Après avoir, pour la seconde fois, lancé le sort de Déverouillage, Faustine parvint dans la pièce suivante, quelque peu soulagée. Une pièce de traversée et tout s'était plutôt bien passé ! Elle reprenait confiance peu à peu et la pluie qu'elle aperçut dans la deuxième pièce ne la découragea même pas. Une lettre de flammes l'averit qu'elle devait être sèche pour ouvrir la porte suivante avant de se consummer, la laissant seule avec la pluie battante.

Pour l'instant elle n'était pas mouillée, s'étant tenu dans l'encadrement de la porte, mais comment pouvait-elle traverser la salle sans devoir être mouillée ? Il aurait fallu un parapluie et il n'y en avait visiblement nulle part. Faustine sentit soudainement sa baguette dans les mains et se rapela qu'elle était une sorcière, qu'elle n'avait pas besoin de parapluie : elle pouvait en faire apparaitre un à sa guise ! Elle sentit ses joues rougir sur le coup mais ne put s'empêcher de sourire.

Se rapelant que le temps était précieux, elle se hâta de fermer les yeux, saisit sa baguette, réussit à se reconcentrer presque immédiatement et commença les étapes du sorts. Elle s'imagina de façon précise traverser la salle sous son parapluie magique, en étant ainsi protéger des goutelettes. Elle laissa enfler ce sentiment de protection qu'elle devait avoir pour lancer le sort en essayant de chasser ses autres émotions. Sa baguette à la main, elle effectua la gestuelle, laissant monter puis redesecendre sa baguette et son bras et prononça la formule :

- UMbrella !

Avait-elle réussie ? Faustine ouvrit les yeux et tendis sa baguette sous la pluie pour le vérifier, pleine d'espoir.

Un parapluie apparait mais sa forme est plutôt étrange. Il semble être plus long que large, répondant probablement à votre envie d'aller rapidement de l'avant. Bon... si vous marchez en crabe, ça passera !

La nouvelle pièce est vide. La porte vous l'avez atteinte sans problème mais, vous avez beau tirer ou tenter de la déverrouiller, elle semble comme collée. Bien, il va falloir mettre fin au sort qui la protège d'une façon ou d'une autre.

Avec un soupir de soulagement quand ma baguette s'éclaire, je balade mon regard sur mes alentours. Un drap blanc me fait face, cachant, j'imagine, une porte ou ouverture quelconque, qui marquerait la fin de l'épreuve.

Sauf que je comprends rapidement quel est le sortilège que je devrais utiliser ici. Après tout, j'ai bien révisé ma théorie à défaut de pouvoir réussir la pratique.

Enfin, j'ai eu du bol jusqu'à la.

Tomber sur deux sorts que je sais lancer, c'est déjà du bol, fallait pas pousser non plus, apparemment.

Finalement, je lève ma baguette, hésitant. Je sais théoriquement comment lancer ce sort. Et je sais aussi que la visualisation en est un aspect très important.

Moi, j'en ai un peu peur. C'est comme si on me mettait un truc dans les mains sans que je sache si c'est un couteau à beurre ou une scie sauteuse. Pourquoi prendre le risque de le lancer, hein ?

Les mains légèrement tremblante, je réalise le mouvement de baguette, comme un w dont on aurait mangé la fin en énonçant la formule. Intonation sur la deuxième syllabe et le e se prononce.

- Diffindo

Quand rien ne se passe, je me détends presque. Lançant un regard anxieux autour de moi, comme si je pourrais apercevoir Miss Priddy dans un coin, je finis par réessayer une fois, sans qu'il ne se passe rien de nouveau.

Finalement, je m'avancer vers le drap. Sauf si il est attaché ou protégé par la magie, je peux sans doute l'enlever à la main. Après tout, j'ai aucune envie d'attendre sans rien faire qu'on vienne me chercher. Y'a des points pour l'ingéniosité.

J'essaye de trouver l'attache du drap pour tenter de l'arracher, le décoller ou que sais-je. Si jamais il n'y en a pas, de non-magiques, en tout cas, je tenterais de le déchirer avec les mains. Si il est bien tendu, il doit être possible de le casser en mettant de la pression dessus, nan ?

