Les vacances avaient débuté depuis peu, deux semaines à peu près. A peine rentrée de Poudlard que Bruce m'avait informé de la volonté de mon père que de vouloir m'emmener avec lui à une réception à Berlin, j'avais soufflé. Puis je me suis souvenue que je n'allais pas forcément passer la soirée à jouer la potiche en souriant devant les invités pendant que mon père parlait affaires, me prenant pour un faire-valoir de sa perfection parentale...

J'étais alors montée dans ma chambre et j'avais saisie mon téléphone portable : que ça faisait du bien que de le retrouver après tant de mois ! J'avais demandé à Élisabeth si elle venait aussi à cette réception qui se passait à Berlin, elle m'avait répondu par l'affirmative.

Ainsi me voilà, devant l'hôtel particulier où se tenaient comme très souvent les réceptions à Berlin. Je ne savais pas pour quelle raison cette soirée se tenait et en réalité cela m'importait peu...je rentrais dans le bâtiment aux côtés de mon père.
Il était habillé d'un smoking noir avec chemise blanche et mocassins noirs cirés. La seule touche de couleur était sa cravate qui était d’un vert sapin avec une broche dessus en forme de losange façon émeraude (je ne savais si ça en était un vrai) et aux bordures dorées. Je devais bien l'avouer, il était charismatique et inspirait le respect par son attitude sûr de lui.
Nous passions par le vestibule qui était à l'entrée et y déposions nos vestes, il était déjà vingt heures et quand nous sortirons, la nuit sera fraîche. Je m'arrêtais dans le miroir pour me regarder une dernière fois : mes cheveux étaient pour une fois attachés : les mèches de devant avaient été tressé puis attachés ensemble par une fine pince argentée, le reste des cheveux étaient sagement dans mon dos et légèrement bouclés aux pointes, c'était Margaret qui m'avait coiffé puis m'avait tout simplement aidé à me préparer. Je lissais une dernière fois ma robe noire, j'avais hésité avec une autre robe mais finalement j'avais choisie celle-là car elle avait des motifs argentés sur le bas, elle m'arrivait à peine en dessous des genoux et pour accompagner le tout : une paire de chaussures noires vernies avec de très petits talons et enfin un collier avec un pendentif en argent et des boucles d'oreilles assorties.
Margaret avait insisté pour me faire un léger maquillage : je me retrouvais donc fardée avec un fard blanc irisé et un petit et fin très de liner fait lui aussi au fard puis une encre à lèvre donnant une faible teinte rouge à mes lèvres. Je pense que j'étais plutôt jolie.

- Tu viens ou tu comptes rester devant le miroir ? Demanda mon père

Je ne pris pas la peine de répondre et je le rejoignis devant la porte.
Que la mascarade commence.

Il y avait déjà pas mal de monde, des hommes et des femmes avec parfois leurs enfants, tous parfaitement vêtus. La pièce était toujours aussi jolie : le sol était en marbre blanc, il y avait six colonnes répartie symétriquement par trois et à certains endroit sur les murs des tentures ivoires en velours , tout était dans les tons blanc et or.

Mon père me força à avancer, il avait repéré des gens à qui se présenter, je le suivais et saluais ces personnes en souriant, je devais moi-aussi jouer mon rôle de petite fille parfaite.
"Que tu es jolie" /" Merci monsieur", "Que tu as grandi !" / "Pas tant que ça", "tu travailles bien à l'école ?" / "oui monsieur", "sois fière de tes parents, ce sont des gens biens" / "bien évidemment"

Au bout d'un temps, je vis un peu plus loin, Élisabeth, enfin ! Je commençais à saturer de ses faux semblants.

- Père, je vais me chercher un verre, je commence à avoir soif.

- Oui, très bien vas-y, me répondit-il sans me regarder, trop absorbé par sa conversation

Je me dirigeais dans un premier temps au buffet, je me servais deux trois or d'œuvres, toujours aussi bons ! Je pris aussi le verre que le serveur me tendit : du champomy, "pour faire comme les grands".

Puis je vis de nouveau Élisabeth et la rejoins : j'arrivais dans son dos :

- Bonsoir.

