Le manger sans s'en rendre compte ? Mais enfin... c'était impossible. Enfin non, c'était possible, mais là, elle était sûre de son coup, elle n'avait pas encore touché sa tranche de viande. C'est alors que Constance assise un peu plus loin se mit à balancer comme jamais. Les yeux de la Poufsouffle s'agrandirent se demandant sérieusement si c'était du lard ou du bacon... tout le monde se payait sa tête ce matin ! Une petite moue contrariée apparut sur le visage de la cinquième année qui agita à nouveau sa baguette alors que Constance lachait un pet tonitruant.

"J'crois qu'il y a un truc avec le banc."

Une nouvelle arrivante confirma les dires de l'irlandaise en produisant un bruit de flatulence alors qu'elle se laissait tomber sur le banc.

"Bon... Son assiette débordait désormais. Zunair, si tu veux du bacon ou autre chose, tu me demandes, je t'en donnerai. Pas la peine de... enfin bref. Bon appétit."

Elle se rassit sur son séant, provoquant une nouvelle série de pétarades qu'elle ignora superbement et croqua avec appétit dans son pain grillé en se promettant de ne plus bouger le postérieur.

"Comment il s'appelle ton ours ?" demanda t'elle à sa voisine sans quitter son assiette des yeux. Ce n'était pas courant de venir déjeuner avec son doudou.

@Zunair Sathi, @Constance Nelson et @Marilya Sowell

Eileen avait fini son petit déjeuner. Des bruits suspects avaient émaillé sa dégustation matinale en provenance d'autres endroits de la grande salle. Il n'y avait donc pas que son banc qui était ensorcelé. C'était quelque part rassurant. Les Serdaigle n'étaient pas les seuls visés.

Elle se leva, bien décidée à partir. Elle avait des choses à faire en cette journée ! Pourtant, sur le chemin de la sortie, son regard fut attiré par un nouveau bruit traitre et non loin, elle vit deux lutins en train de piquer dans l'assiette de leur victime avec un petit rire malicieux.

Ainsi, les blagues bizarres qui se produisaient depuis hier : le visage déformé dans les toilettes abandonnées, les bancs péteurs... C'était le fait de lutins...

Par une habitude qu'elle commençait à acquérir, elle jeta un regard vers la table de Serptendard. Elle y découvrit Ernest. Un sourire naquit sur son visage, faisant disparaitre sa contrariété face aux farces.

Elle le rejoignit rapidement.
- "Bonjour Ernest !" le salua-t-elle avec le sourire qu'elle lui dédiait désormais. "Je crois qu'on a une invasion de lutins qui font des farces ! Tu as été victime d'un bruit de coussin péteur ce matin ?" demanda-t-elle.

Eileen finit son petit déjeuner et se rend compte que les farceurs sont des lutins. Elle s'en ouvre à @Ernest Stevens.

199 mots

Mal réveillée, j'rrive dans la Grande Salle en regardant autour de moi, l'air un peu perdue. La table des Poufsouffle est par où, déjà ? Ah oui, là-bas... Je me masse les yeux pour tenter d'être un peu plus vive, sans grand succès.

Je marche vers la table, remarquant un petit groupe de Poufsouffle qui semble bien agité. J'y reconnais Constance et Deryn. C'est la deuxième fois en deux jours que je la croise, celle-là. Étrange. J'enjambe le banc pour me placer à côté d'elle.

« Bonjour... Pourquoi vous vous disputez à propos de bacon ? Et pourquoi vous pétez tous ? Y'avait des chou-fleurs hier ? »

Parce que oui, franchement, aussi tôt le matin, je ne vois pas pourquoi on devrait se prendre la tête sur de la viande. Et puis ce n'est pas comme s'il y en avait en quantités limitées... Et pourquoi est-ce qu'ils ont tous des gaz ? Quelle drôle de matinée... Je cligne des yeux et m'assieds, avant de me relever d'un coup. Ah ! Le coussin traitre ! Je me disais bien que c'était louche, tout ça. Je regarde derrière moi, découvrant avec étonnement un banc vide.

« Eh beh, quelle drôle d'histoire. »

Je choisis de rester debout, tends le bras vers une pomme et croque dedans avec avidité.

