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23 nov. 2023, 23:39
Santé et bien-être des sorciers  IMC 
SANTÉ ET BIEN-ÊTRE DES SORCIERS

Dernière modification par Diarmuid O'Belt le 23 nov. 2023, 23:43, modifié 2 fois.

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23 nov. 2023, 23:40
Santé et bien-être des sorciers  IMC 
SANTÉ ET BIEN-ÊTRE DES SORCIERS
PARTIE 1 : Gynécomagie
1. Les menstruations

Chez les sorcières, les premières menstruations surviennent au même âge que chez les moldues soient entre 10 et 14 ans en général. La ménopause survient en moyenne entre 55 et 60 ans.

Les protections périodiques les plus répandues dans le monde sorcier sont les protections lavables comme les culottes de règles ou des serviettes lavables. Soumises à des sortilèges d'absorption et à des potions pour garantir l'hygiène et le confort, ces protections peuvent s'adapter à plusieurs types de flux pour rester absorbantes pendant environ douze heures. Pour les plus sophistiquées, le tissu externe change de couleur lorsque la capacité de recueil est presque atteinte. L'entretien est simple, il faut rincer puis laver comme indiqué par le fabricant.
Les sorcières issues des familles les plus traditionnelles sont, dans l'ensemble, peu à l'aise avec les protections hygiéniques internes qui sont exclusivement moldues (tampons, cup menstruelles). De même la société sorcière ne semble pas avoir adopté de protections jetables.
2. Symptômes et pathologies gynécologiques

Les symptômes prémenstruels et menstruels des sorcières sont les mêmes que chez les moldues : douleurs abdominales, gestion plus difficile des émotions, maux de tête... Ils peuvent être soulagés par différentes potions à base de dictame, d'estragon, de basilic, d'anis ou de fenouil, entre autres exemples.

Il existe aussi des symptômes purement liés à la condition magique. En effet, certaines femmes décrivent des perturbations de leur flux magique [ Les différences liées au sexe biologique]. Cela peut aller d’une baisse de puissance modérée à des difficultés réelles à pratiquer certains sorts ou types de sorts.

Tous ces symptômes sont différents pour chaque femme et peuvent varier d’un cycle à l’autre.

Différentes pathologies gynécologiques peuvent toucher les sorcières, les symptômes peuvent ressembler aux pathologies moldues mais le nom n’est pas forcément identique.
3. Grossesse

Lorsqu'une sorcière veut savoir si elle est enceinte deux options s'offrent à elle :
  • Un test urinaire qui peut s'acheter chez un apothicaire : La potion est jaune. Mélangée à de l'urine et après deux minutes, elle reste jaune si la sorcière n'est pas enceinte et vire au vert lorsqu'elle est enceinte.
  • Un test sanguin qui ne peut être réalisé que par un médicomage : Le médicomage prélève quelques gouttes de sang à la patiente et les mélange à une potion rouge. Après deux minutes, si la patiente n'est pas enceinte, elle reste rouge, si elle vire au bleu la patiente est enceinte.
En ce qui concerne le suivi d'une grossesse, si au moins l'un des parents de l'enfant est sorcier (le père ou la mère), alors ce suivi devra être effectué par un.e gynécomage ou un.e sage-femme sorcier exerçant en libéral ou à la Nouvelle Sainte Mangouste.
Focus sur le suivi de la grossesse selon le statut de sang de la mère
Une femme sorcière se fera toujours suivre par du personnel soignant sorcier même si le père de l'enfant est moldu. Notamment parce que les moldus n’ont aucune idée des pathologies sorcières liées à la grossesse d’une sorcière et que la magie de la sorcière pourrait mal réagir avec les appareils moldus.

Une moldue ayant connaissance du statut de sorcier du père de l'enfant sera suivi par des soignants sorciers puisque le bébé est potentiellement un individu magique et que sa magie sera mal interprétée par les appareils moldus. De plus, le fait d’être enceinte d’un individu magique peut entraîner des complications.
Au minimum, le suivi de grossesse comporte trois rendez-vous à trois mois, six mois et au milieu du huitième mois de grossesse. Ce suivi est mené par une étude approfondie et spécifique du flux magique de la femme enceinte mais aussi des signes vitaux de cette dernière et du bébé via les techniques usuelles sorcières.

