Alice retourne à la volière, elle attend maintenant trois lettres puisque la réponse de Tilly, c’est ajouté, elle a tellement hâte. Elle n’arrivait toujours pas à y croire, avoir son amie d’enfance dans la même école, le même monde qu’elle était un pur bonheur. Comme un rêve.

Arrivant la volière, elle reçoit seule une lettre de Tilly, elle est un peu déçue pour ses autres réponses manquante, mais ravie que son amie ai pris un peu de son temps pour répondre !

Oui, j’attends deux autres lettres importantes donc je me rends tous les jours souvent à la volière en ce moment. Pour ta petite sœur, même si je ne suis sa famille biologique, ce qui compte, c’est l’amour que je lui portes. Quant à ta grande sœur, ça lui passera, c’est l’âge.

Quant à la cuillère, ce n'était pas très gentil tout de même. Et tu te rappelles que j’ai évité la deuxième qui est du coup tombée sur le directeur ? Enfin ça, c’était avant qu’on ne soit collées et punies de nettoyage.

Quant à ta mère, je te rappelle notre devise petite, “rien ni personne nous arrête, même pas un monstre dévoreur de chaussette !”. On y arrivera un jour, ne t’en fait pas !

La lionne était ravie de sa lettre, bien rédigée. Elle la regarde encore quelques instants assez fière avant de la donner à un fidèle hibou et de murmurer l’adresse où il devait se rendre. Elle avait tellement hâte de recevoir un nouveau hibou de sa part !

Tilly montait lentement les marches de la Volière cela faisait un moment qu'elle ni était pas aller au fond d'elle elle savait déjà que Alice lui avait répondue elle lisa calmement la lettre qu'elle avait devait elle lui répondre ? Elle décida que oui et commença à écrire sur un parchemin.

Chère Alice j'ai vue que tu avais rapidement répondue à ma lettre et d'ailleurs je pense que nous ne sommes plus obligée de nous envoyer des lettres par hiboux car nous nous voyons de plus plus souvent ( enfaîte tous les jours ).
Par rapport à ce que tu m'as écris ma grande sœur ne changera ça veut dire qu'elle est en crise d'adolescence depuis sa naissance et quand à ma petite sœur ne t'inquiètes pas ça lui est passée et ma mère je suis sûre que si je ne lui envoie pas une lettre bientôt elle va me ramener de force à la maison j'en ai la chair de poule et quand à nos bêtises la plus importante avait été celle du pot de de peinture ma mère sent est toujours pas remit d'ailleurs.........
Bon je te laisse même si on va se revoir tout à l'heure !!!

La gryfonne était fière de sa lettre même si elle l'a trouvée un peu brutale quand même, en sachant qu'Alice est sa meilleure amie.
Elle dicta à l'hibou où il devait aller et partie en sautillant.

Tu étais arriver à Poudlard hier et tu avais donc choisi d'écrire une lettre à tes parents pour leur raconter ta rentrée.
Tu montes actuellement à la volière, ta lettre déjà rédigée à la main.
Avant de l'envoyer via un hibou, tu la relis calmement.

Hey Dad and Mom,
J'espère que vous vous en sortez sans Gabriel et moi =)
Je vous envoie cette petite lettre pour vous donner des nouvelles de ma rentrée au château.
Déjà, j'suis restée avec Victoria dans le Poudlard Express et on était juste toutes les deux c'était génial.
Par contre, Gabriel m'a exaspéré : il a passé tout le trajet à se vanter dans son compartiment avec ses copains.
Je le sais parce qu'il parlait tellement fort qu'on l'entendait de notre compartiment.

Après, durant la répartition, j'étais très calme pendant que toutes les personnes stressaient autour.
Au final, à peine le choixpeau avait effleuré mon crâne, il hurla le nom de ma maison.
Laquelle ? Et bien celle des verts et argent, les serpents !
J'suis trop contente, cette maison est géniale et me correspond à 100%.
Donc voilà,

Gros bisous à vous deux,
Jad' < 3

Tu écris ton adresse accompagnée de "Birmingham" sur l'enveloppe à l'encre et attrape un hibou.
Après avoir accroché la lettre avec une cordelette à la patte d'un hibou brun, tu regardes l'animal s'envoler en direction de ta première maison.

