Mardi 6 octobre 2048

Sarah avait assez peu dormi cette nuit là, du fait d'un service de garde et du sommeil qui avait décidé de ne pas vouloir se pointer aux bonnes heures. Elle avait néanmoins accordé à son réveil matin poilu, le brave Mousufl, ses gratouilles matinales habituelles avant de se lever en baillant et de prendre la direction de la grande salle pour un petit déjeuner qui, elle l'espérait, la requinquerait.

Sur le chemin, par habitude et professionnalisme, elle passa par la salle des profs et par le panneau d'affichage de l'école. Depuis quelques temps, elle avait noté la publication régulière de messages étranges de la part de son collègue de botanique. Le petit mot du jour, car il y en avait quasiment tous les jours, bien qu'elle n'ait pas vérifié la chose en pointant, elle en était presque sûre, fit lever les yeux à la sorcière. Après avoir soufflé en secouant la tête, la professeure de sortilège ne trouvant rien de primordial sur le panneau, avait repris sa route vers son petit déjeuner, se perdant de nouveau dans ses pensées. Merlin... De toute évidence, il y avait dans les serres des plantes qui faisaient des effets étonnants... Annoncer une surprise sur un panneau d'affichage tout en demandant à ce que cela reste secret, c'était un comble tout de même non ? C'était même complètement hallucinant. Elle s'imagina soudain la future scène avec un Owen gêné de recevoir toute cette attention et en même temps, déjà au courant que ça allait arriver. Elle imaginait déjà le sourire moustachu du botaniste, frétillant de joie de la réussite de son superbe coup, alors que tout Poudlard avait lu l'information et, à mesure que le film se déroulait dans sa tête, elle songeait que tout de même, son collègue avait un grain. En tout cas, il manquait parfois cruellement de sens commun et...

La sorcière pouffa, ramenant sa main sur sa bouche par réflexe pour étouffer un début de rire. Elle sentit cependant monter en elle une hilarité comme elle n'avait pas ressentit depuis longtemps. Ce message c'était vraiment le summum de la bêtise. Les élèves pourraient faire ça pour leurs soirées interdites, ça simplifierait les choses pour tout le monde : NOUS ALLONS FAIRE UNE BÊTISE CE SOIR À 21H, VENEZ NOMBREUX ! Cette pensée acheva totalement la professeure de sortilège qui explosa de rire dans son couloir. Un bon fou rire comme on en a trop rarement. Morte de rire, répétant en boucle dans sa tête l'entièreté de ce scénario foireux, elle finit par s'appuyer contre le mur pour tenter de se calmer.

Ce RP est libre tant que vous restez cohérent. Si vous êtes un élève, plus particulièrement un élève que Sarah ne connait pas bien, ne vous attendez pas forcément à une grande discussion de sa part. Vous pouvez juste passer si vous le souhaitez. Si vous êtes un adulte, il est possible qu'elle tente de discuter... Je dis bien tente. Si vous êtes Sigmund, ça va être compliqué...

6 Octobre 2048
Couloir – Poudlard
2^ème année

Levée de bonne heure comme à mon habitude, je traverse tranquillement les couloirs menant à la grande salle l'air distrait, observant les armures et les quelques tableaux accrochés au mur. Parfois, j'en remarque un posé de travers et cela me fait grimacer, mais je n'ose pas le redresser. Cela gênerait probablement ses habitants, et je n'ai pas envie de me faire réprimander par une vieille sorcière buvant son thé la tête à l'envers. La scène est plutôt drôle à imaginer et un sourire étire mon visage. Peut-être que cette même dame aurait une affreuse pustule sur le nez, ce qui lui enlèverait toute crédibilité. Elle pourrait même avoir de nombreux cheveux grisonnants, mais un trou chauve au milieu de la tête, comme un moine. Je souris de plus belle face à l'image qui s'impose dans mon esprit.

