Wagon 3 - Compartiment 10

Occupants :

• @Jadah Carston
• @Alice Smith
• @Gabrielle Gray
• @Lily Turner

Contexte actuel :

❝ Nous sommes le dimanche 21 avril 2047 dans l'après-midi. Le Poudlard Express devant ramener les élèves ayant passés leurs vacances hors des murs de l'école file vers sa destination. Mais au beau milieu des banalités échangées par les élèves, sa course est brusquement stoppée, secouant quelque peu les occupants du compartiment. Si vous tentez d'ouvrir la porte de votre compartiment, vous constaterez qu'elle résiste et demeure close. ❞

Attention :

• Les règles des RP s'appliquent ici, respectez bien la limite de 220 mots minimum par post.
• Des posts d'évolution du contexte seront posté régulièrement dans le sujet. Veillez à bien les prendre en compte et à préciser vos action en quelques mots à la fin de vos posts pour faciliter le travail des MJ.
• Ce qu'il se passe dans un compartiment peut avoir une influence sur ses compartiments voisins.
• Rappelez-vous que vos baguettes sont aux mains des agents du Conseil qui vous attendent à la gare de Pré-au-Lard !!

J'étais dans le train qui roulait tranquillement en direction de Poudlard. Les vacances de printemps étaient maintenant fini, et elles étaient passées si vite ! J'ai l'impression que c'était hier que je suis sorti de Poudlard Express pour y rejoindre ma mère, mon père et mes deux grands frères.
Mais bon, il ne fallait pas déprimer. Je m'étais bien amuser. En plus, j'avais fait la rencontre d'Alice, une fille de ma maison. D'ailleurs, en parlant d'elle, elle est assise avec moi dans le compartiment de Poudlard Express. Quel hasard ! J'étais super contente de la revoir, sans compter que dans le compartiment il y avait aussi Jad', alors franchement, que demander de mieux. Il y avait aussi une Serdaigle que je ne connaissais pas, mais elle semblait très sympathique.
Alors que tout se passait bien et que nous nous amusions ensemble, le train s'arrêta brusquement et, maladroite comme je suis, je manquai de tomber par terre. Je regardais les filles du compartiments avec de gros yeux, l'air de dire Vous savez pourquoi on s'arrête ?
Mon premier réflexe fut de me lever pour ouvrir la porte, mais elle semblait bloquer malgré mes efforts acharner.
-Etrange, c'est bloquer...
C'est bizarre, d'habitude, le Poudlard Express ne s'arrête que dans les gares et nous étions loin d'une d'entre elle. J'observai les filles, peut-être qu'une d'entre elles savaient quelques choses sur ce qui se passe.

Gabrielle se lève et tente d'ouvrir la porte sans succès. Elle questionne ensuite les filles du regard.

21 avril 2047
2^ème année • 13 ans

—Les vacances s'étaient... plutôt... très mal passées, au final. Vivement qu'on arrive au Château...
—J'étais montée à la dernière minute dans le train, ce qui expliquait le peu de places qu'il restait... Heureusement, trois filles m'avaient acceptées de leur compartiment. Elles se connaissaient toutes. C'était certain. J'avais le sentiment... d’être une sorte d'intruse. Mais elles n'avaient pas l'air dérangées par ma présence.
—Le train filait à toute vitesse vers le seul lieu où j'avais envie d'être. Après des vacances catastrophiques... je n'avais vraiment, vraiment pas hâte de rentrer au Manoir. William s'était montré compréhensif... mais ça me faisait bizarre qu'on se soit autant rapprochés. Un peu de distance ne nous ferait pas de mal.

—Tout allait relativement bien quand... le train s'arrêta. Je m'agrippai de justesse au rebord de la fenêtre malgré le fait que je m'enfonçai dans mon siège. Mon premier reflex fut de porter ma main à ma poche où se trouvait... en temps normal, ma baguette. Évidemment, ces foutus agents du Conseil des Sorciers l'avait.
—Je ne jetai un coup d'œil dehors que d'en un second temps. Je ne savais pas trop ce que je m'attendais à voir... il s'était passé trop peu de temps après notre départ pour qu'on soit déjà arrivés.