@Élisabeth Willis, je ne vais pas écrire des romans à chaque fois, rassure-toi XD

Aujourd'hui était un grand soir, le premier soir de gala avec Diane.
Depuis leurs rencontre à Poudlard les deux filles avaient partagées quelques textos pour la plus grande joie d'éli qui était très heureuse de connaitre une amie qui connaissait son monde dans sa totalité.

La jeune Poufsouffle avait pris soins de ne respecter aucun code vestimentaire pour le gala de se soir. Elle y allait souvent décontracté, ou simplement. Ce soir elle mettrait un point d'honneur à déjouer les carcans de ses festivité rasoir encore plus ! Il fallait que sa camarade se sente un peu plus a l'aise et moins triste d'assister à la soirée.

Ce soir elle allait s'amuser , quoi qu'il en coute !!

Son jean bleu troué au genou, et son t-shirt " Je suis différente ! sa vous pose problème ?! " ne laisser aucun doute sur le message que comptais revendiquer la jeune fille. Un petit blaser noir et des sandales jaune ( un clin d'œil à sa maison Poufsouffle ) venait compléter sa tenue.
Un petit sac en bandoulière regorgé de petites choses qu'elle avait dénichée pour enflammer la soirée et qu'elle sortirait au fur et à mesure des heures en toute discrétion.

Élisabeth se regarda dans le miroir et mis tout de même une touche de rouge à lèvre rouge, histoire de détourner l'attention.
- Parfait ! Que la fête commence . Avec un rire non dissimulé elle sortie de la maison de location et referma la porte; Sa mère l'attendais déjà dans la voiture depuis au moins 15 bonnes minutes, mais visiblement cela ne la rendait pas impatiente, tant elle avait l'habitude.
La tenue de la jeune fille n'eu le droit à aucun commentaire non plus. Denise était bien trop occupé à pianoté sur son clavier de téléphone pour se rendre compte de quoi que se soit.

Le début de la soirée fut très lassante, rien ne s'y passer comme d'habitude, le flot continuel de présentation, d'éloges et de questionnements.
La soirée ne commença vraiment pour éli que lorsqu'elle entendit derrière elle sa camarades tant attendue;

- Bonsoir.

Éli se retourna immédiatement faisant face à Diane.

- Oh super tu es la !!!! Je commencée à m'endormir ici... Tu vas bien ? Tu est sublime, j'ai fait tout l'inverse moi j'espère que sa va parler derrière mon dos.

Je lui souris et pouffais légèrement, j'avais bien compris au fil des quelques conversations que nous avions eu qu'elle était d'un caractère bien éloigné du mien, elle osait ce que jamais je n'oserai même en cent vies.

- mouis, mais heureusement que tu es là. Je commençais à m'en plus pouvoir de jouer la fille à papa parfaite.

Je regardais sa tenue dont son T-shirt : " Je suis différente ! ça vous pose problème ?! ", et je souris

- T'as des parents vraiment sympas, jamais je ne pourrais m'habiller comme cela pour une réception. Après réflexion même dans la vie quotidienne.

J'imaginais la réaction de mon père si je m'étais présentée devant lui avec ces vêtements, il m'aurait pendu par les pieds depuis le balcon. Bruce et Margaret auraient souris amusé avant que Margaret ne me dise d'aller me changer, me voyant de nouveau comme la petite fille qui piochait dans les armoires des autres, finissant avec les talons de maman, la chemise de papa et la cravate sur la tête.

Un peu dans mes pensées je dis :

- Il faudra un jour que l'on échange nos vêtements...

Je tournais ma tête pour voir si mon père était toujours au même endroit, et la réponse était oui, il parlait toujours avec les mêmes personnes mais il y en avait deux nouvelles, il ne semblait pas que mon absence lui pesait. De toute manière, il avait l'habitude que je m'éloigne de lui au bout d'un moment, il ne me rappelait que rarement vers lui.

- J'hésite entre être contente qu'il me laisse tranquille et d'un autre côté l'amertume de voir qu'il se fiche de ma présence mais m'impose tout de même les réceptions...

