Wagon 1

Occupants :

• @Lancelot O'Lake
• @Sarah Priddy
• @Rafael Mason
• @Archibald Featherstone
• @Jae Dawson

Contexte actuel :

❝ Nous sommes le dimanche 21 avril 2047 dans l'après-midi. Le Poudlard Express devant ramener les élèves ayant passés leurs vacances hors des murs de l'école file vers sa destination. Certains professeurs profitent également du trajet dans leur wagon attitré. Mais entre une tasse de thé et quelques commentaires sur les élèves les plus récalcitrants, la course du Poudlard Express est brusquement stoppée, secouant quelque peu les occupants du wagon. L'une des portes du wagon (à gauche sur le plan) donne sur la locomotive, la porte opposée donne sur les wagons des élèves. Les portes latérales et celle donnant sur la locomotive sont condamnées durant les trajets. Si vous tentez d'ouvrir celle donnant sur les wagon élèves vous constaterez que, étonnamment, elle est également fermée. ❞

Attention :

• Les règles des RP s'appliquent ici, respectez bien la limite de 220 mots minimum par post.
• Des posts d'évolution du contexte seront posté régulièrement dans le sujet. Veillez à bien les prendre en compte et à préciser vos action en quelques mots à la fin de vos posts pour faciliter le travail des MJ.
• Ce qu'il se passe dans un compartiment peut avoir une influence sur ses compartiments voisins.

Le professeur était tranquillement assis sur son siège, en dégustant sa tasse de thé à la bergamote. L'eau encore un peu chaude, le professeur en profitait pour savourer ses lectures personnelles sur l'évolution des plantes. Fasciné par les mutations génétiques qui avaient permis à la Snargalouf de pouvoir mouvoir ses tentacules, ou encore étonné de comprendre le cheminement génétique qui avait permis à la Mandragore sorcière de pouvoir sortir de terre, il profita de la présence de son collègue professeur de soin aux créatures magiques pour poser quelques questions.

« Dîtes, Jae. Pensez-vous qu'à force de mutations, une plante puisse devenir un animal ? Je pense par exemple au botruc... Je n'ai plus de souvenir de mes cours de magizoologie, mais pensez-vous qu'il ait pu s'agir d'une plante à une époque très lointaine ? »

Puis continuant dans sa réflexion, le professeur ajouta :

« Peut-être que la Mandragore sera considérée comme un animal dans plusieurs siècles... »

Attendant de voir ce que son collègue pensait de ses réflexions, le botaniste porta sa tasse de thé en direction de ses lèvres quand, soudain, le wagon fut secoué par un arrêt brutal. L'eau bouillante de la tasse frappée par le séisme s'éleva en un tsunami qui s'étala, hors de son contenant, sur la main du professeur Featherstone. Ouch, c'était chaud... Le vieil homme faillit laisser choir sa tasse sous l'effet de la brûlure, mais parvint à ressaisir la hanse avant qu'un autre drame ne survînt. Il tenta, en gardant son sang le plus froid, de ne pas lâcher la tasse tandis qu'il l'apportait en lieu sûr : sa main déjà ébouillantée, il ne voulait pas que cela soit le cas de ses jambes. D'un geste fébrile mais maîtrisé, il posa son thé sur la petite table la plus proche et sortit un mouchoir en tissu de sa poche. Il tapota sa main avec ce dernier pour se l'essuyer, elle dégageait une couleur rouge vive.

Étonné par l'arrêt du Poudlard Express, le botaniste se tourna vers ses collègues.

« Vous avez une idée de ce qu'il se passe ? »

Avant l'arrêt du train, Archibald s'interroge sur les évolutions génétiques des plantes et pose quelques questions à Jae. Quand le train s'arrête, le thé d'Archibald se renverse sur ses mains. Après s'être essuyé, il demande à ses collègues s'ils savent les raisons de cet arrêt.