Et non... La pression ne suffit pas. C'est finalement votre enseignante qui fait tout bonnement disparaître le drap pour vous laisser sortir de votre pèce. Elle vous félicite pour votre début d'examen et vous encourage à persévérer d'avantage quand un obstacle s'oppose à vous.

L'examen est terminé. Vous pouvez, si vous le souhaitez, rédiger un post de clôture ou éditer celui-ci.

Nous sommes six dans le couloir en ce début d'après-midi : Anna, Éli, Cheryl, Alyssa et Erin sont là. La porte va s'ouvrir d'une seconde à l'autre et je me sens, à l'instar des autres, nerveuse à l'idée que ce soit mon nom qui va peut être être appelé. C'est normal, c'est un exam et j'ai envie de bien faire. J'ai envie aussi que cet exam soit déjà derrière moi et ne plus avoir à y penser et à m'inquiéter de m'en sortir ou non. Comme depuis le début de la semaine, comme à chaque examen, je m'adosse au mur de pierre et tâche de me concentrer sur ma respiration. Profonde et régulière. Voilà comment elle doit être. Car sans cela, ma gestion des émotions et donc ma prétention à lancer correctement un sort sera amoindrie. Et il est hors de question que cela soit le cas. Non. J'ai bien révisé en m'entraînant sur chacun des sorts appris depuis l'an dernier. J'ai relu les gestuelles et incantations inscrites sur mes fiches de révision. Et je suis déterminée. Oui, déterminée à faire de mon mieux. Comme ça, pas de regrets.
Il y avait bien un sort qui était plus difficile à lancer mais ça s'trouve, j'tomberais pas dessus.
Lorsque la porte s'ouvre et que j'entend mon nom, je relève la tête, sentant ma gorge se serrer et les regards de mes camarades sur moi. J'expire lentement et leur adresse un sourire se voulant motivé. Okay, let's go !

J'entre dans la salle de cours, cherchant Miss Priddy du regard. Je la trouve au milieu de la salle. D'ailleurs cette-dernière a comme... Attendez, cette porte-là, sur la droite, elle était pas là avant ! Je tourne la tête et avise une seconde porte absente au dernier cours. Je lève un regard interrogateur vers ma DDM qui me salue et m'indique la consigne.
Je sors ma baguette de ma longue poche tout en l'écoutant attentivement. Je hoche la tête pour lui montrer que j'ai compris. Trois portes, trois salles, trois sorts. Oki.
La mention des 10 minutes d'épreuve a le don de faire accélérer un peu mon coeur dans ma poitrine mais je lui adresse un sourire poli et se voulant motivé. Oui, tout va bien se passer n'est-ce pas ? J'ai révisé, j'me suis entraîné.

Au signal, je m'approche de la première porte et l'ouvre. Je pénètre dans une première salle, vide à l'exception de trois portes, identiques. Okay et la suite ? Peut être que je dois les ouvrir une par une ? Oui mais pour y trouver quoi ? J'entends une voix m'indiquant qu'une des portes donne sur la sortie, il faut que je la trouve.
Cela ne me semble pas bien compliqué. Mon cerveau commence à turbiner sur la liste de sorts appris depuis l'an dernier. Quel est le but de toute cette histoire ?
Je m'approche d'une des portes, l'ouvre et... fais face à un mur de briques.
Je fronce les sourcils, la referme et m'approche d'une autre sans pour autant l'ouvrir. Mon regard passe de la deuxième à la troisième porte puis à la première.
Tout ça m'a l'air bien trop simple. Bizarre...
Au moment où je tends la main vers l'une des deux portes restantes, la porte de la première claque - me faisant sursauter - et les trois portes s'échangent soudainement, latéralement. Leur mise en mouvement est tellement rapide que je n'ai pas le temps de voir laquelle était à telle où telle place avant. Parce que évidemment, les trois portes sont identiques n'est ce pas ?
Je crois bien que je comprends. Ces trois portes sont magiques, identiques, changent de place avant que je puisse trouver laquelle est la bonne...
Je brandis ma baguette entre elles et moi. Il faut que j'utilise un système de signe. Si je marque telle porte d'un signe indiquant qu'elle renferme que des briques, forcément... forcément, je pourrais en faire de même pour la deuxième et... je pourrais sortir de cette première salle par la troisième.