Je regardais de nouveau Elizabeth et je vis qu'elle avait gardé sa sacoche,

Je souris de nouveau, lui prit le bras et chuchotais à son oreille :

- Tu m'avais dit que tu me montrerais à quel point, les réceptions n'étaient pas une corvée...j'attend

@Elisabeth Willis

Je suis un peu triste pour diane, je vois bien que la situation la pèse, son père n'agit pas comme il devrait, après tout c'est sa fille pas un objet.
J'avoue que de mon coté, la situation est plus simple, mes parents sont peut être un peu pris et n'ont pas beaucoup de temps à m'accorder mais au moins, il respectent mes choix et ne m'oblige pas à être se que je ne suis pas.

Le fait qu'elle me reparle de ma promesse me fait penser qu'elle veut que cela change, et faire changer les mentalités , sa me connais ici, au château je suis peut être assez réservée et discrète mais chez les moldus c'est autres chose, je ne risque pas mon avenir si je fait des vagues.

Alors c'est parti.... Tu vas t'amuser Diane !

- Tu as raison, je te l'avait promis et je respecte toujours mes promesses ! Il se pourrait que l'on est quelques ennuis si on se fait prendre, tu es OK avec çà ? Ne t'inquiète pas, je n'est rien prévue de bien méchant, mais sa pourrait un peu secouer la calme et la tranquillité de la soirée, c'est se que l'on veut non ? Nous allons leurs montrer que nous ne sommes pas des gentil petit pions, et que s'il ne font pas attention à nous, c'est nous qui allons attirer l'attention. Tu me fait confiance ?

Je veut commencer doucement, ne pas que l'on se fasse remarquer de suite, pour profiter un maximum de notre soirée.
Je sort alors de ma sacoche la première pierre de mon plan d'action : il s'agit d'une toute petite fiole, son liquide jaune très clair ne paye pas de mine, mais mon sourire en dit long sur son effet.

Je regardais la fiole qu'elle tenait dans ses mains, je n'avais pas la moindre idée de ce qu'elle contenait, c'était un liquide d'un jaune clair. Ça ne semblait pas être un produit moldu...était-ce bien prudent de se servir de cela dans le monde moldu ? Certes les tensions entre sorcier et humain étaient faibles en ce moment mais personne d'autre que notre famille proche n'était censé savoir que nous étions des sorcières, pour notamment éviter de nous mettre en danger...

D'un autre côté j'avais envie de m'amuser, ces soirées étaient ennuyantes à mourir et ça serait peut-être une façon de me venger de mon père qui m'emmenait ici alors qu'il se fichait de ma présence...mais je ne voulais pas que cela nous mette en danger. Je voulais vraiment m'amuser, c'était amusant de faire des blagues ou de mettre un peu la pagaille, je l'avais fait un peu à Poudlard et ça m'avait plus, bon je savais qu'ici cela ne passera pas mais au final je m'en fichais...


J'hésitais à faire part de ma crainte à Élisabeth de peur qu'elle se moque de ma couardise, mais je pensais tout de même que c'était important de le faire...

alors d'une petite voix je lui posais la question :

- Dit Élisabeth, c'est un produit sorcier ? Ça risque pas de nous mettre en danger d'utiliser un truc sorcier dans le monde moldu, les gens ne sont pas censés savoir...mais je veux vraiment m'amuser, hein, c'est juste que...je voudrais pas que cela...nous mette en danger, tu vois ? Je fis une pause et je repris : mais oui je te fais confiance, terminai-je en lui souriant.

@Élisabeth Willis

La remarque de Diane me fait sourire; Bien qu'elle veuille changer et voir les choses autrement, elle reste quand même hésitante. Je comprend tout à fait ces craintes mais le jeu en vaut la chandelle.

- Oui c'est un produit sorcier, mais ne t'inquiète pas, personne ne s'en rendra compte , c'est de la décoction hoqueteuse, à part un vilain hoquet, personne ne risquera quoique ce soit; Mais pour discuter c'est plutôt embêtant; Tu sais Diane, une choses que j'ai appris c'est que les moldus, la plupart du temps trouve des raisons à tout, même au choses qui n'en ont aucune.
Pour ne pas paraitre fous, ils peuvent inventer n'importe quoi, du moment que cela reste dans les limite de la normalité; C'est tellement drôle !!


