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12 oct. 2013, 13:58
 05/2039  Bataille dans la grande salle
Ambre détourna les yeux de l’armure. Elle laissa son regard se balader dans la Grande Salle. C’était peut-être la fin. La fin de tout. Une fin précipitée. Une fin qui n’avait pas été appelé. Elle voulait revoir la Grande Salle. Peut-être pour une dernière fois. Oh et puis zut. C’était beaucoup trop facile de se laisser vaincre comme ça sans rien faire. Peut-être, mais que pouvaient-ils faire ? Eux, pauvres petits élèves sans défenses qu’ils étaient. Ils avaient bien tenté d’aider leurs professeurs en lançant tel ou tel autre sort mais en vain. Cela n’avait fait qu’empirer les choses. Ou peut-être pas. La deuxième année regarda la scène qui se déroulait sous ses yeux, en simple spectatrice. Tout comme la plupart des autres élèves. Mais les professeurs, elles, ne chômaient pas. Le professeur Abercallie venait de toucher de plein fouet l’auror, qui fut projeté contre les portes de la Grande Salle, mais aussi les tables, les bancs, tout ce qui se trouvait dans la salle, et même les vitraux explosèrent sous le choc du sortilège. La jeune fille sentit un souffle glacé entrer dans la salle, qui venait lui fouetter le visage, comme pour la punir d’avoir touché sa directrice de maison. Mais qu’importe. Le froid était peut-être là mais il ne changeait rien à la situation. Toujours entouré des bras de l’armure, Ambre put apercevoir Goodheart. Elle avait sa baguette en main et la pointait en direction des corbeaux. Ou plutôt du professeur Swan. Ils avaient disparu. Disparu en l’air mais bien présent au sol. Tous figés. Ambre voulut ouvrir la bouche pour dire quelque chose à la serdaigle mais elle fut coupée dans son élan par une voix sortant de l’armure. Enfin, elle le pensait. Vraiment.

« Aucun enfant ne devrait avoir à souffrir par la faute d'un adulte. »

Ambre voulait y croire. Mais cela sonnait quand même faux. Pourquoi avoir fait tout ceci alors. Pourquoi pourquoi pourquoi pourquoi. La jeune fille sentit sa gorge se nouer. Elle essaya tant bien que mal de se tourner pour apercevoir l’auror. Elle aperçut, ou cru apercevoir, une larme rouler le long de sa joue. C’étaient-ils tous trompé ? C’étaient-ils trompé de camp ? N’aurait-il pas mieux fallu toucher ce foutu Gallion pour être en sécurité ? Ambre n’avait aucune réponse. Aucune. Et ce n’était pas faute d’avoir essayé d’en trouver. Et pourtant. Tout cela semblait tellement absurde. La juene préfète sentait une colère monter en elle. Mais pas une colère comme elle avait l’habitude d’avoir avec ses parents, comme quand elle avait fait une bêtise et qu’elle était punie. Non. Quelque chose de plus fort. Elle s’énervait vraiment. Elle voulait savoir. Savoir ce qu’il se passait. Savoir ce que voulait vraiment l’auror. Savoir s’il leur mentait. Savoir s’il voulait vraiment le bien des élèves. Et tout ceci donna ce qui suivit. Ambre commença à donner des coups de pieds des coups de poings dans l’armure qui se trouvait devant elle. Elle ne voulait pas être protégée. Enfin si. Mais pas par cette armure qui était sous les ordres de l’auror.