Un éclat de rire m'interrompt soudain, et je m'arrête, regardant aux alentours. Il n'y a personne mais je n'ai pas rêvé, je suis sûre d'avoir entendu quelqu'un rigoler. Est-il possible qu'il ou elle ait lu dans mes pensées ? Mais non voyons, il n'y a pas de légilimens à Poudlard et encore moins de télépathe. Ou en tout cas, pas à ce que je sache. Je n'espère pas, ce serait bien embêtant si des gens pouvaient savoir ce qu'il se passe dans ma tête.

Prudemment, je m'approche de la source du rire qui a repris de plus belle. Quel n'est pas mon étonnement lorsque je vois Miss Priddy appuyée contre un mur, le visage hilare ! A-t-on versé plusieurs élixirs d'euphorie dans son thé ? Ou peut-être lui a-t-on lancé un Rictusempra ? Intriguée mais légèrement inquiète car cela ne ressemble pas à ma professeure, je m'approche lentement d'elle. Arrivée à son niveau, je lui demande, un léger sourire sur les lèvres :

« Bonjour... Tout va bien Miss ? Qu'est-ce qui vous fait rire comme ça ? »

Ma curiosité piquée, savoir ce qui la mise dans cet état ne serait pas de refus. Mais peut-être qu'après tout, elle s'est vraiment pris un sort. De Peeves, peut-être.

Bonjour

Quand Carole se déplaçait, c'était à l'affût, quasi-toujours. Elle n'aimait pas que le contrôle de la situation lui échappe, une situation qui glissait était comme un aveu d'échec. Echec au moment de prévoir que la situation pouvait glisser, échec dans la mise en place d'une action pour empêcher le glissement de la situation. Pour elle, le hasard n'était pas un plaisir, le hasard était un risque. Aussi, elle cherchait à aborder toutes les situations avec en tête le pourquoi, le comment du présent et les éventuels développements du futur.

Seulement, il était tôt ce matin, les couloirs étaient par chance calmes et peu fréquentés - ce qu'elle adorait -, et Carole louvoyait dans les escaliers pour descendre sans cette attention accrue habituelle qu'elle accordait aux choses. Aussi, elle manqua de percuter une élève [Ashley] qui s'était arrêtée net au milieu du couloir. Rrrrrrrr. La Serpentard se frotta les yeux dans un mouvement vif, pour se remettre les idées en place et relever son niveau d'attention, visiblement insuffisant.

Une professeure en train de rire, et une élève en train de s'inquiéter du rire. Carole se pinça le bras d'une main. Elle était pourtant convaincue de s'être levée ce matin, d'avoir fait sa toilette, d'être montée jusqu'à la volière déposer son courrier en profitant du calme du matin et d'être en train de redescendre... ses rêves devenaient de plus en plus absurdes et de plus en plus réalistes décidément. Seulement, le rêve n'était visiblement pas près de se dissiper et Carole cligna à nouveau les yeux face à la professeure hilare et l'élève qui ne l'était pas, en vain.

Comme les enjeux de la situation résistaient à ses capacités d'analyse, Carole resta encore quelques instants sur place, en retrait, attentive aux mouvements et paroles à venir.

Carole descend de la volière par les escaliers, manque de percuter @Ashley Houston, ne comprend rien à la situation qu'elle prend pour un rêve. Et reste encore quelques instants dans une tentative de la voir prendre sens dans son esprit.

Ce six octobre, Diarmuid avait finit sa garde de nuit vers sept heures et avait passé le relais à Ruby à ce moment là. Après un court temps d'échange sur le calme quasi plat de la nuit où effectuer une ronde s'était avéré être un moment presque palpitant pour faire la causette à quelques tableaux insomniaques et fantômes en vadrouille continuelle, le médicomage s'était rendu dans la Grande Salle pour prendre un petit-déjeuner. Ensuite il comptait simplement passer récupérer quelques affaires dans son appartement de fonction avant de filer droit vers Londres et squatter le bureau d'Annaëlle à Fleury et Bott. Oui, il aurait aussi pu choisir de dormir dans un lit, mais il avait pu somnoler dans la nuit et se trouvait être fatigué, mais pas au point de trouver le sommeil. Autant changer d'air tout en restant au calme pour avancer sur des projets personnels et profiter de pouvoir voler une étreinte ou une embrassade à la jolie rousse de temps à autre. Ah! Et confier le cadeau d'anniversaire de son meilleur ami aussi, pour qu'il puisse l'avoir avant midi.