—— Étrange, c'est bloqué...

—La dénommée Gabrielle essayait d'ouvrir la porte du compartiment... en vain. On était enfermées. Sans la moindre baguette. Ni la moindre idée de ce qu'il se tramait.

—— On est coincées, je suppose..., soupirai-je en me tassant dans mon siège. Et vu qu'on ne voit personne courir dans tous les sens, on n'est sûrement pas les seules à être coincées.

Lily s'agrippe à la fenêtre lorsque le train s'arrête. Elle peste mentalement contre les agents qui détiennent leurs baguettes. Quand elle voit Gabrielle qui essaye d'ouvrir la porte, elle soupire et en déduit qu'elles ne sont pas les seules à être prisonnières...

Le train avance vers l'école de sorcellerie écossaise.
Jadah est dans un compartiment au fond du train en compagnie d'une gryffone de troisième année, d'une Serdaigle de deuxième année et de sa petite amie, Gabrielle.
Elle a passé des vacances particulières.
Entre le divorce de ses parents, son déménagement à Godric's Hollow, la relation entre son père et la mère de Stacy, retrouver Poudlard et ses amies allaient faire du bien à la jeune Serpentard.
C'est une jeune fille vraiment forte : quand elle a découvert son père et une autre femme, elle a gardé son sang-froid.

Les deux élèves du compartiment que Jadah ne connait pas ont l'air très gentilles.
Sur ses genoux, la brune a sa jeune chatte, Assia.
Elle caresse ses doux poils roux en regardant le ciel à travers la fenêtre du compartiment.
D'un air vague, elle écoute ses camarades bavarder et se raconter leurs vacances.

Soudainement, le train s'arrête et faire trembler le compartiment.
Assia saute des bras de sa maitresse sous la peur et se cache sous le siège.
Jadah se lève et attrape son chat et la blottit dans son écharpe de maison.
Gabi se lève et tente d'ouvrir, sans succès.
- Quoi ? Mais c'est bizarre...
Elle se lève et tente à son tour d'ouvrir la porte en mettant toute sa force.
- C'est chelou.
Elle fouille sa robe à la recherche de sa baguette puis se souvient que c'est le conseil qui l'a.
*Conseil de merde.*
La brune se précipite à la fenêtre pour tenter d'apercevoir quelque chose.

Jadah tente d'ouvrir la porte après Gabrielle puis se dirige vers la fenêtre.

Contexte actuel :

❝ La porte semble bien décidée à rester close. Par la fenêtre Jadah peut constater que le Poudlard Express est arrêté sur un pont. En dehors de cela, rien ne semble sortir de l'ordinaire. ❞

Apparemment, les filles de mon compartiment n'en savait pas plus que moi sur ce mystérieux arrêt du train en plein milieu de la voie. Après avoir essayer d'ouvrir la porte, Jadah s'approcha et tenta a son tour d'ouvrir la porte. Elle avait plus de force que moi, peut-être qu'elle y arrivera pensais-je. Mais en fait, force ou pas force, la porte ne cédait pas. Nous voilà enfermer dans le compartiment numéro 10 du Poudlard Express sans ne rien pouvoir faire.
Je vis Lily soupirer. Elle aussi devait penser qu'on était enfermer ici. Je vis que Jadah, après avoir tenter d'ouvrir la porte s'approcha de la fenêtre. Voyant que je ne pouvais pas faire grand chose, je décidai d'aller me rassoir à ma place en réfléchissant à un moyen de sortir si jamais le temps s'éternisait. Pour le moment, cela ne servait à rien d'essayer de forcer la porte ou de crier pour savoir si quelqu'un était là. Je pense que si nous sommes bloquer ici, dans le compartiment 10, ça doit être pareil pour les autres compartiments, à par bien sûr si nous sommes tellement faible que nous n'arrivons même pas à ouvrir une porte, mais cela ne servirai pas à grand chose je pense. Nous étions tous dans le même pétrin, enfermer dans le train qui refusait d'avancer. Peut-être un problème technique ? Cela me semble peu probable non plus, nous aurions été averti, je suppose...