« DÉFONCE-LES TOUS », Monseigneur Endive • « Le souffle des Poufsouffle jamais ne s'étouffe » • Batteuse des Frelons
12 oct. 2013, 22:56
 05/2039  Bataille dans la grande salle
Nouméa savait qu'elle était une bonne sorcière, non pas par ses qualités humaines, mais magiques. Ce n'était pas pour rien, après tout, qu'elle était professeur. Mais parfois entre la théorie, et la pratique, le fossé se creuse. La jeune française avait toujours lu beaucoup, souvent, des manuscrits anciens. C'était, d'ailleurs, dans la quête du savoir, que la jeune femme, tout juste diplômée, était partie à la recherche du savoir dans les méandres du monde sorcier. Et qu'elle avait trouvé ce qu'elle recherchait. Le Savoir. Non pas l'Ultime Savoir, mais une douce sagesse qui lui avait beaucoup apporté. Seulement, toute la philosophie du monde ne pouvait l'aider dans une telle situation. La jeune femme avait fait preuve d'une puissance qu'elle avait longtemps dissimulé, mais qu'elle ne pouvait plus, dans une telle situation, garder au fond d'elle même. Elle voulait dompter l'air, brûler l'eau, faire trembler la terre et danser avec le feu. Mais cette fois, la française avait fait basculé la Grande Salle dans une ambiance un peu plus sinistre. Les vitres cassées laissaient le vent jouer avec ses cheveux blancs, les bancs, les tables renversées témoignaient de l'ampleur de la soirée, tout comme les plumes noires qui parsemaient le sol de la pièce.
Nouméa sentait la magie couler dans ses veines, elle sentait son pouls battre par la puissance de son sort, elle sentait l'euphorie de la victoire. Mais, elle ne devait pas y céder.

Aaron Coolidge était collé aux portes de la Grande Salle, le visage tordu par la douleur. Vulnérable, il ne pouvait bouger sans esquisser une grimace
.
«  - Qui s'y frotte, s'y pique. »
Nouméa faisait glisser sa baguette entre ses doigts, laissant le temps s'écoulait, la douleur s'accentuait. Le professeur réfléchissait calmement, étudiant toutes les options qui s'offraient à elle. La française savait qu'il fallait en finir, et que le moment était opportun.
Stabilisant sa baguette dans sa main gauche, Nouméa tendit le bras en avant. Elle inspira une grande bouffée d'air, mais jamais elle ne put libérer cet air emplis de peur, d'anxiété.

Tandis qu'elle s'apprêtait à lancer son sortilège, la jeune femme baissa soudainement son bras. Elle n'était pas lâche, bien sur que non. C'était une Gryffondor après tout. Mais elle ne pouvait pas. Non pas par pitié, il ne fallait pas se méprendre. Cet homme austère, qui avait mis en danger des élèves, qui les avait mis en danger, ne lui inspirait aucune pitié. Mais Nouméa voulait savoir. Elle voulait juste savoir pourquoi. Pourquoi s'aventurer ici ? Que voulait il ? Pourquoi cette année avait été si étrange. Le professeur ne pourrait jamais oublier comment elle avait sauvé, de justesse, une élève des flammes. Elle s'était toujours demandé pourquoi la Salle sur Demande avait été rongé par un sortilège d'une telle puissance. Un sortilège que seuls des sorciers expérimentés connaissaient. Des sorciers expérimentés comme celui qui se trouvait devant elle, affaibli. Cela faisait un point commun.
L'ombre étrange, qui hantait certains des cauchemars de la jeune femme, l'avait prévenu que les Aurors ne se trouvaient plus à leurs postes un peu avant l’événement. Deuxième point commun, Aaron était auror. La jeune femme savait qu'elle pouvait trouver de nombreux autres concordances si elles fouillaient sa mémoire. Mais elle voulait qu'il s'explique.


«  - Pourquoi ?  » Fut le seul mot que la jeune femme réussit à dire. Elle voulait savoir. Mais elle savait bien que le savoir avait un prix et c'est pour cela que Nouméa ressera ses doigts autour du bois poli de sa baguette, prête à revenir sur sa décision, s'il le fallait.