Pendant la grossesse, la magie de la sorcière se met elle aussi au service du développement du bébé. Ainsi, le flux magique de la sorcière peut se trouver être perturbé à différents degrés. Une sorcière peut ainsi perdre de la puissance magique au point de ne plus être en mesure de lancer certains sortilèges coûteux en énergie (par exemple celui permettant de transplaner).

Focus sur les possibilités de transport de la femme enceinte
Jusqu'à six mois de grossesse, une sorcière peut se déplacer à sa convenance par le mode de transport de son choix dès lors qu'elle n'est pas incommodé par ce dernier (nausées).

Au-delà de six mois de grossesse, on limite voire on supprime le transplanage qui requiert potentiellement trop d'énergie magique à la mère. En cas d’urgence, le transplanage d’escorte reste envisageable s’il est effectué par un.e sage-femme ou gynécomage. De même, en raison des secousses qui peuvent déclencher un accouchement prématuré, l’usage du portoloin et du magicobus doivent être limités voire supprimés.
Des trajets calmes en balais sont possibles pour les sorcières enceintes, même après ce stade.
Même s'il reste déconseillé, le transport en cheminette semble possible, notamment lorsque la mère cherche à rejoindre la Nouvelle Sainte Mangouste au moment d'accoucher. Les mères habitant Godric’s Hollow peuvent bénéficier des diligences d'urgences parfaitement stabilisées. L’accouchement à domicile permet quant à lui de n’effectuer aucun déplacement.
Les pathologies gynécologiques peuvent être de tout ordre. Les femmes sorcières peuvent être touchées par l’endométriose, des mycoses ou des infections bactériennes par exemple.

L'interruption volontaire de grossesse (IVG) est une pratique encore mal vue dans la société sorcière, plus conservatrice et traditionnelle. Depuis 2035 où une loi a été votée par l’administration de Perceval Taaora, il est néanmoins possible d'y avoir recours ; soit à l'aide d'une potion (jusqu'à 7 semaines de grossesse) soit via une intervention menée par un.e gynécomage (jusqu'à 12 semaines de grossesse). Pour avoir accès à l’une ou l’autre de ces pratiques, il faut obtenir l’accord de deux gynécomages stipulant que l’IVG est nécessaire pour la santé physique ou la santé mentale de la femme.
4. Accouchement et période post-natale

Les femmes sorcières issues de familles traditionnelles préfèrent généralement accoucher à la maison entourées d'autres femmes de leur famille, voire d'un.e sage-femme et/ou d'un.e gynécomage.

Les femmes sorcières ont nouvellement la possibilité d’accoucher à la Nouvelle Ste Mangouste. Cependant, les maris/compagnons moldus d’une sorcière ne peuvent pas assister à la naissance dans l'hôpital sorcier.

Les femmes/compagnes moldues d’hommes sorciers ne peuvent disposer de cette possibilité. Elles accouchent à la maison ou dans les petites maisons de naissance sorcières tenues par des sages-femmes et gynécomages exerçant en libéral.

La césarienne sorcière est une technique chirurgicale connue mais qui reste une méthode d’urgence utilisée uniquement lorsque la vie de la mère et/ou du bébé est en jeu. C'est une pratique qui est évitée autant que possible dans le monde sorcier.

Focus sur la césarienne sorcière
Cette chirurgie magique met en jeu des sortilèges complexes et invasifs dont les mécanismes peuvent s’apparenter à ceux des sortilèges de transfert. Une mauvaise utilisation (erreur de visualisation…) ou une utilisation dans de mauvaises conditions (urgence, manque de personnel…) peut engendrer des conséquences médicales dangereuses sur les organes internes de la mère. La plus grave est appelée désartibulation organique car son effet ressemble à ce qu’il se passe en cas de transplanage mal contrôlé. Un ou plusieurs organes de la région génitale peuvent être touchés.