Bien qu'il n'y ait pas de sablier dans la pièce avec moi, c'est comme si j'avais le Tictac dans ma tête. j'expire calmement pour rester concentrée. Ne pas penser au timing tout le temps, je dois me concentrer sur le sortilège. Diffindo ? Non, pas besoin d'abîmer la porte. Ah. Flambios.
Oui, une simple croix de feu fera l'affaire. J'hoche de la tête pour moi-même, décidée.

Je m'avance donc de nouveau vers la porte la plus à gauche, actionne la poignée et l'ouvre. Un mur de brique, parfait. J'expire, fixant le battant de la porte, ma baguette dirigé vers lui. Je sens la tiédeur agréable et familière de ma baguette entre mes doigts, sa fermeté contre ma paume.
Déterminée, concentrée, je visualise sans peine le feu sortant de ma baguette et dans un souffle, je prononce l'incantation :
- flamBIos, tout en dessinant une croix de ma baguette.

Je souffle et me tourne vers la porte de côté. A nouveau, je m'avance pour l'ouvrir et... suspend mon geste. Les trois portes se sont encore interverties. Mais ce n'est pas grave n'est-ce pas ?
Quoique. Je tourne la tête vers ma gauche, là où j'ai tracé ma croix de flamme. En fait, elle reste dans l'air mais n'est pas "attachée" à une porte en particulier.
C'est là que l'évidence me frappe.
- C'est pas le bon sort... chuchotais-je en sentant le stress monter.
Je ferme les yeux pour endiguer cette vague d'inquiétude par rapport au temps restant et le fait de savoir que je suis sûrement observée dans mes faits et gestes. Je déglutis et sais ce qu'il me reste à faire. J'ouvre la porte en face de moi (celle du milieu) et tombe sans surprise sur un mur de briques. Je la referme et déterminée, pleine d'une forte volonté de me rattraper, je brandis ma baguette et visualisant une croix s'incruster dans le chambranle de la porte, je prononce l'incantation du découpage tout en dessinant comme un réflexe le "v" avec sa patte qui traîne vers la droite :
- difINdoé !
Ce sort permet de marquer définitivement la porte malgré les changements intempestifs de ces portes magiques. Elles auront beau bouger, leurs battants seront marqués d'une croix et je pourrais sortir par élimination par celle n'en comportant pas.

Je me sens bête de ne pas avoir voulu les âbimer tout à l'heure. Ce sont des portes magiques, ce n'est pas grave.
Je brandis ma baguette devant la porte suivante et l'ouvre. Des briques, encore.
Je recommence, la visualisation de la cicatrice dans le bois en forme de croix comme si la porte était écorchée. La forte volonté. La gestuelle du "v" avec sa queue vers la droite et l'accentuation de la deuxième syllabe :
- difINdoé !!

Je tourne ensuite la tête vers la troisième porte et sourie.

Les portes ne vous remercient pas pour ces découpes mais au moins, vous voilà repartie.

La porte suivante est juste de l'autre côté de la pièce, vous la discernez derrière la pluie qui tombe. Une message en lettre de feu vous informe de la situation. La porte ne s'ouvre que pour les gens secs.

Merinda Swart	1ère année RP
Numéro de scénario : 542	Note maximale : Optimal

Au cours de l'année : Les Sortilèges sont la deuxième matière préférée de Merinda, après Défense contre les Forces du Mal. Les sortilèges lui paraissent instinctifs - c'est-à-dire qu'elle comprend leur utilisation et compte les réutiliser dans son quotidien - même si bien évidemment elle a besoin d'entraînement pour bien les maîtriser. En cours, elle participe à l'oral, essaie d'apprécier la théorie malgré l'ennui que lui procure ce simple mot, et montre son enthousiasme lors des parties pratiques.

Lundi 8 juin 2048,
10h15

En entrant dans la salle de Sortilèges, j'ai la désagréable impression d'être à l'étroit. La pièce a rétréci ou quoi ? Me dites pas que faut agrandir la... Ah non c'est bon. Comme dit Miss Priddy, va falloir entrer dans d'autres pièces. C'est pour ça que c'est plus petit ! 3 sorts à lancer en dix minutes ? Ca va ! Je souris à la prof et m'avance vers la porte. C'est parti !

La première pièce que vous découvrez est vide. Une porte vous fait face. Elle est fermée à clé et la clé... ah... la voilà, vous la repérez par terre, cassée en deux. Impossible de l'utiliser à moins que...

