée, il faut croire que nous ne pouvons pas aller plus loin...
@Anabelle Willard, c'était super, merci !
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Je regardais avec de grands yeux le gobelin face aux nouvelles informations que mon amie venait de me donner. Mes yeux étonnés se posèrent sur les doigts du gobelin et je me dis que cette banque semblait vraiment être bien gardé. Mais je ne pouvais m’empêcher de penser au nombre de sorciers qui avaient essayé de venir voler dans cette banque sans jamais réussir.
Je fus tiré de mes pensées par Mary qui demanda à sa mère si nous pouvions rentrer, ce à quoi sa mère répondit par la négative. Je fus déçue, tout comme Mary qui boudait ouvertement, ce qui m’amusait et je ne pus m’empêcher rire. Encore plus quand d’une mine déconfite, elle m’informa qu’on n’irait pas plus loin.
Lorsque mon rire se calma et pendant que le père de mon amie récupérait ce dont il avait besoin, je regardais autour de moi. J’avais l’impression qu’on était dans une grotte immense, les parois semblaient être faites de pierre. Et lorsque je tentais de distinguer au loin, je ne pus voir qu’un bout de rail qui continuait dans une sombre obscurité. Même lorsque je plissai mes yeux, je ne pouvais rien voir.
J’arrachai mes yeux de cette sombre contemplation avec le retour du père de Mary, qui semblait mettre quelque chose dans sa poche, je ne pus voir ce que c'était correctement. Puis, nous dûmes remonter dans le wagon, retourner à l’entrée de la banque et nous habituer à nouveau à cette lumière étincelante. Une fois à l’extérieur, je me tournai vers Mary pour lui demander d’une voix excitée :
« Maintenant, on va où ? J’ai trop envie d’acheter mon uniforme ! pas toi ? »
Je fus tiré de mes pensées par Mary qui demanda à sa mère si nous pouvions rentrer, ce à quoi sa mère répondit par la négative. Je fus déçue, tout comme Mary qui boudait ouvertement, ce qui m’amusait et je ne pus m’empêcher rire. Encore plus quand d’une mine déconfite, elle m’informa qu’on n’irait pas plus loin.
Lorsque mon rire se calma et pendant que le père de mon amie récupérait ce dont il avait besoin, je regardais autour de moi. J’avais l’impression qu’on était dans une grotte immense, les parois semblaient être faites de pierre. Et lorsque je tentais de distinguer au loin, je ne pus voir qu’un bout de rail qui continuait dans une sombre obscurité. Même lorsque je plissai mes yeux, je ne pouvais rien voir.
J’arrachai mes yeux de cette sombre contemplation avec le retour du père de Mary, qui semblait mettre quelque chose dans sa poche, je ne pus voir ce que c'était correctement. Puis, nous dûmes remonter dans le wagon, retourner à l’entrée de la banque et nous habituer à nouveau à cette lumière étincelante. Une fois à l’extérieur, je me tournai vers Mary pour lui demander d’une voix excitée :
« Maintenant, on va où ? J’ai trop envie d’acheter mon uniforme ! pas toi ? »
Dernier post pour moi
on continue chez Madame Guipure ?
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Entourées d’or, nous continuons nos emplettes
Je ne pouvais pas trop en vouloir en ma mère. Elle n'était pas responsable de la décision de mon père après tout. Il fallait donc que j'accepte cette décision, bien qu'assez nulle et que je patiente. Mais je ne pouvais pas cacher ce que je pensais réellement et je crois qu'Anabelle s'en est vite rendue compte. Elle s'est mise à rire et j'étais quelque peu surprise. Est-ce mon air fâché qui l'amuse ? Je rougis certainement un peu et me pince la lèvre, un peu gênée de m'être autant mise en spectacle devant ma nouvelle amie. Elle pourrait croire que je suis une boudeuse récurrente et ce n'est pas vraiment l'image que je souhaite donner.
Mon père finit par nous retrouver assez rapidement et je me suis alors tournée vers lui. Il me sourit et j'en fais de même alors qu'il met à l'abri des regards l'argent qu'il a récupéré pour moi. Il est donc temps de faire demi-tour. J'acquiesce et nous remontons tous dans le wagon. Mon père en profite pour me confier mon argent et je le câline pour le remercier. Je souris ensuite à Anabelle alors que nous revenons déjà au hall d'entrée puis devant la bâtisse.
- Waouh ! Le soleil est plus flamboyant qu'avant non ?
Je me cache les yeux un instant, le temps de m'y habituer de nouveau, telle une vampire. Je ris un peu puis me tourne vers ma nouvelle amie lorsqu'elle me propose la suite de notre programme. Mes parents nous souhaitent alors un bon moment et nous laissent seules, comme convenu. Je suis fière qu'ils me fassent confiance et toute enjouée :
- Oh oui alors ! Allons vite récupérer notre robe de sorcière !
@Anabelle Willard, dernier post pour moi aussi du coup et je valide à 100% ton idée ! Tu peux le commencer si tu le souhaites ou me le laisser à ta convenance. N'hésite pas à me prévenir par hibou !
Mon père finit par nous retrouver assez rapidement et je me suis alors tournée vers lui. Il me sourit et j'en fais de même alors qu'il met à l'abri des regards l'argent qu'il a récupéré pour moi. Il est donc temps de faire demi-tour. J'acquiesce et nous remontons tous dans le wagon. Mon père en profite pour me confier mon argent et je le câline pour le remercier. Je souris ensuite à Anabelle alors que nous revenons déjà au hall d'entrée puis devant la bâtisse.
- Waouh ! Le soleil est plus flamboyant qu'avant non ?
Je me cache les yeux un instant, le temps de m'y habituer de nouveau, telle une vampire. Je ris un peu puis me tourne vers ma nouvelle amie lorsqu'elle me propose la suite de notre programme. Mes parents nous souhaitent alors un bon moment et nous laissent seules, comme convenu. Je suis fière qu'ils me fassent confiance et toute enjouée :
- Oh oui alors ! Allons vite récupérer notre robe de sorcière !
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¤ Matriarcat Marla viendra à bout des fiers-à-bras ! ¤ | 3ème année RP (48-49)
Gossip Girl en Chef de Poudlard | Hel's Angels | Membre du Club de Bavboules et du Club de soutien scolaire
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