De plus, pour éviter toute douleur à la mère, cette dernière doit prendre une potion antidouleur particulièrement forte dont les effets sur le bébé sont mal connus.

Il faut aussi noter l’absence de connaissances effectives sur l’impact de l’utilisation de magie d’une ou plusieurs autres personnes sur un enfant à naître. En effet, ce dernier n’a connu que la magie de sa mère et cela peut être vécu comme un traumatisme par le tout petit sorcier.
Dans le monde sorcier, les bébés sont le plus souvent allaités par leur mère ; généralement pendant au moins deux ans, mais moins de cinq ans. Cela implique souvent un retrait de la vie publique - y compris de l’emploi - au moins jusqu'à ce que l'alimentation du bébé soit diversifiée aux environs de six mois. Dans les familles les plus traditionalistes, ce retrait peut durer plus longtemps (surtout si le couple a plusieurs enfants rapprochés). Si la mère ne souhaite pas ou plus autant allaiter, ou est dans l’incapacité de nourrir elle-même son enfant (décès en couche, pathologie l’interdisant…) ou si elle se doit de reprendre une vie sociale rapidement, des laits infantiles peuvent être prescrits par le pédiatromage. Dans les familles les plus traditionalistes, il est fréquent que l’alimentation de l’enfant soit confiée en totalité ou partiellement à une nourrice. Cette nourrice est employée par le couple (et parfois logée avec son enfant).
Focus sur les croyances sorcières en lien avec la naissance et l’allaitement
Il existe deux croyances sorcières liées à l’accouchement et à l’allaitement. Ces dernières n’ont pas fait le sujet d’études scientifiques qui peuvent les confirmer ou les infirmer.

La première dit qu’un bébé né par voie basse développera une magie plus forte et puissante. La seconde dit qu’un enfant sera magiquement plus fort s'il est nourri avec du lait maternel.

Ainsi, ces deux croyances sont des arguments forts - pour les sorciers issus de longues lignées magiques - pour rejeter autant que possible la césarienne magique ainsi qu’un lait infantile de substitution.

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23 nov. 2023, 23:41
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SANTÉ ET BIEN-ÊTRE DES SORCIERS
PARTIE 2 : Contraception et Infections Sexuellement Transmissibles
1. Contraception

Les préservatifs sorciers existent sous deux formes : masculine et féminine. Il s’agit d’un étui fait d’une matière dérivée de l’hévéa semblable au latex chez les moldus qu’on appelle flexidra. Ils sont enduits de plusieurs types de potions : une pour assurer une légère lubrification et d’autres pour faire barrière aux IST sorcières. Ce sont les seuls moyens de contraception physique sorciers ainsi, ce sont les seuls à protéger des IST sorcières.

L’autre moyen de contraception sorcier usuel est l’usage de potions contraceptives. Il en existe deux types. Une variante pour les femmes et une autre variante pour les hommes. Les deux potions ont un mode d’action similaire, elles perturbent la formation des gamètes. Les parois cellulaires des ovules ne sont plus reconnues par les parois cellulaires des spermatozoïdes et la fécondation est impossible.
Cette méthode de contraception est d’une bonne efficacité, 99,6% si un.e des deux partenaires l’utilise, plus de 99,9% si les deux partenaires l’utilisent.
Pour une efficacité parfaite, la potion contraceptive doit être prise chaque semaine, le même jour à la même heure (fourchette de 3h de délai). Pour être pleinement efficace, il faut prendre assidument la potion au moins 4 semaines consécutives puis la prendre en continu. Après un arrêt temporaire (oubli ou arrêt volontaire), il refaudra au moins 4 prises pour que l'effet contraceptif soit à son plein potentiel.
De nombreuses personnes (hommes et femmes) décrivent une fatigue inhabituelle après la prise, il est donc recommandé de prendre une potion contraceptive au moment de se coucher. Il est conseillé aux sportifs d’éviter de prendre ce type de potion la veille d’un match ou d’un entraînement.