@Deryn O'Connors, @Constance Nelson, @Zunair Sathi et @Marilya Sowell

Décembre avait finit par s'en venir au grand plaisir de la blondinette. Après tout, Noël approchait tout comme son anniversaire et l'adolescente allait avoir 15 ans ! De quoi se réjouir et d'attendre ce jour avec impatience. Bientôt elle serait grande, encore plus que maintenant et elle ne s'en sentait pas peu fière. Mais si décembre était attendu, le mercredi ne l'était pas. Les potions n'étant pas sa matière favorite, l'aiglonne n'avait pas hâte de s'y rendre. Au contraire du petit déjeuner auquel elle s'y rendit de bonne humeur.

Arrivée à la table de sa maison, elle commença a rassembler toute la nourriture qu'elle allait dévorer et s'assit sur son banc. Avant de se relever en entendant un énorme son de flatulence. Regardant autour d'elle, ses yeux ne virent absolument rien et lorsqu'elle revint à son assiette, elle s'aperçut que ses tartines avaient disparus. Un pet d'accord, mais son petit déjeuner ce n'était pas drôle du tout !

-Elles sont où mes tartines ! S'exclama la Poursuiveuse en cherchant partout

Pas question de se faire voler son petit déjeuner ! Mais apparemment, elle n'était pas la seule à emmètre des sons de pets et l'on pouvait en entendre un peu partout dans la salle. Que se passait-il ? Et qui avait prit ses tartines ?




Libre à vous d'interagir avec Zozo

Elin était arrivée dans la grande salle pour prendre un bon petit déjeuner avant de vaquer à ses occupations de la journée. Le mercredi matin, c'était devoirs alors elle avait tendance à trainer le plus possible dans la salle pour ne pas avoir à s'y mettre.

Aussi, elle eut bien le temps d'apercevoir ce qui se passait. Déjà lorsqu'elle s'assit à sa table, un bruit de pet retenti, elle fut alors prise d'un fou rire. Elle savait que ce n'était pas elle, elle ne l'avait pas senti. Mais quelqu'un avait dû faire une farce. Elle avait une impression de déjà-vu avec ce qui s'était passé la veille. Visiblement un ou plusieurs petits plaisantins avaient mis au point un grand nombre de farce et elle avait très envie de savoir de qui il s'agissait.

Mais Zoey la sortit de ses pensées. Elle était un peu plus loin sur la table de Serdaigle en criant à qui lui avait volé ses tartines. Pas très finement, Elin commença à éclater de rire. Évidemment ce n'était pas elle qui les avait volées, c'était les petits plaisantins, et elle commençait à être persuadée qu'il s'agissait de choses petites, comment auraient-elles pu se glisser partout sinon ?

Elin commence son enquête pour savoir qui fait toutes ces farces à Poudlard depuis la veille et elle ne peut s'empêcher de rigoler en voyant la mine déconfite de @Zoey Redfly

Gloria était prête pour aller prendre son petit-déjeuner. Alors qu'elle se préparait à descendre les escaliers, la deuxième année entendit des bruits ou plutôt de la musique. Si on peut appeler cela comme ça. La deuxième année s'est donc rendue dans le lieu où il y a eu tout se vacarme. La rouge et or se rendit compte que tout ce bruit venait de la Grande Salle. Cela tombe bien, elle devait s'y rendre pour prendre son repas du matin. Une fois arrivée la deuxième année voyait qu'il y avait déjà plusieurs de ses camarades Poufsouffle, Gryffondor, Serpentard ou Serdaigle qui étaient arrivés et qui se demandait ce qui se passait.
" C'est quoi ce bazar ? Ne vous inquiétez pas, j'ai trouvé qui était les fauteurs de troubles: des lutins. Je ne sais absolument pas ce qui se passe pendant ce mois de décembre. Qu'est-ce que tous ces lutins font là d'ailleurs. Ils commencent à me fatiguer avec leurs blagues qui ressemblent plus à des bêtises d'ailleurs."
168 mots

Les yeux humides, la première année entreprit de se resservir du sirop aux pancakes des pancakes au sirop d'érable. Cette fois, elle prit aussi une banane et trois mandarines. A côté d'elle, sa camarade prouta à nouveau, tout comme la nouvelle venue qui ne semblait pas comprendre la raison de leur dispute ni pourquoi tout le monde pétait. Quelqu'un s'était disputé ? Pourquoi ? Marilya regarda autour d'elle pour essayer de déterminer qui. Tout le monde pétait ? Ah bon ? Décidément, elle dormait debout.

La nouvelle venue, une belle fille au teint pale et aux cheveux courts sombre, laissa à son tour échapper une flatulence qui redonna le sourire à la blaireaute. Quand elle retourna à sa position assise, son propre non-pet la fit rire.

"Comment il s'appelle ton ours ?"

