Stacy regardait Faustine et Cheryl qui essayaient d'ouvrir la porte avec une épingle à cheveux. Elle trouvait leur idée tellement stupide qu'elle rigolait en les voyant essayer. Elle savait que ce n'était pas possible d'ouvrir la porte du train avec juste une épingle à cheveux très banale.

Stacy regardait dans tout le compartiment pour pouvoir les aider parce qu'il était hors de question qu'elle aidait ses camarades avec une épingle à cheveux. Elle prenait alors son sac en main pour pouvoir donner un coup dans la porte.

Soudain, elle entendait un bruit sourd qui venait sans doute d'un des compartiments à côté du leur. Elle était surprise peut-être quelqu'un qui donnait un coup de pied dans la porte. Stacy se dirigeait vers les sièges et toquait au mur pour savoir de quel côté provenait ce bruit.

En attendant une réponse, elle prenait sa son dans ses mains et regardait la porte. Elle ne savait pas si ça allait donner quelque chose mais comme son sac était super lourd il y aurait peut-être un résultat.

- Poussez-vous je vais essayer de donner un gros coup avec mon sac peut-être que ça fera plus de dégâts que votre simple épingle à cheveux.

Elle attendait que ses camarades se poussent parce qu'elle n'allait pas donner un gros coup dans la porte alors que deux personnes étaient devant l'endroit visé. Elle gardait l'oreille attentive en attendant toujours une réponse d'un compartiment voisin.

* Stacy toque aux murs de son compartiment pour savoir d'où provient le bruit sourd
* Stacy prend son sac dans ses bras pour pouvoir donner un coup dans la porte

Faustine enfonçant son épingle dans la porte et essaya de le tortiller pour qu'il déclenche la serrure. Mais ce fut en vain : rien ne se produisit. Essayant de ne pas sombrer dans la panique, la jeune Poufsouffle se rassit calmement et essaya de réfléchir à un autre moyen pour sortir. Elle ne supportait pas être enfermé et voulais à tout prix faire le maximum pour sortir. Cela lui laissait un certain contrôle de la situation...
Cheryl se leva à son tour pour essayer avec une épingle à cheveux, mais n'eut guère plus de chance. Et le train était toujours arrêté, la porte toujours fermé... Faustine commençait peu à peu à paniquer. Tout était si étrange, si mystérieux... Elle sentait que quelque chose d'anormale se produisait, mais était tout à fait incapable de savoir quoi. Cette atmosphère si pesante...

Perdue dans ses pensées, elle sursauta quand un bruit retentit. Ce fut comme si quelqu'un avait tapé derrière leur porte. Faustine retrouva espoir ! Il devait y avoir une présence humaine derrière ! Faustine s'avança vers la porte de leur compartiment, en même temps que Stacy qui avait un sac d'apparence assez lourd en main, et qui prit la parole pour dire :

- Poussez-vous je vais essayer de donner un gros coup avec mon sac peut-être que ça fera plus de dégâts que votre simple épingle à cheveux.

Toujours aussi aimable cette Stacy... Mais cela diminua l'angoisse qui oppressait Faustine et se dit qu'après tout, pour une fois, elle n'avait pas tort : c'était un peu ridicule de vouloir forcer une porte sans doute fermée magiquement, avec un simple trombone ou une ridicule épingle à cheveux.
La jeune fille se décala donc sur le côté, laissant le champ libre à la Serpentard et lui dit :

- Vas-y, fais-nous une démonstration de l'étendue de tes forces !

Et puis ne voulant toujours pas resté les bras croisés, la Poufsouffle tapa sur le mur à côté de la porte et s'exclama d'une voix forte :

- Youhou !!! Il y a quelqu'un ?

Elle avait conscience que ses paroles étaient parfaitement idiotes, mais qui sait, quelqu'un allait peut-être leur répondre...