J'avais souvent jouée avec les limites durant les galas, mais à part moi et mes parents, personne n'avait jamais su ;

- Le tout maintenant c'est de réussir à verser quelques gouttes dans un verre ou deux, et d'observer... Le spectacle est bien plus marrant comme ça, regarde et apprend. je prend deux coupe de champagnes et je verse quelques goutte de la potion dans l'une, tout en veillant à rester bien devant les coupes, dos aux invités, pendant mon méfait. Je me retourne et vois ma mere parler à plusieurs collègues, l'occasion est trop belle ! je me rapproche faisant mine de m'intéresser soudainnement à la conversation...

-Quelqu'un veut une coupe ? il m'arrivait souvent de m'amuser à servir les coupes lors de ses évènements, j'avais l'impression d'être plus âgée et peut être aussi par provocation pour ma mère qui n'aimais pas me voir un verre d'alcool à la main si jeune, malgré le fait qu'il ne soit pas pour moi. J'espérais que Diane profitait du spectacle sans être trop anxieuse. J'osais un coup d'œil rapide vers elle, et esquissait un sourire qui se voulait rassurant.

Avec @Diane Ashwood désolée pour le delai de réponse je suis un peu débordé entre les examens et les articles du hufflepost ...

Je l'admire, il n'y a pas d'autres mots qui expriment ce sentiment qui m'habite quand je la vois acter ainsi. Elle est capable de choses que jamais je ne ferais, elle avait un an de moins que moi mais je suis sûre que n'importe qui nous verrait ensemble penserait que j'étais la plus jeune de nous deux. Je la regardais avec cette admiration, un sourire très timide menaçait d'ourler mes lèvres. Elle me regarda un peu et j'espérais qu'elle pouvait lire cela.

Je prenais au buffet une coupe et une autre pour Élisabeth bon pas une coupe d'alcool et des petit-four : le buffet était bien la seule chose qui ne décevait jamais et était pour moi une réelle occupation lors d'un gala.

Une fois fait, je la rejoignis, elle avait rejoint le groupe de ces personnes avec un aplomb que je n'étais pas sûre d'avoir, par contre je rendais honneur à ma maison, je savais ruser et miner l'innocence. Les deux coupes dans une main et les petits-fours dans une serviette dans l'autre, j'atteignis le groupe,

- Éli ! M'abandonne pas comme ça, chouinais-je faussement comme une enfant,
Je lui tendis l'une des coupes puis les petits-fours, et finalement je regardais le groupe que l'on avait rejoint, je ne connaissais personnes mais je fis tout de même les politesses qui étaient demandaient, je souris et je rajoutais :

- Bonsoir, enchantée de faire votre connaissance.

Puis je me taisais, je n'avais rien d'autres à dire, je tournais la tête vers Élisabeth et souriais, j'en étais sûre, on me prendrait pour la plus jeune de nous deux.

@Élisabeth Willis

La situation m'amusais au plus haut point, et en la voyant, Diane avait l'air de plutôt s'amuser aussi, enfin c'est se que j'avais l'impression de voir dans son regard.

Mes coupes trouvèrent preneurs assez rapidement pour mon plus grand bonheur. Je riait intérieurement et la tète de ma mère, qui se demandais surement qu'elle bêtise j'allait encore bien pouvoir faire me donnais encore plus de satisfaction.

Quelques minutes après, des minutes qui n'avait étaient que paroles inutiles et futiles des adultes ici présents, Diane me rejoignis enfin.
Elle avait eu la bonne idée de nous ramener des victuailles.

- Éli ! M'abandonne pas comme ça; Bonsoir, enchantée de faire votre connaissance.