Marilya se figea, réalisant la présence de son ours brun pour la première fois. Elle sentie le rouge lui monter aux joues quand elle posa le regard sur sa voisine. C'était une septième année ! Une meuf super populaire ! Super belle ! Heureusement, celle-ci ne semblait ni la juger ni la regarder, trop occupée à manger.

"Nounours", répondit-elle d'une petite voix.

Marilya se redressa, tentant de se donner du courage, puis reprit la parole avec un peu pus d'assurance.

"Regardez", dit-elle en montrant une autre table, "on dirait que tous les bancs de la Grande salle ont été ensorcelés."

« Eh beh, quelle drôle d'histoire. »

Lily se rendit dans la Grande Salle avec Alyssa pour le petit déjeuner, le pas traînant. Son visage était cerné ; elle n’avait pas dormi cette nuit, comme ça lui arrivait plusieurs fois en ce moment. Résultat : elle était bougon et d’assez mauvaise humeur. La pauvre Alyssa devait sûrement ne pas apprécier sa compagnie, mais être peut-être trop polie pour le lui dire ou la lui fausser. Pressée de prendre un bon petit déjeuner, la gryffonne se dirigea vers la table de Gryffondor dans le but de s’y assoir tranquillement. Mais, qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’un énorme bruit de « PROUT ! » résonna dans la salle quand elle posa ses fesses sur le banc ! Alors que la situation l’aurait fait rire en temps normal, la troisième année se mit à bougonner, n’étant pas dans son assiette :

C’est qui la cervelle de Troll qui m’a jeté un sort ou fait je sais pas quoi pour que ça fasse ça ?

C’est une Lily mal réveillée et de mauvaise humeur qui arrive avec @Alyssa Wright dans la Grande Salle vu avec la joueuse et qui râle en entendant le bruit de pet qui est dû, selon elle, à un sort qui lui est lancé par un imbécile.

L'Irlandais se dirigeait vers la table des Serpentard encore à moitié endormis, la nuit précédente fut compliqué. Ses yeux encore à moitié ouverts, il esquivait sans même s'en rendre compte les élèves qu'il pouvait croiser sur son chemin avant de rejoindre la table de ses compères. Complètement affaissé et proche de s'effondrer sur la table au moment de s'asseoir, un bruit lourd et gras sortait de derrière le garçon. Etan se releva droit comme un piquet, les yeux maintenant tout écarquillé, comme s'il sortait d'un cauchemar. Choqué par ce qu'il venait de se passer, il se retournait pour voir qui avait fait ça, mais personne derrière lui.

C'est moi qui ai lâché ça ?

Étonné, le brun regardait à sa droite puis sa gauche pour voir si personne n'avait entendu, mais sans grande surprise déjà quelques regards étaient tournés vers lui. Il aperçut Eileen qui parlait avec Ernest. L'Irlandais tendait l'oreille pour savoir ce qu'ils pouvaient se dire et pourquoi tout le monde semblait si bizarre ce matin dans la grande salle.

Etan s'assoit et se fait surprendre par le bruit de pet. Puis il écoute @Eileen O'Brien et @Ernest Stevens pour comprendre ce qu'il se passe.

Les pets tumultueux résonnaient dans la Grande Salle et Ernest ne savait plus où regarder. C’est que c’était gênant. Même si ce n’était pas lui. Il n’avait aucun mal à se mettre à la place des élèves concernés. Est-ce qu’eux aussi avait abusé sur les mélanges de nourriture douteux ? Ou alors, c’était peut-être un problème dans les cuisines, ce qui voudrait dire qu’il n’aurait pas à abandonner sa tartine cacahuètes/églantine/chocolat.

Il adressa un sourire à Elena qui s’était assis à quelques places de lui. Dans son assiette, que des produits sains, ce qui expliquait peut-être qu’elle n’avait pas été la cible des farces qui semblaient agiter les différentes tables. Il sursauta quand Eileen l’interpella et se contenta de lui sourire niaiseusement en secouant la tête en signe de négation. C’est à cet instant qu’un nouveau pet tonitruant détonna juste derrière lui. À présent, il faisait le lien entre les évènements. Et un fin sourire se dessina sur ses lèvres.

“Eh bin, Etan… je pensais pas que t’avais ça en toi…”

Il adressa un clin d’oeil à son cadet avant de se relever du banc et de s’assoir à son tour. Pour l’expérience. C’est que quand même ensorceler tous les bancs de la Grande Salle pour les faire péter, c’était un sacré coup de magie.

"Je me demande comment ça marche..."

@Eileen O'Brien & @Etan O'Brien