Sorti du temps de restauration, l'irlandais grimpa les escaliers d'honneur puis chemina jusqu'à l'infirmerie. Mais son trajet fut interrompue par un rire soudain alors qu'il passait dans un couloir. Et ça, c'était un rire d'adulte ou du moins de grand adolescent. Une fraction de tour sur lui même et il put découvrir la professeur de Sortilèges en proie à ce qu'on ne pouvait pas nommer autrement qu'un fou rire. Et quel fou rire! C'était un de ceux qui était communicatif même si les élèves autour semblaient plutôt interloqués. Quoique lui même ne savait pas pourquoi sa collègue était dans cet état, cela méritait probablement enquête, aussi il s'avança et, tout sourire - impossible de faire autrement vu la propagation du sentiment joyeux, merci les neurones miroirs - s'adressa à la galloise non sans avoir saluer les deux jeunes filles avant. "Bonjour misses. Bonjour Sarah, cette journée semble commencer sous de bons auspices. Est-ce qu'un partage de ce qui est si drôle semble possible?" Entre deux hoquets bien entendu.

Carole arqua un sourcil, une nouvelle voix d'adulte avait résonné, qui saluait le trio déjà assemblé. Elle tourna sa tête vers le nouvel arrivé - visiblement l'infirmier. Pas que Carole le connaisse de très près, mais il fallait toujours disposer du maximum d'informations, car aux yeux de la Serpentard, à Poudlard, monde sans gallions, celui qui avait le plus d'informations et le plus en amont avait le pouvoir en sa possession.

Carole n'était pas la camarade adorée, celle qu'on aimerait tous avoir comme meilleure amie, qui dit bonjour avec un grand sourire et la chaleur d'une assurance naturelle, pas celle qui a cette aura de journée lumineuse et se prend avec un naturel badin au jeu conventionné des interactions et contre-interactions avec chacun des individus rencontrés. Non, Carole était plutôt cette élève solitaire aux apparitions rares, celle qu'on redécouvrait des années après sur la photo de classe en se disant qu'ah oui, elle avait bien été là, celle-là.

Mais la Serpentard pouvait s'intégrer car elle était utile - elle avait des connaissances scolaires, et parfois extra-scolaires suffisantes pour être estimée comme utile occasionnellement, et à ce titre pas chahutée. Aussi, en regardant quelques instants l'infirmier, elle rassemblait toutes les connaissances qu'elle avait pu volontairement ou involontairement collecter à son sujet. Comme autant d'outils d'analyse prêts à être utilisés, ou autant de conjonctures à potentiellement réfuter.

Elle répondit à son salut sobrement, poliment : "Bonjour Mister O'Belt". Et par un pivotement souple, reprit sa position d'observation et écoute attentive de la professeur de sortilèges, la question qui l'intéressait étant aussi celle que l'infirmier avait posée, et dès lors appelée, comme explicitée, à sans doute recevoir une réponse dans les instants à venir.

Carole répond au salut de Mister O'Belt et attend attentivement la réponse à la question de l'infirmier.

De toute évidence, les élèves commençaient à affluer vers la grande salle pour le petit déjeuner. Sarah vit avec un certain étonnement plusieurs gamines s'agglutiner autour d'elle, tels des grinchebourdons autour d'un pot de mélasse. Elle n'avait pourtant rien d'un pot de mélasse... Après une grande inspiration, elle réussit à calmer un instant les soubressauts qui agitaient sa poitrine.