Sortant de sa poche un petit morceau de papier conservé depuis trop longtemps et qu’il avait sculpté de la forme d’un sablier – sans se l’expliquer, il associait cette fillette avec quelque chose de l’ordre de cet écoulement duel à la fois fluide et granuleux – pour s’assurer de ne pas oublier sa provenance, il l’ouvrit pour découvrir la marque du temps passé : n’ayant rien fait pour en protéger le contenu, au fil des aléas l’inscription au crayon était devenue un mélange illisible de graphite. Au moins sa mémoire n’était-elle pas affectée et grâce au pliage évocateur il se savait capable de retranscrire l’adresse à l’un des messagers de l’école.

Elizabeth Merrow,

« Poudlard a autant de visages que de regards portés sur lui. » Te souviens-tu de l’enfant qui t’as prononcé cette phrase aux Falaises ? il a un peu grandi depuis. Tu souhaitais que j’écrive, pourquoi à l’occasion d’une évolution dans ma perception du château, voici cette lettre.

Au terme de l’année d’études passée, j’ai très sérieusement étudié l’éventualité de ne pas finir mon cursus, je n’avais toujours pas l’impression que ce lieu m’apportât quoique ce soit, et le coup d’état du printemps dernier et ses répercussions étranges n’allaient pas pour arranger ma vision de l’avenir en un monde sorcier semblant courir à sa perte. C’est pourquoi je me suis livré cet été à une expérience très particulière, une sorte d’épreuve de la dernière chance pour déterminer ou plutôt trouver une raison solide d’y revenir en m’inspirant de ce que j’avais dit en personne. J’ai établi le cadre propice à provoquer la rencontre avec le regard que j’étais incapable d’avoir. De l’espoir, j’en avais certainement, puisque rien ne me garantissait qu’en outre d’exister, cette personne daigne le partager. Que je t’écrive depuis le lieu que j’étais prêt à ne plus revisiter prouve que d’aussi improbables miracles qu’un Regard mutuellement offert s’accomplissent. Il me suffit même présentement de tourner la tête pour observer sa gravure dans la pierre posée comme un adieu avant de disparaître et que je n’en retrouve la porteuse.

Sans entrer dans le détail des échanges, j’ai ainsi découvert une face de Poudlard correspondant à un regard résolument distinct du mien et notre retour a été permis par l’élaboration collaborative d’un tiers visage qui en rendît la configuration nécessaire. Je ne viens plus au château pour apprendre de lui mais à travers une sensibilité qui n’est pas la mienne, que j’ai choisie et qui m’a choisi. Elle m’ouvre à des perspectives vers lesquelles nul autre n’aurait su me guider. Voici le premier enseignement que je souhaite partager, certes subjectif : qu’un seul cadre scolaire soit imposé à une population aussi étendue que celle des îles Britanniques est dommageable mais en contrepartie nous avons accès à autant de personnalités venant de tous les cadres imaginables en un même lieu. Faisant abstraction de la hiérarchie, les apprentissages les plus importants ne viendront pas des professeurs mais des pairs apportant avec eux une part d’histoire absolument unique, une façon totalement propre d’appréhender leur magie et ce monde si changeant, pour peu qu’elle ne soit délaissée en cours de route. Le second, sans doute celui qui m’a poussé à t’écrire précisément à ce moment, est essentiel : dans l’enfance se trouvent une souplesse et une malléabilité extrêmement précieuses et qui se perdent trop vite. Il y a cette expression, ‘battre le fer tant qu’il est encore chaud’, l’absorption des regards extérieurs est beaucoup plus délicate une fois le métal refroidi, alors qu’elle peut être salvatrice. C’est pourquoi il est vital de conserver le plus longuement possible sa fluidité de jeunesse. Contrairement à une bonne partie des châtelains, tu as encore ce trésor qui commence à nous être arraché à l’âge auquel nous atteignons cette enceinte.