Cela faisait maintenant quelques heures que le Poudlard Express avait quitté Londres et il devait rester peu de temps avant d'arriver à la gare de Pré-au-Lard. Rafael avait hésité à transplaner directement près de son appartement mais il s'était finalement décidé à prendre le train et passer un peu de temps avec ses collègues. Si Sarah s'en tenait à ce qu'elle lui avait dit quelques jours plus tôt, elle avait, elle aussi, prévu de prendre le train pour revenir au château. Le professeur de Vol avait donc profiter au maximum des dernières heures en compagnie de sa famille et ils avaient décidé, avec Talía, de faire un tour au cimetière pour passer voir la tombe de leur autre soeur. Cela faisait un petit moment que Rafael n'y était pas allé et cela lui avait fait plaisir de se rapprocher ainsi de sa soeur décédée.

Le trajet en train passait relativement vite aux yeux du directeur de Gryffondor. Il avait retrouvé, dans son wagon, son amie Sarah, le jeune Jae qui leur avait donné pas mal de conseils pour les aider dans leur course, ainsi que ses collègues de Botanique et d'Études des Moldus. Bien que discrètes, les conversations s'étaient faites par petit groupe et Jae s'était intéressé de près à la course qu'avait réalisée Sarah et Rafael. Ils avaient pu évoquer les moments clés de la course et rassurer le professeur de Soins aux créatures magiques quant aux conseils qu'il leur avait donné.

Plus tard, alors que Rafael avait sorti un parchemin et une plume pour préparer sa rentrée, il avait entendu Archibald s'intéresser aux mutations des plantes. N'ayant jamais excellé dans ce domaine, Rafael écouta d'une oreille discrète les suppositions de son collègue. Il n'était pas sur d'avoir une réponse à ses interrogations et préféra rester silencieux. Il se concentra davantage sur son parchemin mais alors qu'il se remit à écrire, le train se stoppa subitement, renversant dans les même temps son encrier. Rafael releva la tête, surprit de ce qu'il venait de se passer et constata qu'il n'était pas le seul à être dans cet état. Il nettoya rapidement son parchemin en lançant un Tergeo puis essaya de distinguer ce qu'il se passait dehors par les fenêtres.

Son parchemin ne semblait garder aucune trace de l'incident et rien ne paraissait anormal à l'extérieur. L'anglais se leva pour essayer de voir s'il voyait quelque chose en s'approchant, mais il n'y avait rien de particulier. Il s'approcha ensuite vers la porte menant à la locomotive mais ne parvint pas à voir ce qu'il se passait. Sachant pertinemment que la porte était verrouillée pendant les trajets, il ne tenta pas de l'ouvrir et répondit à son collègue.

« — Non, je n'en ai aucune idée. Mais c'est la première fois que je vois ce train s'arrêter en plein trajet. Ce n'est pas normal... »

Si Archibald espérait être rassuré, les propos de Rafael n'auraient pas cet effet. Le sorcier préféra garder sa baguette dans la main et jeta un regard interrogateur à Sarah. Avait-elle le même présentement que lui?

Confortablement installé sur l'un des fauteuils du compartiment, je regardais les toutes dernières photos non magiques de Caelia et moi-même ; elle me manquait déjà, mais en même temps, j'avais toujours cette surprise de la voir plus grande à mon retour. Cela était plaisant d'imaginer ce à quoi elle ressemblerait et d'imaginer les traits de ma sœur ou ceux de Chris apparaître sur son visage afin de mieux déterminer les gênes ayant pris dominance.
Toutefois, il m'arrivait de lever le regard en direction de mes collègues présents ou de capter quelques brides de leurs conversations, sans pour autant y intervenir, ne désirant nullement les déranger d'une manière ou d'une autre.

Tandis que ma visualisation se poursuivait, je me sentis brusquement partir vers l'avant avant de cogner mon dos au contrefort du fauteuil laissant tomber quelques unes de mes photos.
Quelque chose ne devait pas fonctionner sur les rails pour que le train agît de cette façon, mais je n'en formalisai point plus en entendant mes collègues déjà intervenir par rapport à la situation.