" Rassurez-vous mesdemoiselles, tout va pour le mieux. Et même plus que mieux, du moins pour moi, songea t'elle, en se retenant vainement de pouffer. Filez donc manger avant qu'il ne soit trop tard. Ce serait dommage de commencer la journée l'estomac vide. "

Et préparez-vous pour LA surprise ajouta t'elle mentalement replongeant aussitôt dans une quinte de rire irrépressible. Elle jeta un coup d'œil vers l'infirimier, tâchant de l'inviter à traîner un peu. Si elle pouvait partager avec lui les raisons de cet excès de bonne humeur, elle ne pouvait pas expliquer aux élèves que de toutes évidences, ce brave Sigmund était un peu gâteux voir un peu zinzin en bonus à la base. Elle décida néanmoins entre deux hoquets de lui souffler un indice en attendant le départ des trois petites.

" Tu es passé par le panneau d'affichage ce matin ? Tu as vu l'Annonce du jour ? "

La Surpriiise ! Ce début d'explication suffit à relancer son rire, forçant la sorcière à se taire et a se concentrer sur sa respiration si elle escomptait réussir à aller manger un jour. Si déjà les élèves pouvaient vaquer à leur occupations, une petite conversation avec l'infirimier lui permettrait sûrement de vider son sac et de se calmer. Quoique songea t'elle en essuyant les larmes qui coulaient maintenant ses joues alors qu'elle riait de plus belle.

Carole haussa les épaules. Il y avait visiblement une délimitation entre les adultes et les enfants, comprendre tout ce qui s'agitait entre 11 et 18 ans. Et elle était douloureusement rappelée dans la catégorie inférieure des deux, celle des moindres privilèges. Aurait-elle voulu grandir plus vite ? Elle ne le savait pas. Aurait-elle voulu avoir le droit de comprendre ? Sûrement, déjà.

Et la Serpentarde, en descendant d'un pas fluide l'escalier, s'imaginait ce que cela ferait, d'avoir comme pouvoir l'invisibilité. Ce que cela ferait, de pouvoir être n'importe où n'importe quand, de pouvoir tout observer et appréhender sans être empêché. Tout ce qu'elle choisirait de découvrir si ce pouvoir lui était conféré. Qui présenterait le plus d'intérêt à discerner. Et une fois l'information obtenue, qu'est-ce qu'elle en ferait. De riche d'informations, deviendrait-elle riche de gallions ?

Son ego un peu remis de la secousse infligée, Carole arriva dans la Grande Salle, dans l'intention d'aller boire un jus, et chiper un petit pain et une pomme pour les emporter dans un endroit tranquille pour manger, et méditer. Rah oui, pas de doute, elle préférerait être invisible que bien visible et insignifiante. Et jetant les miettes de son petit pain aux oiseaux dans la cour de l'Horloge, elle rassemblait les morceaux de son plan. Et la représentation de sa puissance à venir en pensée essuyait la blessure de l'impuissance en réalité.

Carole entend ce que dit Miss Priddy et poursuit son chemin vers la Grande Salle.

A voir le visage de la professeur de Sortilèges, Diarmuid n'imaginait pas une seule seconde qu'elle puisse aller mal. Aussi, la remarque à destination des élèves le fit sourire et il appuya d'ailleurs, après avoir croisé le regard de Sarah qui l'invitait à la suivre; "Vous devriez avoir juste le temps de manger avant vos cours si vous ne trainez pas." Il emboita ensuite le pas de sa collègue toujours hilare, quoi qu'elle semblait parvenir à faire bonne figure. Il se demandait vraiment ce qui la mettait dans cet état et finit par se souvenir qu'elle était de veille elle-aussi. Mais ce n'était pas la première fois qu'il croisait la galloise au sortir d'une nuit où l'un et/ou l'autre avait arpenter le couloirs du château pendant quelques heures et jamais il n'avait constaté un truc pareil?