Si tu ne devais retenir qu’un élément de cette lettre : Prends soin de ton Éveil.

Sincèrement,
Avec mes Salutations-en-Roche,

Hjúki Anastase

Composée en un seul jet, l’adolescent ne se relut qu’en diagonale avant de rouler étroitement son papyrus, ne lui faisant souffrir le pli, et de murmurer la localisation où sa missive devra être livrée, en comptant sur la famille de sa destinatrice pour ne pas avoir déménagé entre-temps.

Alice se dirige vers la volière. Elle ne pensait même plus aux autres lettres, la lionne avait juste hâte de voir si Tilly avait répondu à sa dernière lettre. Vu la rapidité de son amie d'enfance, elle était presque sûre qu'un hibou l'attendait !

La Gryffonne attrape en effet une lettre, elle en reconnaîtrait l'écriture entre mille ! Folle de joie, la jeune fille l'ouvre à ma va vite, la déchirant à moitié. Elle était si contente d’avoir des nouvelles, elle se presse donc de la lire.

Okay Til ! Rendez vous au lac à 17 h 30 ?
++

La lettre d’Alice n’était pas bien longue, mais elle n’allait pas tarder à voir Tilly pour lui parler de tout ce qui c’est passer en son absence. Elle avait si hâte ! Son amie d’enfance devait bien avoir changé ! Pourtant, la lionne avait encore le souvenir de la petite brune aux yeux noisette.

De ce qu’elle avait entendu, Tilly avait intégré Gryffondor, Alice espérait de tout cœur qu’elles soient dans le même dortoir pour papoter tous les soirs ! Elles se conteraient toutes leurs aventures, leurs mésaventures. Leurs farces, leurs bêtises. Leur enfance commune, leurs souvenirs.

Toutes les fois où elles avaient imiter un singe pour faire peur à la soeur de Tilly qui n’avait pas un mental d’acier… Alice aimait bien se pendre la tête en bas avec son amie, ce qui, à parement n’était pas très salutaire. Enfin, ça c’est avant de glisser et de finir avec une montagne sur front ! Alice aimait se mettre un peu en danger quand personne ne pouvait les protéger, avoir une sensation de liberté mais elle ne mêlait pas Tilly à tout ça.

Alice part vite faire ses devoirs pour avoir un peu de temps à accorder à Tilly ! Elle pourrait même lui faire visiter un peu ses lieux, ce qui lui rappellerait son arrivée au château. La Gryffonne se rappelle alors des moments où elle visitait Poudlard en écoutant de la musique.

Koko arrive à la volière. La chouette noire de son père, Diana, pince légèrement sa main et lui tend une lettre de sa patte. Koko caresse l'animal, prend la lettre, la déplie et lit :

Chère Koko,

Je suis heureux que tu es été repartie à Serpentard. Tu pourras suivre les pas de la famille. Je te conseille pour commencer de bien choisir tes amis, qui pourront t'être utile plus tard, et de te faire bien voir par tes professeurs, donc, fais tes devoirs !
Quand tu auras le temps, tu pourras passer à la bibliothèque et emprunter : "Nobles par nature : une généalogie des sorciers". C'est un très bon livre qui pourra se révéler utile à l'avenir.
Ta tante te souhaite la santé etc. Ton cousin te dis bonne chance et ta cousine te félicite pour ta rentrée à Poudlard.

Amitiés,
Kave, ton père.

Koko soupire et fourre la lettre dans sa poche. Elle sort une plume et un encrier et rédige sur un vieux morceau de parchemin une réponse :

Cher papa,
Je suivrai tes conseils, mais pas les pas de la famille. Je veux faire ce que je veux, et tu le sais très bien. Quant à mes fréquentations, je les choisis très bien, merci.
Bonne journée,

Amitiés à toute la famille,
Koko

qu'elle accroche à la patte de l'animal et s'en va.