— Tout comme vous, je suis sans réponse. Cependant, je me demande comment vont les élèves et s'ils n'ont rien suite à cette secousse. Je vais aller les voir.

Je me levai calmement, inquiet pour les élèves. Ne savait-on jamais ce qu'il pouvait se passer et comment ils réagiraient surtout après tous les évènements qu'ils eurent vécu ces derniers mois. Posant alors ma main sur la porte qui menait aux wagons des élèves, je poussai sans aucun résultat.

— Cela aussi est étrange, la porte menant aux wagons des élèves ne s'ouvre pas.

Le retour en train n'était pas forcément ce qu'elle préférait même si, en fin de compte, il s'avérait souvent plutôt reposant. De toute façon, il fallait bien quelques volontaires pour prêter main forte à la surveillance des adolescents de Poudlard et il convenait que ça ne soit pas toujours les mêmes qui s'y collent. Sarah avait déjà évité cette tâche en décembre ainsi qu'au début des vacances de Pâques, elle se voyait mal esquiver une fois de plus.

En outre, la Galloise avait été ravie de retrouver son collègue de vol et, durant les discussions autour de leur séjour en Suède avec Jae, lui aussi présent dans le train, elle ne s'était pas départie de son sourire et de sa bonne humeur. Une fois le sujet plus ou moins épuisé, chacun avait repris ses petites occupations. Sarah avait plongé dans son livre sur les langues troll, n'ayant pas vraiment pris le temps de faire ses révisions durant les vacances. Elle avait seulement levé la tête en entendant la question de son collègue professeur de botanique, voilà une réflexion intéressante. Elle allait se permettre de donner son avis bien que totalement novice dans ce domaine quand le train s'était arrêté brusquement, aspergeant au passage ce pauvre vieux Featherstone.

" Ouille... ça va ? " demanda t'elle en montrant sa propre main.

Alors que tout le monde ou presque c'était déjà levé, Sarah, croisant le regard inquiet de Rafael, prit sa baguette en main. Elle fronça les sourcils à la remarque de Lancelot.

" C'est sûrement un système de sécurité pour éviter que des passagers ne descendent du train quand il s'arrête. Il ne manquerait plus qu'on perde des élèves en route. J'espère juste que personne n'était dans les couloirs au mauvais moment. "

Comme pour vérifier ces dires, elle se leva à son tour et s'approcha d'une des fenêtres du compartiment afin de tenter d'observer ce qui se passait dans les wagons suivants.

Si transplaner directement à Pré-au-Lard pour rejoindre Poudlard après sa petite semaine de vacances aurait été bien plus rapide, utiliser le Poudlard Express avait l'avantage d'être moins fatigant. Bien que rallier l'Écosse depuis Londres prenait un temps conséquent, jamais Jae ne s'était ennuyé à bord de la locomotive rouge et cette fois-ci ne dérogeait pas non plus à la règle. Retrouver le train avait fait remonter de nombreux souvenirs à l'anglais et c'était tout sourire qu'il avait rejoint l'avant du train pour s'installer dans le wagon réservé aux professeurs. Il y avait retrouvé avec un plaisir non dissimulé quelques-uns de ses collègues et en particulier, Sarah et Rafael avec qui il avait eu l'occasion d'échanger quelques semaines auparavant. Jae n'avait d'ailleurs pas tenu bien longtemps après le départ avant d'assouvir sa curiosité en les questionnant sur la course à laquelle ils avaient participé.

L'après-midi était passée extrêmement vite et l'ambiance qui régnait à l'avant du train était tantôt studieuse, tantôt propice aux bavardages, et contribuait sans aucun doute au fait que le professeur ne regrettait pas son choix jusqu'à présent. Le professeur de soin aux créatures magiques venait d'ailleurs de lever les yeux vers l'un de ses collègues qui venait de l'interpeller, mais avant d'avoir pu réfléchir à sa question pourtant passionnante, le train s'arrêta brusquement, le faisant froncer les sourcils d'interrogations et tourner la tête à gauche et à droite par réflexe afin d'essayer de comprendre ce qui se passait.