» On a tous nos cicatrices, certaines sont à l'extérieur et se voient, d'autres à l'intérieur et invisibles. «
« Griffes et Crocs, Griffes et Cœur, Gryff vainqueurs ! »
13 oct. 2013, 12:59
 05/2039  Bataille dans la grande salle
L'explosion provoquée par le sortilège de Nouméa avait tout balayé sur son passage. D'une pichenette, le professeur de Sortilège avait envoyé balader l'auror, dont les furoncles avaient tous éclaté dans un mélange de pus et de sang, le décor et, au plus grand désespoir de Louise, la baguette de cette dernière. D'une pichenette, elle avait montré qui était le patron ici et qui dominait le combat.
Effroi, impuissance, désarroi, parmi tous les sentiments que la jeune femme aurait pu éprouver à ce moment là, celui qui domina dans le coeur de la française fut le plus terrible de tous: la colère. L'envie de sauter à la gorge de l'auror pour le punir d'avoir fait disparaître la tranquillité qu'elle chérissait tant en cet endroit béni qu'était Poudlard pour une exilée comme elle. D'avoir effrayé et inclut dans la bataille des enfants qui devraient être dans leurs dortoirs à rêver de Quidditch et de leurs prochaines bêtises, au lieu d'être là. Quels rêves allaient il faire maintenant? Les mêmes qu'elle? Ces cauchemars remplis de violence et d'atrocités, de rappels de ce à quoi ils avaient assisté dans la Grande Salle de leur second foyer?
Soudain, l'envie de vengeance se transforma en une envie bien plus terrible encore. Une envie qu'elle n'avait pas ressenti depuis... Jamais, en réalité. Une envie insidieuse, qui s’immisçait en elle comme le venin d'un serpent, une envie qu'au grand jamais la douce Louise n'aurait imaginé éprouver. Une envie animale. Une envie de sang.Et Louise sut pourquoi cette envie était là. Le loup réclamait de sortir du bois, de hurler à la Lune son instinct bestial qui la pousserait elle, pauvre humaine qu'elle était, à agresser l'auror, crocs et griffes tout dehors, afin d'apaiser cette soir de sang.
La jeune femme, terrifiée à l'idée d'en venir là et de dévoiler cette nature qu'elle ne soupçonnait pas, serra les dents douloureusement touten évaluant ses options. Laisser sa forme d'animagus prendre le dessus et espérer garder le contrôle? Inimaginable. Louise savait très bien qu'elle ne se transformait pas assez souvent pour réussir à garder le contrôle sur le loup qui dormait (du moins jusqu'à il y a peu) en elle. Une seule solution se présentait donc à elle, une seule porte de sortie pour éviter un massacre qu'elle serait la première à regretter. Et cette porte, cette toute petite porte en bois, elle pouvait l'atteindre en peu de temps.
Tout ce qu'elle souhaitait, c'était réussir à atteindre la sortie avant de faire quelque chose de regrettable, et surtout que les armures seraient là pour protéger les élèves si quelque chose de malheureux arrivait. Crispée par la concentration et la volonté de garder la tête froide, Louise se mit à ramper vers la porte, non sans jeter un dernier regard sur Aaron et sur Nouméa qui semblait avoir elle aussi abandonné l'idée d'en finir avec la vie du pauvre homme sans défense. Consciente qu'elle n'arriverait peut-être pas à se maitriser à temps, l'animagus décida de mettre sa collègue en garde avant de prendre la fuite, pour le bien de tous. Trop de sang avait coulé, trop d'horreurs avaient été montrées à ces enfants innocents, il fallait que cela cesse.


" Nouméa, si les choses partent en vrille pour moi... Mettez moi hors d'état de nuire. S'il vous plait. "