Elle avait si souvent pensée au jour où elle enverrais sa première lettre .
Cela était tellement plus beau que se qu elle aurait pu imaginer.
Des chouettes et des hiboux partout , la vue de la volière sur le parc était grandiose , bien que son vertige lui faisait un peu appréhender, elle ne regretter pas d'avoir oser surmonter sa peur.
Il fallait absolument qu’Élisabeth partage cette grande nouvelle avec sa famille. Ses parents et sa sœur était moldus et les différentes maisons de Poudlard leurs étaient un peu abstraites mais il fallait qu'elle leurs raconte .

La jeune fille n'avait pas encore de chouette à elle, mais elle allait emprunter pour l'occasion une petite chouette hulotte de l'école .
Elle était toute grise avec juste le bec blanc.
Avant de l'envoyer, la désormais jeune Poufsouffle voulue vérifier que tout était bien noter en relisant une dernière fois son parchemin.

Volière de Poudlard,
3 septembre 2046,

Coucou family,

J'espère qu'à la maison tout va bien ? Ici je ne me remet toujours pas de la chance que j'ai !!!
Tout est plus incroyable que je ne l'imaginais.
La cérémonie de répartition à eu lieu et je suis à Poufsouffle !!!! Je suis tellement heureuse. Cela me correspond parfaitement.

Je pense que je vais réussir à m’intégrer, j'ai déjà une grande sœur et une marraine pour me soutenir loin de vous et loin de ma maison. Elles m'aide beaucoup à me retrouver dans tous ces changements.

Papa tu serais au anges ici, le parc est magnifique, ont entend les oiseaux, le bruissement des feuilles avec le vent et la nuit les étoiles sont tellement visible et pures.

La nature est partout autour de nous.

Maman, toi aussi tu serais très bien ici , et Mary la cuisine est vraiment très bonne. Je regrette que tu ne sois avec moi pour y goûter.

J'espère avoir de vos nouvelles assez vite , se n'est pas si compliqué d'envoyer une lettre par hibou vous verrez.

Vous me manquez beaucoup.

A très vite

Élisabeth

Elle accrocha la lettre à la patte de la petite boule de plume, et la regarda partir.

La lettre qu'Archibald avait reçue d'Arthur lui avait fait très plaisir. Il l'avait tout de suite été en trouvant la chouette hulotte qu'il reconnut aussitôt. L'amitié qu'il entretenait avec l'ancien Poufsouffle et qui datait de plus de 60 ans avait connu des hauts et des bas, certaines distances qui les avaient écartés et qui s'étaient toutes finalement soldées par des retrouvailles sincères. Revoir son ami d'enfance quelques jours auparavant avait été pour le botaniste un bon moment, bien que trop court.

Après écriture de sa réponse, le professeur se rendit dans la Volière, où il confia sa lettre à Klaus. Il effectua une dernière relecture.

Très cher Arthur,

Comme tu le penses correctement, les feuilles jaunies sont sûrement dues à un surplus d'arrosage. Si tu réduis ton eau, cela résoudra le problème. Concernant les crocs de tes Géraniums... J'ai cru comprendre que tu les avais depuis un moment déjà. Peut-être est-ce tout simplement l'âge de la plante qui entraîne une faiblesse dentaire. Essaie de mélanger un peu de saumon ou de fromage au terreau de la plante, ce sont des aliments riches en fluor, calcium et phosphore, utile pour la robustesse des dents.

Ce fut pour moi également un plaisir de te voir au château, j'aimerais que nos rencontres se fassent plus fréquentes. Je viendrai à l'occasion au Chaudron, la pause d'avril me le permettra sans aucun doute.

Porte-toi bien également.
A très vite,

Archibald

Le professeur referma alors l'enveloppe et l'attacha à la patte de la chouette qui s'envola alors.

@Diane Turner

La jeune sorcière s'installe sur son lit, et sort de son petit sac :

Une plume, un pot d encre noire, un parchemin parfaitement lisse et un livre, le plus grand de sa collection. Elle pose délicatement son parchemin et commence à écrire. Elle tente de faire le moins de tâche possible afin que la lettre soit soignée. Elle veut faire bonne impression auprès de son professeur, afin que sa requête soit acceptée plus facilement.