Les sorciers peuvent également utiliser des moyens de contraception moldus s’ils le souhaitent. Cependant, les professionnels de santé sorciers estiment n’avoir aucun recul sur leur réelle efficacité, notamment pour protéger des IST sorcières. Les sorciers issus de familles traditionnelles y sont hautement réticents, surtout les dispositifs internes.
2. Infections Sexuellement Transmissibles (IST)

Les IST bactériennes connues des moldus peuvent également toucher les sorciers et donner des symptômes totalement identiques. Cela concerne les chlamydioses, les infections à gonocoques ou à mycoplasmes et la syphilis. Les traitements sont à base de potions antibiotiques à application locale ou par voie orale.

Les IST virales sont cependant différentes, elles sont dues à des virus qui ne touchent que les sorciers.
  • L’infection au virus chatouille-gratouille provoque des démangeaisons génitales semblables à des chatouilles qui rendent inconfortables les relations sexuelles. Le virus est hautement transmissible. L’ensemble des partenaires doit être traité via des potions en application locale pendant au moins quinze jours sans aucun rapport afin d’enrayer l’infection.
  • La fluxusite est une IST due à un virus qui perturbe hautement le flux magique de la personne. Le plus souvent, il s’agira d’un très fort affaiblissement mais cela peut-être, au contraire, un gain de puissance incontrôlable. Le traitement, par potion, est long et lourd.
  • Le virus à immunodéficience sorcière perturbe le système immunitaire et la personne atteinte développera les symptômes de toutes les maladies virales ou bactériennes avec lesquelles il serait en contact. La personne est donc grandement fragilisée, même si la pathologie n’est pas mortelle. Le traitement est symptomatique et de longue durée. Un traitement suivi assidûment dans le temps permet au sorcier atteint de ne pas souffrir d'une baisse d'immunité et de ne pas transmettre le virus à ses partenaires.

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03 mars 2024, 18:51
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SANTE ET BIEN-ÊTRE DES SORCIERS
PARTIE 3 : Sexualité, orientation sexuelle et identité de genre
1. Sexualité

Dans les familles sorcières, le rapport à la sexualité est variable.

Dans les familles les plus rétrogrades, généralement de longue lignée, la règle est de s'abstenir de tout rapport sexuel avant d'être marié.e. On ne parle pas, ou très peu, de l'intimité dans un couple et encore moins de contraception ou d'infection sexuellement transmissible. Les jeunes gens issus de ces familles glanent donc des informations par eux-mêmes, auprès de leurs camarades ou encore de leurs frères et sœurs. Le risque d'informations fausses ou incomplètes est donc d'autant plus élevé.

En revanche, dans les familles plus ouvertes, la parole est bien plus libre. Les parents répondent plus facilement aux questions que leurs enfants peuvent leur poser, quand ils ne prennent pas les devant pour les sensibiliser à la sexualité et tout ce qui peut s'y rapporter (contraception, orientation sexuelle et romantique...)

Contexte récent
À partir de la rentrée 2048/2049, un programme de sensibilisation à la sexualité, à l'orientation sexuelle et au questionnement de genre est mis en place à Poudlard pour les élèves à partir de la quatrième année .
2. Orientation sexuelle

L'acceptation ou non des orientations sexuelles/romantiques1 différentes de l'hétérosexualité et de l’hétéroromantisme est fortement variable selon l'histoire et le statut de sang de chaque famille. De même, chaque individu, selon son contexte familial et social, aura un rapport différent à son orientation sexuelle/romantique et à celle des personnes qui l'entourent.

Dans la majorité des familles Sang-Pur ou dites de longues lignées, les orientations sexuelles/romantiques autres que l'hétérosexualité sont mal perçues. En effet, ces familles prônent généralement la transmission du nom et du sang, ce qui est a priori impossible dans un couple où les deux individus sont de même sexe.
Ainsi, il est fréquent que les sorcier.ère.s de la communauté LGBT+ appartenant à ces familles fassent le 'choix' de ne pas révéler leur orientation sexuelle/romantique à leur famille et donc de vivre cette dernière en restant caché.e.s.
Pour ceux qui choisissent de dévoiler leur orientation sexuelle/romantique, ils peuvent vivre des réactions familiales diverses pouvant être:
  • Exclusion de la famille: La personne concernée est reniée par le ou la chef.fe de famille et tous les autres membres sont tenus de couper contact.
  • Tolérance: La personne reste intégrée à la famille, en revanche son ou sa conjoint.e n'est généralement pas accepté.e en son sein. Le couple est prié de vivre discrètement pour ne pas entacher la réputation familiale.
  • Acceptation: La personne concernée est acceptée telle qu'elle est, de même que son ou sa conjoint.e. C'est le cas le moins fréquent dans les familles sorcières traditionnelles.