Sur ces joyeuses paroles, la brune se mit à ramper sur le sol afin d'atteindre la petite porte. Passant à côté des élèves, elle vit qu'une Serdaigle contemplait satisfaite le professeur Swan désormais libre de tous les corbeaux qui l'assaillaient avant de regarder d'un air de pitié l'homme sans défense qui agonisait contre les portes de la Grande Salle. Brave était cette jeune fille et en la regardant, Louise sut que sa décision était la bonne. Il fallait cesser le combat, cesser la violence et le carnage qui avait lieu. Il fallait qu'elle parte de la pièce désormais ravagée, cela devenait crucial.
29 oct. 2013, 19:07
 05/2039  Bataille dans la grande salle
Pourquoi ? La question tonnait dans sa tête avec une force croissante. Pourquoi était-il entré dans cette salle à la tête d'une véritable armée ? Pourquoi avait-il aidé son frère à s'échapper ? Pourquoi avait-il craché sur toutes ses valeurs au profit d'une seule ? Pourquoi ? Pourquoi ? ... Sa cervelle en était pleine à craquer. Et pourtant la réponse demeurait évidente, mais enfermée à double-tour au plus profond de son coeur. Aaron ne croyait pas au hasard ; il croyait au destin avec un grand D. Tout ce qu'il avait appris, tout ce qu'il avait enduré tout au long de ces années, l'avait conduit à cet instant précis. Il en était désormais intimement convaincu. Pourtant... pourtant il ne pouvait s'empêcher de ressentir cette appréhension folle, cette pression indescriptible se refermer comme un étau sur son coeur. C'était l'évidence même que lui imposait un dénouement écrit il y a longtemps par une main avisée. La mort l'accueillerait à bras ouverts ce soir, ça ne faisait plus aucun doute. Car quelque chose dans cette salle l'avait désarmé. Quelque chose qui existait encore, malgré l'aigreur de ce monde : la compassion.

*

C'est la compassion qui retint la main du professeur Abercallie. Cette même compassion qui l'empêcha de porter le coup de grâce. Pourquoi ? Avait-elle demandé. Pourquoi avait-il entreprit tout ça ? Ou peut-être pourquoi montrait-il soudainement si peu de désir d'en terminer avec leur vie ? Pourquoi même poser cette question ?

« Parce que quelqu'un devait le faire, répondit l'auror d'une voix entrecoupée. »

*

Pourquoi ? Pourquoi le professeur d'Orville rampa jusqu'à la petite porte située derrière l'estrade principale, l'ouvrit, et la referma derrière elle ? Pourquoi fuir l'inévitable ? La compassion. Toujours. La compassion que pouvait éprouver la jeune femme pour toutes les personnes qu'elle aurait pu mettre en danger si elle avait décidé de rester plus longtemps dans cette salle en compagnie de son irrémédiable désir de chair et de sang. La connaissance aussi. La connaissance de ses propres limites. Celles que tout animagus apprenait à définir très tôt au cours de son existence et qui jalonnait, ensuite, comme une clôture ornée de fil barbelé, toute sa vie. La porte refermée, le soulagement gagna la jeune femme. Cela ne dura certes qu'une fraction de secondes, mais une fraction assez longue pour freiner sa soif lorsqu'elle se métamorphosa en louve.

*

Quelque chose dans la compréhension des uns, réveilla les instincts des autres ; cette part animale qui dort paisiblement au font de chaque être humain. Ambre Baxrendhel laissa cet instinct s'exprimer, déferler comme une vague enragée sur l'acier. L'armure aurait pu ne pas bouger, demeurer de marbre, mais elle s'écroula comme vaincu par un courant d'air. Toutes les autres se figèrent. Pas dans leur posture même, car rien n'était plus figé que ces armures, mais quelque chose en elles, quelque chose que tous les élèves en présence perçurent avec l'acuité d'une flèche tirée en plein dans le mille. L'enchantement avait été relevé. Les armures n'étaient plus que de simples tas d'acier qu'une toute aussi simple impulsion du doigt suffirait à repousser. La réaction de la jeune Poufsouffle le fit entendre à tous dans la Grande Salle.