Gabrielle retourne s'assoir après avoir essayer d'ouvrir la porte et se met à réfléchir à des moyens de sortir si le temps venait à s'éterniser.

21 avril 2047
2^ème année • 13 ans

—Supeeer... On était coincées dans un compartiment, au beau milieu de nulle part. Et on ne savait même pas ce qui se passait. Merlin, qu'avais-je fait pour mériter ça ? En plus, il avait fallu qu'on soit totalement désarmées.
—Sans grande conviction, je jetai un ultime regard par la fenêtre. Je me levai et me dirigeai vers la porte à la suite de la Gryffondor. Il me restait une toute petite flemme d'espoir. Flamme que j'essayais d'entretenir du mieux que je pouvais. Sans quoi je serais sûrement calée sur la banquette à désespérer.
—Je scrutai d'un œil observateur la porte et sa fenêtre. Si seulement... on avait de quoi l'ouvrir. Ou même de quoi la casser...
—Ma tête se posa sur la porte. Tout était beaucoup... trop... calme. Si je pouvais entendre ne serait-ce qu'un bruit qui m'assure... je ne sais trop quoi. Juste quelque chose qui me prouve que la situation n'était pas si désespérée que je le pensais.
—Je guettai le moindre bruit. William devait être dans un de ces compartiments...
—— Dites... éludai-je toujours contre la porte, vous pensez avoir de quoi ouvrir, ou même casser, une porte, dans vos malles ? Ce serait vraiment cool si l'une de vous avait une grosse pierre ou un truc du genre, ajoutai-je en riant.
—On allait s'en sortir. Mais pas en angoissant comme si on vivait nos dernières heures... voire minutes.

Lily se lève après que Garbielle se soit assise et va vers la porte. Là, elle essaye d'entendre des choses, des bruits, qui lui en apprennent plus sur la situation. Elle demande ensuite aux filles si elles ont quelque chose d'utile pour ouvrir ou casser la porte dans leurs malles.

Contexte actuel :

❝ Gabrielle opte pour le calme et la réflexion. L'oreille collée contre la porte, Lily n'apprends rien de plus. Les quelques bruits qui lui parviennent sont trop étouffés pour être interprétés. ❞

—— Bon..., soupirai-je en me redressant. J'aimerais vous dire qu'il n'y a rien à signaler parce que je n'entends rien... mais c'est vraiment pas bon signe.
—Je heurtai violemment la porte du pied.
—Bon.
—S'il fallait en venir à de pareils extrêmes... Merlin, que pouvait-il donc se passer ?
—Si je devais rester coincée jusqu'à la fin de mes jours... il y en a au moins quelques uns à qui ça ferait plaisir. Et dire que je ne verrais peut-être plus jamais mes parents... j'aurais tout à coup préféré les quitter sur une note un peu plus joyeuse.
—Je me rassis à ma place, essayant du mieux que je le pouvais de garder mon calme.
—Les professeurs ! Eux, ils avaient leurs baguettes, non ? Ils-... en fait non. Ils avaient sûrement eux aussi des problèmes. Merlin...
—— J'ai peut-être la solution ! m'exclamai-je en me mettant debout sur la banquette. Will' m'a offert un truc qu'il avait acheté depuis un moment à Pré au Lard, pendant les vacances... Allez savoir pourquoi, il s'est dit que ça me servirait plus qu'à lui. Je ne sais plus comment il a appelé ça... Un couteau... de serrure ?
—Non... ce n'était pas ça. Mais on n'avait pas le temps de retrouver son nom, il nous serait tout aussi utile sans.
—Je tendis les bras vers ma malle pour en vérifier, il me semblait l'avoir pris.

Lily s'en prend à la porte quand elle n'en apprend pas plus sur ce qui se passe. Et après un looong moment de réflexion, elle essaye d'attraper sa valise pour voir si elle a le cadeau de son frère, un couteau de serrurier.

Contexte actuel :

❝ Lily fait main basse sur un couteau de serrurier. Reste à savoir si cela suffira à déverrouiller la porte du compartiment. ❞