La pièce dans laquelle je rentre est entièrement vide. Bizarre... Suspicieuse, je regarde autour de moi avant de m'approcher de la porte. La main sur la poignée, je comprends. Fermée à clef. Mais il n'y a pas de clef. Alohomora ? C'est pas possible, on l'a pas appris. Je remarque enfin la clef par terre... cassée en deux. Ah, voilà qui est plus clair ! Concentrée, je pointe la clef du bout de ma baguette, et visualise les deux bouts de l'objet se recoller afin de reformer une clef impeccable me permettant d'ouvrir la porte. Je ressens l'émotion adaptée, l'espoir. C'est pas bien compliqué, j'espère réussir mon examen donc bon. Puis, je prononce d'une voix claire, tout en faisant tourner ma baguette afin de dessiner une spirale :
"RePAro !"

Et voilà votre clé comme neuve ! Sans plus attendre, vous pouvez franchir la première porte.

La deuxième porte est là mais la poignée ronde est recouverte de savon. Votre main glisse mais ne parvient pas à la tourner. Comment faire pour sortir de là ?

Steven Thorne - N° de participant :12
Inscrit à la chronologie en 2ème année RP
Type de Magie : Flamboyante
Lundi 15 Juin 2048 – 15h00 à 16h30
Scénario n°425
Tout au long de l’année, Steven a été attentif en cours et à participer en classe.
Note maximale : Optimal

Mon sort avait fonctionné, j’observais attentivement le thermomètre en attendant que la température monte pour passer à la salle suivante. Un déclic retentit et je me dirige vers la porte et tourne la poignée pour pénétrer dans la seconde pièce. A ma grande surprise la pièce est totalement vide. Je me dirige vers la porte et essaie de l’ouvrir tout en me disant que c’était étrange que ce soit si simple. Et en effet lorsque je tourne la poignée, la porte ne bouge pas. Je pense immédiatement à utiliser le sortilège de déverrouillage mais lors de ma tentative, rien ne se passe… Je hausse un sourcil de surprise avant de réfléchir quelques instants. Et si elle était ensorcelée par le sortilège collaporta ? Cela expliquerai pourquoi mon premier sortilège a échoué. Face à la porte je ferme les yeux et me met à visualiser celle-ci s’ouvrir en grande devant moi puis je rouvre les yeux et tout en traçant une forme de bouclier avec ma baguette, je prononce d’une voix déterminée :

fiNIte !

La lumière rouge met un petit temps à faire effet mais quand elle termine le tour de la porte, celle-ci se décolle légèrement du mur. Vous voilà libre de passer.

Ah, cette fois-ci, il y a trois portes, identiques, mais, une seule donne sur la sortie. Derrière les deux intruses, vous trouvez des murs de briques. Bon, il suffit de tester les trois portes me direz-vous. Certes mais quand elles changent de place obstinément, ce n'est pas aussi simple que ça. Il faudrait pouvoir les marquer d'un signe quelconque.

Faustine contempla avec perplexité son parapluie qui avait une forme assez... inattendue. Plus long que large, il allait l'obliger à marcher en crabe pour ne pas être mouillée. La jeune fille regretta amèrement d'être allée aussi vite, elle aurait dû plus prendre son temps et aurait eu un parapluie normal ! Poussée par la peur de ne pas finir, elle avait sans doute été trop vite dans les étapes. Elle espéra que cette erreur ne lui coûterait pas trop chère au moment de la notation.

La Poufsouffle décida néanmoins de ne plus y penser et se lança en traversant la pluie battante en pas chassés. Elle avançait lentement, mais sûrement pour ne pas prendre le risque d'être mouillée et ne voulant pas répéter la même erreur d'aller trop vite. La petite put enfin ouvrir la porte et arriva dans la troisième et dernière pièce. Ses yeux glissèrent tout le long de la pièce pour récupérer le moindre indice quant au sort à lancer. La salle était néanmoins vide et elle décida donc d'aller voir la porte. Cette dernière était sans grande surprise fermée. Faustine pensa immédiatement au sort de Déverrouillage mais décida de ne pas aller trop vite cette fois-ci et de ne pas s'empresser de le jeter.