Contexte actuel :

❝ La porte tremble sous les coups de Stacy, mais ne cède pas. Personne ne répond à Faustine qui cri en direction du couloir. Tout à coup, vous sentez le wagon trembler sous vos pieds tandis qu'un bruit d'éboulement se fait entendre. ❞

Stacy donnait un gros coup de sac dans la porte la faisant trembler. Stacy était fière d'elle d'avoir fais fait trembler cette maudite porte. Bien qu'elle reste fermée. Stacy se tournait vers Faustine avec un grand sourire prête à lui lancer un pique.

- Le blaireau il va se calmer parce que contrairement à toi la porte à trembler et toi avec une minable pince à cheveux tu voulais faire quoi? Tu crois qu'on est dans un film?

Stacy gardait toujours ce petit sourire arrogant sur ses lèvres. Elle soupirait quand Faustine se mettait à crier pour demander de l'aide.

- Tu le fais exprès? Personne peut nous aider comme on est TOUS enfermés.

La Poufsouffle commençait à énerver Stacy. Stacy sentait le tremblement du sol et entendait un bruit d'éboulement. Elle se précipitait vers la fenêtre pour voir ce qu'il se passait. Elle ne voulait pas que tout se termine, pas comme ça.

Elle était très surprise quand le wagon s'était mis à trembler. Elle regardait les autres filles dans le même wagon qu'elle et se disait qu'au fond il ne fallait pas s'inquiéter c'est peut-être juste le chemin de fer, le train ne tombera pas elle en était persuadée.

Elle restait devant la fenêtre mais n'avait pas si peur que ça. Si le train devait tomber, c'était le destin et puis c'est tout.

*Stacy lance des piques à Faustine
*Stacy va regarder à travers la fenêtre d'où peut provenir le bruit d'éboulement

Toujours le même silence après que Faustine ait tapé aux murs... Elle avait espérer si fort pour qu'il y ait une présence derrière la porte. Les larmes lui montèrent aux yeux, mais elle décida de ne rien laisser paraitre et essaya de reprendre contenance.
La jeune Poufsouffle regarda en direction de Stacy, qui fit trembler la porte suite à son coup. Faustine lui jeta un petit sourire narcissique et juste après, la Serpentard lui dit :

- Le blaireau il va se calmer parce que contrairement à toi la porte à trembler et toi avec une minable pince à cheveux tu voulais faire quoi? Tu crois qu'on est dans un film?

Faustine ne put s'empêcher de sourire. Même si elles étaient perché sur un pont, enfermé dans un wagon, et perdu au fin fond de la campagne écossaise, Stacy gardait le même caractère et ne semblait pas paniquer. Avant que Faustine ne lui réponde, elle rajouta :

- Tu le fais exprès? Personne peut nous aider comme on est TOUS enfermés.

- Ah oui bravo la porte a tremblé, ça nous avance grandement... Le trombone ou la pince à cheveux ça aurait pu marcher, mais t'as vraiment cru qu'avec ton sac t'aurais défoncé la porte ? J'admire ton optimiste... Et ça se trouve on est pas tous enfermé, regarde il y a eu du bruit derrière la porte ! répondit la jeune fille un sourire aux lèvres.

Elle espérait lui avoir cloué le bec, mais avec cette Stacy, les débats pouvaient durer des heures... Faustine tourna la tête vers la fenêtre et une idée lui vint, juste pour énerver un peu plus Stacy : tant qu'à faire elle pouvait essayer d'ouvrir la fenêtre avec son trombone, même si il y avait vraiment aucune chance pour que la fenêtre s'ouvre. La jeune fille s'approcha de la fenêtre avec son fidèle trombone et l'introduisit dans la serrure. Pile à ce moment là, un bruit d'éboulement se fit entendre dans le wagon et de surprise, elle lâcha son trombone.

- C'est quoi ça ? demanda-t-elle à nouveau paniqué.

Contexte actuel :

❝ L'ambiance est électrique dans le compartiment tandis que les tremblements cessent et le calme revient. ❞

Stacy levait les yeux quand Faustine lui parlait. Ce qu'elle lui disait ne l'intéressait même pas un peu. Stacy regardait Faustine d'un air complètement détaché en faisant quand même attention à ce qu'elle disait. Elle riait mais ce n'était pas un rire joyeux non c'était un rire mauvais quand Faustine était heureuse d'entendre du bruit derrière la porte. Stacy n'était ni optimiste ni pessimiste, elle n'avait aucun sentiment précis. Quand la Poufsouffle avait enfin fini de parler, Stacy lui répondait toujours avec un petit sourire arrogant.