Bonjour professeur,

Est il possible de faire mon anniversaire dans la serre froide. J'aimerais faire mon anniversaire près de l'arbre anti pesanteur , nous ne sommes que 2 , promis on ne met pas le bazar et on ne jetera aucun papier par terre.

Est il possible de s asseoir dans l herbe près de l arbre anti pesanteur ? Pas dessous bien sur, sur les bords. Mon anniversaire se déroule le 17.10.45 , peut-on vous aidez a faire quelques choses dans la serre ce jour là, j'aimerais que mon anniversaire soit particulièrement magique. ! Merci a vous

Une fois rédigé, elle dépose sa lettre sous son lit et attendra le lendemain pour monter à la volière. Elle n'a plus qu'à croiser les doigts et attendre, imaginant les tâches ludique que réserve cette potentiel journée d'anniversaire. Mélissandre est vraiment impatiente de recevoir la réponse de son professeur.

@Archibald Featherstone

Cela faisait déjà deux nuitées que la jeune Gryffondor était arrivée au château et elle n'avait vraiment pas vu passer les deux premiers jours. Les évènements nouveaux avaient fait oublier à la petite sorcière qu'elle avait promis d'écrire à sa mère, qui n'avait malheureusement pas pu être présente lors de son départ, pour lui raconter comment s'était passée sa rentrée. Onyx savait bien que celle-ci culpabilisait à chaque fois qu'elle ratait un évènement important de la vie de sa fille à cause de ses voyages d'affaires, mais la fillette ne lui en voulait pas ; elle comprenait qu'il s'agissait là d'impératifs. La veille, elle s'était donc posée auprès de la cheminée crépitante de sa salle commune afin de lui écrire sa lettre, qu'elle comptait déposer le lendemain. Elle n'avait d'ailleurs pas encore découvert la volière et c'était là l'occasion de pouvoir s'y rendre.

En se réveillant au matin, comme à son habitude très tôt, Onyx sauta de son lit et enfila son uniforme. Elle attrapa son sac et descendit les cinq étages qui la séparait de la Grande Salle, où elle y prit un morceau de gâteau qu'elle enveloppa dans un mouchoir. Direction la volière !
Elle grimpa quatre à quatre les marches de la tour d'Astronomie, s'arrêtant de temps à autre pour observer le paysage à travers les fenêtres. Qu'est-ce-que c'est haut, dis donc ! Une fois arrivée à la volière, elle déposa sa lettre dans l'une des pattes d'un hibou qu'elle avait amadoué avec des miettes de gâteau.

Maman,

J'espère que ton voyage en Allemagne se passe bien. Me voici enfin officiellement étudiante à Poudlard !
Excuse-moi de t'écrire si tard, mais je n'ai pas vu le temps passer : il y a tellement à découvrir ici. Je suis heureuse de t'annoncer que je suis Gryffondor, comme toi tu l'as été auparavant. Cette maison me plait beaucoup, et je suis heureuse d'avoir trouvé un petit lit douillet au coin du feu. Les cours ont également débutés, et les professeurs ne lésinent pas sur les devoirs : me voici déjà avec une liste plus longue que mon bras de choses à faire ! Mais à vrai dire, même les devoirs ici me paraissent divertissants.

Papa m'a dit que tu étais triste de ne pas avoir pu m'accompagner à la gare, toi qui est si habituée aux voyages et aux trains. Ne sois pas déçue, nous rattraperons ça la prochaine fois.

Je t'embrasse,
Onyx

Lorsque le hibou s'envola, il laissa tomber l'une de ses plumes qu'Onyx ramassa. Elle s'assit sur le châssis d'une des ouvertures et sortit de son baluchon son calepin et son scotch, afin d'y coller la plume sur l'une des pages. La sorcière prit ensuite son bout de gâteau qu'elle dégusta tout en admirant la vue, en prenant garde qu'aucun volatile ne vienne lui voler son petit-déjeuner.

Elle soupira. Rien n'était plus beau que ce qu'elle était entrain de vivre.