Après réflexion, il semblait illogique qu'elle ait à lancer le même sort deux fois, il s'agissait donc d'un autre sort. Elle se passa en revue les sorts appris cette année et eut soudain une idée. Elle n'était pas sûre d'elle mais ne voyait pas qu'elle autre sort marcherait.
Faustine ferma les yeux et prit le temps de correctement s'enfermer dans sa bulle afin d'avoir une bonne concentration et put ressentir à nouveau la bouffée de chaleur. Elle sut qu'elle était prête et passa donc à la visitation en s'imaginant avec précision sa baguette produire la lumière rouge et la porte s'ouvrir. Pour l'émotion, elle se concentra sur sa détermination à réussir ses examens qui étaient, sans aucun doute, très forte. La petite enchaîna quelques secondes après en disant haut et fort :

- FiNIte inCANtatem !

Elle traça dans les airs au même moment la gestuelle qui prenait la forme d'un bouclier puis rouvrit les yeux avec espoir.

De toute évidence la "visitation" semble efficace car la lumière après avoir fait le tour de la porte semble avoir un effet sur cette dernière qui se décolle légèrement.

Dernière porte et votre professeure vous accueille. Sarah vous félicite pour ce parcours avan de vous libérer.

L'examen est terminé. Vous pouvez, si vous le souhaitez, rédiger un post de clôture ou éditer ce post.

J'entre dans la seconde pièce mais le bruit et la vue de toutes ces cordes d'eau m'arrêtent instantanément. C'est un vrai déluge ici !
Je discerne toutefois sans peine une autre porte à une dizaine de pas de moi - sûrement la sortie.
Je lève les yeux, une inscription de feu, ne craignant pas l'humidité ou la pluie s'affiche devant moi. "Que pour les gens secs" ? Okay !

Je n'ai pas à réfléchir bien longtemps au sortilège désigné par cette épreuve. C'est un sortilège appris en début d'année et bien pratique dans notre partie du monde. Le parapluie magique qui se déploiera au-dessus de ma tête me permettra d'accéder à la porte dans qu'aucune goutte n'effleure mes cheveux.

Ma baguette toujours dans ma main droite, je la verticalise vers le plafond et bien concentrée, visualise un parapluie invisible se dresser au-dessus de ma tête.
L'espoir d'être à l'abri ou espoir de protection - émotion nécessaire ici - n'a pas besoin d'être "convoquée" car je ne désire nullement être trempée même si Miss Priddy aurait un sortilège-du-sèche-cheveux à portée de baguette j'en suis sûre. Oui, y'a rien de pire que d'être trempée jusque dans nos vêtements ou sous-vêtements. En plus, j'suis vêtue de mon uniforme, ça va goutter partout sinon.

C'est ainsi que, pleine de ce désir d'être à l'abri, j'invoque ma magie en formulant distinctement "UMbrella" avec la gestuelle associée - la pointe de ma baguette vers le ciel, je monte le bras puis le redescend un peu comme si j'ouvrais un parapluie moldu.

Et... c'est bon, vous franchissez rapidement la pièce vers la suite de votre examen.

Qu'est ce qu'il fait froid dans cette pièce vide ! Un étrange thermomètre est accrochée près de la porte, indiquant 2 degré. Il semble relié à une sonde qui émerge dans la cheminée toute proche. Il est vraiment énorme ce thermomètre ! Au fond, flottant sur le liquide rougeâtre indiquant la température, vous apercevez clairement une clé. Il va falloir faire monter la température !

Post N2

Le bout de la baguette du jeune gryffon se mit à brillait fortement ce qui lui permit de retrouvé facilement la porte. Il passa cette dernière et se retrouva face à un drap.

Il chercha si on pouvait faire décoller les attaches qui maintenait celui ci mais cela était impossible pour lui.

Il était bientôt à la fin de son examen et ne voulait pas faire d’erreurs dans les quelques minutes restantes. Il prit une grande respiration et réfléchissait quel sort pouvait être le plus efficace dans cette situation.

Après avoir bien réfléchit, il était sûr d’avoir trouvé le bon. Il se concentra pour ne pas faire d’erreur et réalisa chaque étape du sortilège en s’écriant :



Il espérait qu’une chose, que le sortilège fonctionne.