Dans le reste de la communauté sorcière, comportant des membres ayant plus de liens avec le monde moldu, les sorcier.ère.s de la communauté LGBT+ sont pour la plupart acceptés par leurs familles, ainsi que la personne avec qui ils choisissent d'avoir une relation.
Ainsi, ils sont généralement plus enclins à faire leur coming out.
3. Identité de genre

La transidentité est globalement mal connue et mal comprise par le monde sorcier bien que quelques rares livres2 traitant du sujet existent.

Selon les familles, on observe là encore une acceptation très différente des personnes transgenres (personnes dont l'identité de genre ne correspond pas à celui qui leur a été attribué à la naissance)3. Ils le seront peu, voire pas du tout, dans les familles de longue lignée sorcière. Dans les autres familles, tout un éventail de réactions peut survenir; du rejet à l'acceptation.

Sur le plan médical, la transidentité est, là aussi, mal connue dans le monde sorcier. Ce n'est que depuis la rentrée universitaire 2043 qu'une base d'enseignement est proposée à l'IMSM et ce, uniquement dans les spécialités Uromagie et Médicomagie génitale et Psychomagie.
Bien que généralement mal vue par les personnes ayant une pensée traditionnelle, une transition médicale est possible pour les personnes qui le souhaitent. La prise de potion.s permettra de modifier l'équilibre hormonal et modifiera donc à des échelles variables les caractères sexuels secondaires (pilosité, voix, poitrine…) alors que des chirurgies seront possibles pour effectuer les modifications corporelles désirées (poitrine, organes génitaux…) par les personnes transgenres majeures.

Sur le plan social, une personne transgenre majeure a la possibilité de faire changer administrativement son prénom, même en l'absence d'une transition médicale. Une personne transgenre mineure devra quant à elle avoir un accord parental.
Le changement de la mention de genre à l'état civil est une (très) longue bataille administrative pour les personnes transgenres.

Si votre désir est de jouer un personnage transgenre, il vous sera nécessaire de faire valider le scénario par l'équipe de MJ.
4. L'intersexuation

L'intersexuation4, bien qu'incluse dans la dénomination LGBT+, est différente de l'orientation sexuelle ou l'identité de genre puisqu'il s'agit de conditions biologiques. Du fait de la proportion de personnes concernées et du nombre de sorciers britanniques, le nombre de personnes intersexes est estimé à deux cents personnes environ5.

Si une intersexuation est constatée, les parents des enfants sont informés par le personnel soignant à la naissance de ce dernier et/ou au cours de son développement. Cependant, les sorciers préfèrent s'abstenir de toute intervention (par potion ou chirurgie) avant l'âge adulte afin de ne pas perturber le développement magique de l'individu. La personne concernée, une fois majeure, sera libre de choisir si elle souhaite bénéficier ou non d'une intervention.

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1 : Pour plus d'informations sur les orientations sexuelles: Arc-en-ciel International Rainbow
2 : Vous n'êtes pas binaire (personne ne l'est) ; Histoire queer et sorcellerie et Queer et sorcier, le double secret sont des publications récentes mentionnées en RP: Papoter bouquins et passer le temps.
3 : Pour plus d'informations sur la transidentité, vous pouvez consulter ces pages: Les bases sur la transidentité ou Ca veut dire quoi, être trans?
4 : Pour plus d'informations: Intersexe, c'est quoi?
5 : Communauté sorcière du Royaume-Uni: environ 7000 personnes. Il y a entre 1,7 et 4% de personnes intersexes selon la source 4 ce qui permet cette estimation.

Merci à Sigmund Charleston pour son aide précieuse dans la rédaction de cette partie.



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