Délaissant son livre, l'anglais se leva à son tour et emboîta le pas à Lancelot en prononçant, « bonne idée, je viens avec vous si vous êtes d'accord ». Il s'arrêta juste derrière lui et tandis que le professeur d'étude des moldus essayait vainement d'ouvrir la porte, Jae se désintéressa quelques instants de lui pour coller son front sur la porte latérale qui permettait normalement de descendre du train pour essayer de voir s'il y avait du mouvement dehors. Il reporta néanmoins très vite son attention sur Lancelot qui reprenait la parole, avant de tourner la tête vers Sarah, les sourcils encore plus froncés. « Oui, pour les portes latérales, c'est logique qu'elles soient bloquées pendant le trajet, pour ne pas descendre... Mais celle entre les wagons, enfin entre nous et les élèves en l'occurrence, elle ne devrait pas, non ? »

Jae est d'excellente humeur pendant le trajet, bavarde avec Sarah et Rafael. Il se montre particulièrement intéressé par la question d'Archibald, qu'il trouve extrêmement intéressante, mais n'a pas le temps d'y réfléchir. Les sourcils froncés d'interrogations, il observe et écoute ses collègues. Il suit Lancelot en direction des wagons des élèves, jette un coup d'œil par la porte latérale pour essayer de voir s'il y a du mouvement avant de reporter son attention sur ses collègues et d'exprimer son interrogation sur le fait que la porte est verrouillée.

Vraiment désolé pour le retard...

Contexte actuel :

❝ Archibald, malgré la douleur lancinante diffusée par sa brûlure, commence par s'inquiéter de l'arrêt du train. Seul le bruit de la vapeur se libérant par à-coup vous parvient de la locomotive. La porte menant aux compartiments des élèves reste close. Sarah peut apercevoir le pont sur lequel le Poudlard Express s'est immobilisé depuis la fenêtre, mais il est plus difficile de voir les wagons suivants. Toujours est-il qu'elle ne constate pas de mouvement le long des rails. Jae, l'oreille collée à la porte latérale ne remarque pas davantage de choses. ❞

La porte ne s'ouvrant pas et après avoir regardé mes différents collègues agir de leurs côtés, je commençai à me poser un bon nombre de questions : que se passait-il réellement avec le Poudlard Express ? Était-ce une attaque visée sur les élèves ? Ou encore était-ce une simple panne ? Mais il aurait tout de même été appréciable d'avoir une prévention de la part du conducteur. Alors, je reportai mon regard au centre de la pièce ?

— Voyez-vous quelque chose sur l'extérieur ?

J'attendis alors chaque réponse de mes collègues même si je préférai me coller à cette porte problématique pour réfléchir à une solution dans un même temps. Si la mécanique magique ne répondait plus et que les élèves restaient seuls, nous devions répondre par la magie pour être certains de trouver une solution. Je n'étais peut-être pas certain que mon idée apportât une réelle réponse à mon propre questionnement, mais apporterait-il un débat assez convaincant ?

— Si tout ce que nous subissons actuellement nous semble étrange, un simple problème mécanique ne pourrait pas en être la réponse. De plus, les élèves n'ont pas accès à la magie jusqu'à leur arrivée à Poudlard. Donc pour les rassurer, ne devrions-nous donc pas utiliser la magie pour nous sortir de là et aller à leur rencontre ou à celle du conducteur ? Que diriez-vous d'un reducto collectif ?

Alliant alors les gestes à la parole, je sortis ma baguette, de ma poche, prêt à toute éventualité si la discussion menait à une solution qui pouvait nous plaire à tous et surtout qui nous permettrait de placer les élèves dans un sentiment de sécurité. Je ne pouvais pas les imaginer cloisonnés dans leurs compartiments sans aucune défense puisqu'ils ne récupéraient leurs baguettes qu'à notre arrivée et attendant de nous que nous réagissions.