- "Le panneau d'affichage?!" S'étonna le plus jeune. "Non je comptais y passer en revenant de ma matinée de repos. Je dois voir Anna." Dit-il dubitatif tout en réfléchissant à ce qui pouvait être aussi hilarant à ce point sur le dit panneau. Le jeune homme fit donc marcher ses souvenirs, qu'avait-il pu lire de saugren... "Sigmund?" Le plus enfant de tous les adultes de ce château? "Quelle idée il a eu cette fois?" S'inquiéta à moitié l'irlandais qui se souvenait du traquenard qu'avait été le distributeur. Encore qu'il devait être rassuré non? Si Sarah en riait c'est que ça ne devait pas être dramatique!

Après un réveil des plus doux par son compagnon et une merveilleuse surprise à l’occasion de ses vingt-cinq ans, deux billets pour aller visiter le musée du chocolat en Belgique, Owen avait un peu à contrecoeur quitté l’appartement pour se rendre à Poudlard. Car si c’était son anniversaire, il était tout de même tenu de venir travailler.

Mais à peine était-il arrivé et commençait-t-il à prendre la direction de la bibliothèque qu’une certaine agitation attira son attention. Des cris, ou plutôt des rires incontrôlables ? Instinctivement il avait tourné la tête dans leur direction et fait quelques pas, persuadé que c’était un mauvais coup de la part de quelques élèves qui s’en seraient pris à un autre à coups de Rictusempra. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant qu’il s’agissait en réalité de sa collègue ! Cette dernière était tordue de rire à quelques mètres de lui, Diarmuid était à ses côtés et ainsi que quelques petits curieux.

- Sarah ? s’étonna-t-il tout en s’approchant de la professeur, restant toutefois à une distance respectable de deux ou trois mètres. Qu’est-ce qu’il t’arrive ? ajouta-t-il dans un sourire qui commençait à drolement s’étirer à force de l’entendre et la voir dans cet état. Mais l’anglaise ne semblait pas en mesure de pouvoir parler tout de suite, aussi adressa-t-il un regard interrogateur à son meilleur ami quelques secondes plus tard. Par Merlin, quelle espèce de bête l’avait donc piquée ?


Bouh

Je suis rapidement rejointe par une Serpentard qui ne prononce pas un mot, mais qui je suis sûre est aussi curieuse que moi de voir ce qui a bien pu mettre la professeure de sortilèges dans un tel état. Cette dernière n'a d'ailleurs toujours rien dit lorsque l'infirmier arrive. Je réponds à son salut par un signe de tête et suis contente de le voir lui aussi poser à peu près la même question que moi à Miss Priddy. Le rire continue pendant quelques secondes encore, et lorsqu'elle ouvre la bouche pour commencer à parler, mes espoirs de savoir ce qui la fait rire autant augmentent puis... sont anéantis.

La réponse de ma DDM me déçoit, mais je ne peux pas lui en vouloir. Il faut croire qu'il y a des choses qu'un adulte ne partagerait pas à un enfant de douze ans, aussi drôles soient-elles. Je n'ai cependant aucune envie d'aller manger et me retiens de lui répliquer qu'il serait dommage de commencer la journée l'estomac vide pour elle aussi et pour reprendre ses mots. Je ne dis cependant rien, ne voulant pas mal continuer la journée mais surtout ne voulant pas m'attirer d'ennuis. Surtout que l'infirmier appuie les propos de Miss Priddy en nous disant de nous dépêcher.

Je me plie à contrecœur à leur volonté et suis les pas de la Serpentard qui a déjà commencé à continuer son chemin vers la grande salle. Je la rattrape en trottinant, ne voulant pas faire la fin du trajet toute seule. Et puis qui sait, peut-être qu'elle voudra bien élaborer des théories avec moi sur ce qui a pu mettre la professeure dans cet état...

Fin pour moi aussi, je vais suivre de loin et avec attention la suite de ce rp