Tout ceci semble un peu flou et, si la formule est clair, le reste laisse à désirer. Il faudra plusieurs essais pour que Sarah finisse par ouvrir elle-même le drap.

Elle vous félicite néanmoins pour le chemin parcouru avant de vous libérer.

L'examen est terminé. Vous pouvez, si vous le souhaitez, rédiger un post de clîture ou éditer celui-ci.

Merinda Swart	1ère année RP
Numéro de scénario : 542	Note maximale : Optimal

Au cours de l'année : Les Sortilèges sont la deuxième matière préférée de Merinda, après Défense contre les Forces du Mal. Les sortilèges lui paraissent instinctifs - c'est-à-dire qu'elle comprend leur utilisation et compte les réutiliser dans son quotidien - même si bien évidemment elle a besoin d'entraînement pour bien les maîtriser. En cours, elle participe à l'oral, essaie d'apprécier la théorie malgré l'ennui que lui procure ce simple mot, et montre son enthousiasme lors des parties pratiques.

Post 1 - Post 2

Et voilà votre clé comme neuve ! Sans plus attendre, vous pouvez franchir la première porte.

La deuxième porte est là mais la poignée ronde est recouverte de savon. Votre main glisse mais ne parvient pas à la tourner. Comment faire pour sortir de là ?

La clef se répare parfaitement bien, et je la ramasse afin d'ouvrir la porte et de passer dans la pièce suivante. Devant moi, encore une porte. Cette fois-ci, la poignée est ronde, mais je me rends vite compte qu'elle est pleine de savon et que ma main glisse et ne parvient pas à l'ouvrir.
Il faudrait que je fasse disparaître le savon... mais comment ? Je me creuse la tête pendant un moment, avant de comprendre que le message est clair. Le savon sert à nettoyer... Recurvite nettoie ! Ce sortilège permettrait sûrement d'enlever la mousse.
Concentrée, je visualise la poignée sans le savon, comme neuve, brillante et toute propre. Je ressens l'émotion liée au sortilège, puis, ma baguette visant la poignée et dessinant un S dans les airs, je m'exclame, d'une voix claire et distincte :
"REcurVITe !"

Quelques instants plus tard, toute trace de saleté ou plutôt de savon a disparu et vous voilà en route pour la troisième et dernière épreuve.

Dans la dernière pièce, la porte est face à vous mais verrouillée. Vous pouvez essayez de l'ouvrir autant que vous le voulez, la serrure semble protégée contre tout sort de déverrouillage. En revanche, un clé brille au dessus de la porte, accrochée à une pointe.

Lyam ne connaissait que trop bien cette pression qui s'invitait à chaque début d'examen, qu'il soit théorique ou pratique. Aujourd'hui, il passait la partie pratique de Sortilèges. Pour être sûr d'être au niveau, il l'avait particulièrement travaillée, s'exerçant de longs moments. Il était néanmoins plus confiant à la pratique qu'il maîtrisait mieux que la théorie.

Le Gryffondor entra dans la pièce et écouta attentivement les consignes de l'examen. La porte, d'accord. Lyam alla se placer devant cette dernière et l'observa un instant, perplexe. Que pouvait il faire pour l'ouvrir si un sortilège de déverrouillage ne fonctionnait pas. Il y en avait bien d'autres, mais pas de son niveau. Puis tout d'un coup, il comprit. Et s'il ne fallait pas faire quelque chose pour qu'elle s'ouvre mais plutôt enlever ce qui l'empêche de s'ouvrir...

Lyam prit alors deux grandes inspirations et imagina dans sa tête la porte se décoller. Comme vu en cours, il fit le tri dans ses émotions et garda la détermination. Il fit ensuite un bouclier du bout de sa baguette et prononça la formule qu'il connaissait par cœur, sans oublier d'accentuer certaines syllabes.

La lumière rouge fuse et semble faire le tour de la porte avant que celle-ci ne se décolle légèrement, la voie est libre !

Qu'est ce qu'il fait froid dans cette pièce vide ! Un étrange thermomètre est accrochée près de la porte, indiquant 2 degré. Il semble relié à une sonde qui émerge dans la cheminée toute proche. Il est vraiment énorme ce thermomètre ! Au fond, flottant sur le liquide rougeâtre indiquant la température, vous apercevez clairement une clé. Il va falloir faire monter la température !