— Après tout, en ne prenant aucun risque on est certain de ne pas réussir...

Assez inquiet, Lancelot est prêt à entamer une discussion pour faire utilisation de magie même s'il n'est pas certain que cela soit ce qui aurait de plus efficace. Mais les élèves sont sa priorité.

Archibald, après avoir été surpris par l'arrêt brutal du train en s'inquiétant de la raison, se calma et se renfonça dans son siège, regardant ses collègues s'activer. Les uns essayaient de percevoir quelque chose à travers les vitres et les autres s'alarmaient de ne pas pouvoir ouvrir la porte vers les wagons des élèves. Le botaniste savait qu'il n'y avait aucun intérêt à s'ajouter à ceux qui tentaient de voir dehors et trouvait la porte verrouillée bien plus problématique.

Toutefois, le vieil homme ne paniquait pas : après tout, pouvait-il s'agir d'une simple panne, et pour la porte fermée... il y avait sûrement une raison rationnelle. Ce qui perturbait le plus le professeur était qu'avec tout ce grabuge, il n'avait pas eu les réponses de Jae à ses réflexions.

Lancelot s'exclama alors vouloir lancer un reducto sur une porte. Le professeur Featherstone releva un sourcil, et toujours assis sur son siège, répondit à son collègue professeur d'étude des moldus.

« Je ne vous savais pas autant homme d'action, Lancelot. Mais avant de détruire le Poudlard Express ou d'assommer un éventuel élève qui se trouve derrière, on ne pourrait pas trouver un sort plus adapté pour déverrouiller les portes ? »

Le botaniste laissa sa question sans réponse. Après tout, ils étaient suffisamment grands pour la trouver. Et le botaniste, voyant qu'il restait encore un peu de thé dans sa tasse, la porta à sa bouche pour en boire une gorgée.

Archibald se calme et répond à Lancelot qu'il faudrait essayer des sorts moins extrêmes d'abord, tout en continuant à boire son thé dans son fauteuil.

Sarah qui observait par la fenêtre ne voyait pas grand chose de très intéressant. Le pont semblait vide du moins dans sa partie visible. La remarque soudaine de son collègue d'étude des moldues la ramena vers l'intérieur du wagon. Un reducto collectif ? La Galloise ne put retenir un sourire amusé et délaissa sa vitre à regret. Le paysage était beau tout de même.

" Je rejoins Archibald. Un reducto collectif est une solution pour le moins expéditive. Si nous réduisons le wagon suivant en poussières, ça peut devenir problématique. Le système de sécurité doit être un peu vieillot et toutes les portes traitées de la même façon. Ce n'est certes pas très intelligent mais, à priori, les élèves ne craignent rien. "

Elle reporta son regard sur l'extérieur.

" Tant que personne ne descend du train du moins. Ça a l'air relativement haut. "

Elle observa de nouveau le pont avec plus d'attention avant de reprendre.

" Peut-être pourrions-nous aller demander des informations à notre conducteur avant de rejoindre les enfants ? Si nous n'avons pas de réponse à apporter aux élèves en arrivant, j'ai peur que certains se mettent à angoisser plutôt qu'autre chose. "

Sur ce, la sorcière se dirigea vers la porte menant à la locomotive. À priori, elle était comme d'habitude fermée.

" Bon, je n'y crois pas trop mais, qui ne tente rien n'a rien. C'est sûrement une serrure protégée par la magie... Aberto. "

Après avoir lancer le sort Sarah tenta sa chance en actionnant la poignée.

Sarah garde son calme, répond à Lancelot et tente de déverrouiller magiquement puis d'ouvrir la porte menant à la locomotive.

Ce sortilège n'étant pas dans la liste des sorts en aventures, Sarah lance un Alohomora si ça ne convenait pas.