*

Aaron écouta l'une des armures dont il avait jadis pris la possession s'étaler sur le sol à grands fracas. Un pincement lui étreignit le coeur lorsqu'il repensa à cette longue nuit dans le Département de Métamorphose, ici même, à Poudlard. Cette nuit où son destin bascula sous la coupe de son mentor, de son idole de toujours, le professeur McGonagall. " Vous ne serez jamais en mesure d'ensorceler cette armure, si vous n'apprenez pas à voir par elle, à vous fondre dans sa peau comme si c'était la vôtre. Réessayez. " Il avait essayé plusieurs fois, d'innombrables fois même, et pourtant la directrice d'alors avait continué de croire en lui et de le soutenir. A l'aube, les fracas cessèrent. L'armure cessa de se démanteler sous ses sortilèges et un sourire illumina le visage de la vieille femme qui trouva encore la force de l'applaudir. Que penserait-elle de tout cela, si seulement elle avait pu tout voir de cette funeste soirée ? Sans doute, l'espérait-il au moins intimement, qu'il avait su acquérir la plus importante des valeurs de sa maison : le courage de protéger les faibles au détriment de sa propre vie.

Une autre larme roula le long de sa joue. Un poids incommensurable lui frappa la poitrine. Et tout le monde vit ces étranges filaments rouges naître le long de ses avant-bras et remonter comme des serpents jusqu'à son cou pour l'enserrer avec la vigueur d'un anaconda affamé. Il prit là sa dernière bouffée d'air frais et mourut après un supplice d'une vingtaine de secondes. Cette mort choqua et nul doute qu'elle hanterait les esprits de tous ceux qui se trouvaient là. Mais plus encore, elle frappa les professeur Abercallie et Swan qui reconnurent à cet enchantement funeste, la marque rompue d'un Serment Inviolable.

Nouméa, Ellana, Louise la bataille est terminée. Vous avez acquis une grande victoire, évitez des blessures graves, et pourtant quelque chose en vous demande justice. L'auror était tiraillé entre le désir de vous tuer, et autre chose, quelque chose que vous ne saurez peut-être jamais. Il y a peut-être encore une chose à faire. Une seule. Nouméa, Ellana, que faites-vous ?

[1] Vous laissez Louise avec ses problèmes pour le moment, déplacez le corps de l'auror avec dignité, puis le recouvrez d'une cape avant de renvoyer tout le monde dans les dortoirs sous bonne garde : la vôtre.
[2] Vous remettez de l'ordre dans la Grande Salle et invitez les enfants à s'asseoir autour d'une boisson chaude que vous aurez fait apparaître, puis vous tenterez d'ouvrir la porte franchit par Louise afin de comprendre ce qui l'a amené à fuir.
[3] Vous vous approchez de l'auror et restez un long moment accaparé par l'expression de son visage, paisible et décontractée, avant de se pencher vers lui pour fouiller ses poches visqueuses à cause du pus.

Louise, tu te dis que tu aurais du le sentir venir, que tu n'avais plus consulté depuis un petit moment déjà, mais ce qui est fait est fait, et ta part animale te domine, même si une infime partie de ta humaine t'empêche de défoncer la porte pour faire un carnage dans la Grande Salle. Aucun choix ne s'impose à toi, ta conclusion sera la meilleure des conclusions pour un personnage que tous auront apprécié suivre sur ce site.

Les enfants, vous êtes en vie. C'était peut-être impensable au début, mais vous êtes en vie. L'auror n'est plus une menace, les armures non plus. Même les corbeaux se sont volatilisés. Un mort vous fait face depuis l'autre bout de la salle et une aventure qui marquera à jamais votre existence s'inscrit au plus profond de votre mémoire. Aucun choix ne s'impose à vous, votre conclusion sera celle de tous les enfants qui assistent aux horreurs de la guerre sans toutefois pouvoir la comprendre.

[ Pas de date butoir cette fois-ci. Les enfants, attendez seulement la décision des professeurs Abercallie et Swan avant de poster vos conclusions - puisque selon leur choix, vous serez peut-être amené à revoir votre post. Dernier post pour chacun donc, et j'apporterai un point final à ce chapitre fort en émotions. Merci à vous tous qui avez offert à ce chapitre le dénouement le plus improbable que j'avais pu imaginer, mais à mes yeux le plus humain. Vous étiez parfaits ! ]

LES CONTES DE L'ŒIL
(En vadrouille jusqu'au 3 janvier inclus)
18 janv. 2014, 13:02
 05/2039  Bataille dans la grande salle
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