- La porte a tremblé c'est déjà quelque chose comparé à toi avec ton trombone, ça n'avait strictement rien fait. J'admire ton optimisme aussi avec ton trombone style film américain avec une fin toute nulle. Mon sac aurait pu faire quelque chose si tu m'avais aidé mais tu es tellement fixée à ton trombone que l'idée de m'aider ne t'es même pas venue à l'esprit.

Stacy avait effacé tout sourire quand elle avait vu Faustine essayer d'ouvrir la fenêtre avec son trombone. Elle croyait qu'elle rêvait mais non elle voyait bien sa camarade en train d'ouvrir la fenêtre du wagon avec un simple trombone. Elle soupirait d'énèrvement.

- Mais tu fais quoi? Ton trombone n'ouvrira pas cette fenêtre. Vraiment Faustine arrêtes de regarder des films ou lire des livres parce que là tu vas trop loin. Lâche ce foutu trombone tu y arriveras pas.

Stacy fixait Faustine en disant ça avant que le bruit de l'éboulement se fasse entendre et que Faustine lâche le trombone. Enfin. Stacy regardait sa camarade avoir peur et levait encore une fois les yeux au ciel.

- Je pense que ça s'appelle un bruit d'éboulement tu sais c'est le bruit que tu entends quand quelque chose s'écroule. Mais pas la peine d'avoir peur ton trombone va nous sortir de là.

Stacy était assez énervée mais essayait de taper à la porte en espérant que quelqu'un passe et les entend. Elle ne voulait pas mourir ici. Elle frappait fort à la porte et attendait 10 secondes entre chaque coups.

- Il y a quelqu'un?

* Stacy est énervée contre Faustine qui veut ouvrir la fenêtre avec un trombone
* Stacy lance des piques à Faustine
* Stacy frappe assez fort dans la porte en essayant d'appeler de l'aide

L'étrange son d'éboulement et ce tremblement ne signifiait qu'une chose : quelque chose ne tournait définitivement pas rond dans ce train. Stacy semblait s'attaquer à Faustine de façon... explicite. La rouquine les regardait se disputer d'un air ahuri. ça critique mais elle fait pas mieux Alors que pendant tout le long de leur "dispute", Cheryl était restée relativement calme, elle finit par y ajouter son grain de sel. La jeune blonde ne cessait de se vanter, à croire que ses idées étaient les meilleures alors que la Serpentard était persuadée que le coup de l'épingle à cheveux était plus réaliste que son minable coup à la porte.

- C'est clair que ton coup dans la porte a été bien plus utile que mon épingle à cheveux, Sherlock, critiqua Cheryl en s'asseyant sur la banquette.

La fillette croisa les jambes et les bras et dévisagea Stacy avant d'ajouter :

- Et puis, sans vouloir te briser tes rêves de devenir une super-héroïne, si le train a tremblé, c'est pas à cause de ton petit coup dans la porte.

Stacy se mit alors à crier si quelqu'un était là. Une action qui fit rire Cheryl, toujours assise sur la banquette, l'air détendu.

- Tu es sûre de vouloir attirer l'attention ? Et si ce qui se trouvait derrière cette porte cherchait des humains à tuer ?

Contexte actuel :

❝ Une dispute éclate dans le compartiment avant même que vous n'ayez le temps de savoir si quelqu'un va répondre aux coups de Stacy contre la porte. ❞

Contexte actuel :

❝ Le silence qui est retombé sur le wagon dure et il semble que plus personne n'ose bouger dans le compartiment. Le remue ménage continue toutefois dans le compartiment 8. Puis, vous entendez une clef tourner dans la serrure de la porte de votre compartiment.

Les élèves de ce compartiment rejoignent le RP "A pas de loup". ❞