Je pris la coupe et le petits four qu'elle me tendit et lui rendit son sourire lorsqu'elle me regarda.
Je savais bien qu'elle ne connaissait personne , mais j'était contente qu'elle soit venu admirer le spectacle de plus près.
Dans quelques secondes nous allions avoir ....
...un flot de hoquets, la première personne à avoir bu sa coupe commencée à hoqueter ; Au début, cela paru assez discret mais elle fut vite rejointe par son voisin d'en face qui à son tour hoqueta en réponse.
- Vous avaient bu trop vite on dirait ! Ma mère me dit toujours qu'il faut boire de l'eau et arrêter sa respiration pour le faire passer n'est-ce pas mams ? avec un léger sourire qui en disait long, je regardais ma mère et diane l'une après l'autre. Contente que le hoquet est coupés la parole à ses collègues pendant un temps.
Bien sur j'avais pris l'antidote, cette potion je l'avais achetée, je ne savais pas la réaliser encore seule. et dans un souffle je dit à diane :
-je leur met l'antidote ou je les laisse comme cela ?
Plus fortement :
- Je vais vous cherchez de l'eau .... et je fit la route vers le bar, tranquillement , attendant que diane me réponde, bien décidée à ne pas me dépêcher.

Je n'avais pas réalisé que l'une des personnes du groupe auquel nous nous étions joints était la mère d' Élisabeth. En regardant un peu plus cette femme, c'est vrai qu'il y avait un air en commun ne serait-ce que par leur cheveux foncés et des traits du visage en commun. Je me demande si on peut savoir que je suis la fille de mon père comme ça aussi ?

Élisabeth me demanda doucement si l'on mettait l'antidote puis parti vers le buffet, je m'excusais auprès du groupe et je m'échappais pour la rejoindre, arguant que j'allais l'aider avec les verres, pour éviter tout accident. Sans courir, je la rattrapais,

- Oui, mis à part jacasser, ils n'ont rien fait. Je fis une pause et je repris, je ne savais pas qu'il y avait un antidote, je pensais qu'il fallait attendre que l'effet se termine. Oh et d'ailleurs, tu l'as fais toi-même la potion ?

Je cherchais un peu mon père, je le vis du coin de l'œil dans un groupe, il s'était un peu déplacé et je remarquais qu'il n'avait plus de coupe à la main, peut-être le moment, je me venger en lui donnant une coupe piégée, mais j'avais un peu peur, si Élisabeth avait l'air de bien s'entendre avec sa mère enfin plutôt d'avoir une relation mère-fille. Je ne me leurrais pas, j'étais secondaire pour mes parents, peut-être un peu moins pour ma mère, je ne devais pas être ingrate, on passait toujours de bonnes vacances en famille, seulement...je ne les connaissais en réalité pas plus que ça, je savais au fond de moi que appeler mon géniteur "père" ou "monsieur" reviendrait au même, pas forcément avec ma mère, elle pouvait être un peu étouffante d'amour, un moyen de compenser j'imagine. Alors, je ne savais pas comment mon père pouvait le prendre, si je lui jouais un tel tour devant des personnes qui pour lui étaient importantes, dans tous les cas, je ne risquais rien sur le moment, j'avais la conviction que jusqu'au retour à l'hôtel, j'avais immunité...

- Dit Éli, elle dure combien de temps la potion sans antidote ?

@Élisabeth Willis

Le jeune Poufsouffle était amusée de la tournure que prenait les évènements, mais elle sentait que Diane gardée une certaine culpabilité au fond d'elle, ce n'était pas le but de la soirée, elle voulait que Diane s'amuse;
Elle se pressa donc de répondre aux questions de la jeune fille espérant la rassurer un peu.

- Oui oui il y a un antidote, il ne faudrait pas que sa dure trop longtemps sinon on se feraient repérer à coup sur et la soirée serait top vite fini, ma mère comprendrais le problème se serait beaucoup moins drôle. Avec un grand sourire elle lui raconta comment elle se l'était procurer , la décoction étant bien trop difficile à réaliser pour des enfant de leurs âges.

Apres avoir un peu rassurée son amie, elle la vit regarder en direction de son père, elle avait le regard loin et pensif. Lorsqu'elle eu enfin fini sa rêverie, elle lui demanda d'un ton déterminé combien de temps durait la potion sans antidote et se revirement de situation commencais à beaucoup plaire à élisabeth.

- Je pense qu'elle peut durer des heures, voir dans de très rares cas des jours. Pourquoi ? Avec un grand sourire, comprenant plus ou moins la pensée de sa camarades, elle la fixa dans les yeux.... Toi tu as une idée en tête ?

@Diane Ashwood